Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique
Revue Pollution Atmosphérique n°231-232 (Octobre-Décembre 2016)
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Pollution Atmosphérique, 231-232. La plate-forme interactive « Signalement-Ambroisie » : un outil participatif de lutte contre l’ambroisie / Thibaudon M
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 231-232 Titre : La plate-forme interactive « Signalement-Ambroisie » : un outil participatif de lutte contre l’ambroisie Titre original : The interactive platform « Signalement-Ambroisie »: a participative tool in the fight against ragweed Type de document : texte imprimé Auteurs : Thibaudon M, Auteur ; S. Monnier, Auteur ; Chapgier MA, Auteur Année de publication : 2016 Tags : ambroisie plate-forme Pollen santé Résumé : L’ambroisie est une espèce envahissante bien présente en France et dans de nombreux pays en Europe, comme la Hongrie par exemple. Une espèce envahissante est une espèce vivante exotique qui devient un agent de perturbation « nuisible » à la biodiversité autochtone des écosystèmes naturels ou semi-naturels parmi lesquels elle s’est établie.
Son pollen est très allergisant, et il suffit de seulement quelques grains pour déclencher des symptômes d’allergie chez les personnes sensibles.
Plus de 280 000 Rhônalpins sont potentiellement allergiques à l’ambroisie, selon une étude de l’ARS publiée en 2014 (Anzivino, 2014). Les symptômes ressentis par les personnes sensibles se manifestent essentiellement sous forme de rhinites, conjonctivites, trachéites, et peuvent dans certains cas se présenter sous forme de crises d’asthme aiguës. Le traitement de ces pathologies n’est pas anodin, on estime à plus de 15 millions d’euros les dépenses publiques annuelles liées à l’allergie à l’ambroisie en Rhône-Alpes, et ce coût sanitaire ne cesse d’augmenter (Chapgier, 2015).
Pour lutter plus efficacement contre l’ambroisie et réduire ces coûts sanitaires, la région Rhône-Alpes a mis en place une plate-forme de signalement de l’ambroisie, qui permet de mobiliser le grand public et impliquer chacun dans la lutte contre cette espèce envahissante.Pollution Atmosphérique, 231-232. La plate-forme interactive « Signalement-Ambroisie » : un outil participatif de lutte contre l’ambroisie = The interactive platform « Signalement-Ambroisie »: a participative tool in the fight against ragweed [texte imprimé] / Thibaudon M, Auteur ; S. Monnier, Auteur ; Chapgier MA, Auteur . - 2016.
Tags : ambroisie plate-forme Pollen santé Résumé : L’ambroisie est une espèce envahissante bien présente en France et dans de nombreux pays en Europe, comme la Hongrie par exemple. Une espèce envahissante est une espèce vivante exotique qui devient un agent de perturbation « nuisible » à la biodiversité autochtone des écosystèmes naturels ou semi-naturels parmi lesquels elle s’est établie.
Son pollen est très allergisant, et il suffit de seulement quelques grains pour déclencher des symptômes d’allergie chez les personnes sensibles.
Plus de 280 000 Rhônalpins sont potentiellement allergiques à l’ambroisie, selon une étude de l’ARS publiée en 2014 (Anzivino, 2014). Les symptômes ressentis par les personnes sensibles se manifestent essentiellement sous forme de rhinites, conjonctivites, trachéites, et peuvent dans certains cas se présenter sous forme de crises d’asthme aiguës. Le traitement de ces pathologies n’est pas anodin, on estime à plus de 15 millions d’euros les dépenses publiques annuelles liées à l’allergie à l’ambroisie en Rhône-Alpes, et ce coût sanitaire ne cesse d’augmenter (Chapgier, 2015).
Pour lutter plus efficacement contre l’ambroisie et réduire ces coûts sanitaires, la région Rhône-Alpes a mis en place une plate-forme de signalement de l’ambroisie, qui permet de mobiliser le grand public et impliquer chacun dans la lutte contre cette espèce envahissante.Exemplaires
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L232_ThibaudonAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 231-232. Le pôle AXELERA, moteur dans le domaine du recyclage du CO2 en France / Brun T.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 231-232 Titre : Le pôle AXELERA, moteur dans le domaine du recyclage du CO2 en France Type de document : texte imprimé Auteurs : Brun T., Auteur ; Dartiquelongue C., Auteur Année de publication : 2016 Tags : empreinte carbone CO2 recyclage du CO2 Axelera Résumé : Dans une société où les économies réduisent leur empreinte carbone et leur impact énergétique, les progrès scientifiques et industriels nous permettent d’envisager un monde dans lequel le dioxyde de carbone (CO2) capté serait une ressource pour l’industrie. Aujourd’hui, le recyclage du CO2 est un levier pour l’innovation dans le secteur chimique et il pourrait contribuer à renforcer sa compétitivité, tout en soutenant sa transition vers une économie circulaire, faible en impact carbone et en énergie. Pollution Atmosphérique, 231-232. Le pôle AXELERA, moteur dans le domaine du recyclage du CO2 en France [texte imprimé] / Brun T., Auteur ; Dartiquelongue C., Auteur . - 2016.
Tags : empreinte carbone CO2 recyclage du CO2 Axelera Résumé : Dans une société où les économies réduisent leur empreinte carbone et leur impact énergétique, les progrès scientifiques et industriels nous permettent d’envisager un monde dans lequel le dioxyde de carbone (CO2) capté serait une ressource pour l’industrie. Aujourd’hui, le recyclage du CO2 est un levier pour l’innovation dans le secteur chimique et il pourrait contribuer à renforcer sa compétitivité, tout en soutenant sa transition vers une économie circulaire, faible en impact carbone et en énergie. Exemplaires
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L232_BrunAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 231-232. Pollution de l’air, santé et défaveur sociale : une étude d’impact sanitaire à une échelle spatiale fine / R. Slama
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 231-232 Titre : Pollution de l’air, santé et défaveur sociale : une étude d’impact sanitaire à une échelle spatiale fine Titre original : Atmospheric Pollution, Health and Social Deprivation: A Fine-Scale Health Impact Assessment Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Slama, Auteur ; Morelli X., Auteur ; Rieux C., Auteur Année de publication : 2016 Tags : Défaveur sociale étude d’impact sanitaire fardeau de maladies modèle de dispersion particules fines pollution atmosphérique risque attribuable Résumé : Les polluants atmosphériques, et en particulier les particules fines en suspension (PM2,5), ont un effet démontré sur la mortalité et le risque de cancer du poumon, et, dans le cas de l’exposition des femmes enceintes, un effet présumé sur le risque de petit poids de naissance. Le nombre de cas attribuables à cette exposition peut être estimé par l’approche des études d’impact sanitaire ; la plupart d’entre elles se sont appuyées sur les données des stations de surveillance de la qualité de l’air, ce qui est susceptible de sous-estimer les expositions et, sous certaines hypothèses, l’impact sanitaire estimé. Notre objectif était de quantifier le risque associé à l’exposition aux PM2,5 à Grenoble et Lyon, en s’appuyant sur une modélisation de la pollution de l’air à fine échelle ; un objectif secondaire était de caractériser comment ce risque variait en fonction de la défaveur sociale.
L’approche était celle de l’étude d’impact sanitaire ; elle s’appuyait sur le modèle de dispersion atmosphérique SIRANE pour les expositions, des données de densité de population à fine échelle, alors que les caractéristiques sociales ont été caractérisées spatialement par l’indice de défaveur sociale européen, ou EDI.
L’estimation était que chaque année entre 3 à 7 % des décès survenant dans l’agglomération de Grenoble étaient dus aux effets de la pollution atmosphérique. Dans l’agglomération de Lyon, le risque était entre 4 et 8 %. Cela correspondait à environ 114 décès dans l’agglomération grenobloise (sur une population de 385 000 habitants) et de 491 habitants à Lyon sur une population de 1,2 million d’habitants. À Grenoble, entre 3 et 10 % des nouveaux cas de cancer du poumon étaient dus à la pollution atmosphérique. Plusieurs dizaines de cas de petits poids de naissance chez les enfants nés à terme seraient aussi dus à la pollution chaque année. À Grenoble, le risque avait tendance à être plus élevé dans les quartiers socialement défavorisés ou très défavorisés, par rapport aux quartiers socialement plus favorisés, alors qu’à Lyon l’impact était plus élevé pour les niveaux intermédiaires de défaveur sociale. S’appuyer sur les stations de fond de surveillance de la qualité de l’air entraînait une sous-estimation de l’exposition et du nombre de cas attribuables aux PM2.5, par rapport à l’utilisation du modèle de dispersion avec une résolution spatiale fine.Pollution Atmosphérique, 231-232. Pollution de l’air, santé et défaveur sociale : une étude d’impact sanitaire à une échelle spatiale fine = Atmospheric Pollution, Health and Social Deprivation: A Fine-Scale Health Impact Assessment [texte imprimé] / R. Slama, Auteur ; Morelli X., Auteur ; Rieux C., Auteur . - 2016.
Tags : Défaveur sociale étude d’impact sanitaire fardeau de maladies modèle de dispersion particules fines pollution atmosphérique risque attribuable Résumé : Les polluants atmosphériques, et en particulier les particules fines en suspension (PM2,5), ont un effet démontré sur la mortalité et le risque de cancer du poumon, et, dans le cas de l’exposition des femmes enceintes, un effet présumé sur le risque de petit poids de naissance. Le nombre de cas attribuables à cette exposition peut être estimé par l’approche des études d’impact sanitaire ; la plupart d’entre elles se sont appuyées sur les données des stations de surveillance de la qualité de l’air, ce qui est susceptible de sous-estimer les expositions et, sous certaines hypothèses, l’impact sanitaire estimé. Notre objectif était de quantifier le risque associé à l’exposition aux PM2,5 à Grenoble et Lyon, en s’appuyant sur une modélisation de la pollution de l’air à fine échelle ; un objectif secondaire était de caractériser comment ce risque variait en fonction de la défaveur sociale.
L’approche était celle de l’étude d’impact sanitaire ; elle s’appuyait sur le modèle de dispersion atmosphérique SIRANE pour les expositions, des données de densité de population à fine échelle, alors que les caractéristiques sociales ont été caractérisées spatialement par l’indice de défaveur sociale européen, ou EDI.
L’estimation était que chaque année entre 3 à 7 % des décès survenant dans l’agglomération de Grenoble étaient dus aux effets de la pollution atmosphérique. Dans l’agglomération de Lyon, le risque était entre 4 et 8 %. Cela correspondait à environ 114 décès dans l’agglomération grenobloise (sur une population de 385 000 habitants) et de 491 habitants à Lyon sur une population de 1,2 million d’habitants. À Grenoble, entre 3 et 10 % des nouveaux cas de cancer du poumon étaient dus à la pollution atmosphérique. Plusieurs dizaines de cas de petits poids de naissance chez les enfants nés à terme seraient aussi dus à la pollution chaque année. À Grenoble, le risque avait tendance à être plus élevé dans les quartiers socialement défavorisés ou très défavorisés, par rapport aux quartiers socialement plus favorisés, alors qu’à Lyon l’impact était plus élevé pour les niveaux intermédiaires de défaveur sociale. S’appuyer sur les stations de fond de surveillance de la qualité de l’air entraînait une sous-estimation de l’exposition et du nombre de cas attribuables aux PM2.5, par rapport à l’utilisation du modèle de dispersion avec une résolution spatiale fine.Exemplaires
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L232_SlamaAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 231-232. Pollution atmosphérique et diabète… Quel lien possible ? Une exposition expérimentale à l’ozone chez le rat induit une insulino-résistance périphérique / Vella R.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 231-232 Titre : Pollution atmosphérique et diabète… Quel lien possible ? Une exposition expérimentale à l’ozone chez le rat induit une insulino-résistance périphérique Titre original : Ozone pollution and type II diabetes: an environmental link. Experimental exposure to ozone promotes insulin resistance in rats Type de document : texte imprimé Auteurs : Vella R., Auteur ; Géloën A., Auteur ; Soulage C., Auteur Année de publication : 2016 Tags : diabète de type 2 insulino-résistance Ozone stress oxydant Résumé : L’incidence des pathologies métaboliques, tel le diabète de type 2, a connu une importante progression au cours des dernières décades. Des études épidémiologiques récentes suggèrent que certains polluants atmosphériques pourraient jouer un rôle dans le développement et la progression de l’insulino-résistance, associée au diabète de type 2. L’ozone, un polluant photochimique majeur des zones urbaines, est associé à des concentrations augmentées de glucose et d’insuline plasmatiques à jeun ; cependant, de nombreux aspects de cette association restent à élucider. Des résultats récents obtenus dans notre laboratoire et publiés dans la revue américaine Diabetes (Vella et al., 2015) indiquent qu’une exposition expérimentale à l’ozone induit chez le rongeur de laboratoire un état d’insulino-résistance, prélude au développement d’un diabète de type 2. L’ozone étant trop réactif pour traverser la barrière alvéolo-capillaire, la toxicité systémique de l’ozone résulte de la production dans les poumons de médiateurs du stress oxydant et dont les effets délétères sur les tissus périphériques ont pu être démontrés. Ces travaux mettent en exergue un lien entre pollution et diabète et suggèrent le rôle de facteurs environnementaux dans l’étiologie de cette maladie pour l’heure essentiellement attribuée à des facteurs nutritionnels ou comportementaux. Pollution Atmosphérique, 231-232. Pollution atmosphérique et diabète… Quel lien possible ? Une exposition expérimentale à l’ozone chez le rat induit une insulino-résistance périphérique = Ozone pollution and type II diabetes: an environmental link. Experimental exposure to ozone promotes insulin resistance in rats [texte imprimé] / Vella R., Auteur ; Géloën A., Auteur ; Soulage C., Auteur . - 2016.
Tags : diabète de type 2 insulino-résistance Ozone stress oxydant Résumé : L’incidence des pathologies métaboliques, tel le diabète de type 2, a connu une importante progression au cours des dernières décades. Des études épidémiologiques récentes suggèrent que certains polluants atmosphériques pourraient jouer un rôle dans le développement et la progression de l’insulino-résistance, associée au diabète de type 2. L’ozone, un polluant photochimique majeur des zones urbaines, est associé à des concentrations augmentées de glucose et d’insuline plasmatiques à jeun ; cependant, de nombreux aspects de cette association restent à élucider. Des résultats récents obtenus dans notre laboratoire et publiés dans la revue américaine Diabetes (Vella et al., 2015) indiquent qu’une exposition expérimentale à l’ozone induit chez le rongeur de laboratoire un état d’insulino-résistance, prélude au développement d’un diabète de type 2. L’ozone étant trop réactif pour traverser la barrière alvéolo-capillaire, la toxicité systémique de l’ozone résulte de la production dans les poumons de médiateurs du stress oxydant et dont les effets délétères sur les tissus périphériques ont pu être démontrés. Ces travaux mettent en exergue un lien entre pollution et diabète et suggèrent le rôle de facteurs environnementaux dans l’étiologie de cette maladie pour l’heure essentiellement attribuée à des facteurs nutritionnels ou comportementaux. Exemplaires
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L232_SoulageAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 231-232. Préfiguration d’une structure pluridisciplinaire de recherche-action dédiée à l’étude des climats urbains et de leurs effets sur le territoire de la Métropole de Lyon. Enseignements du projet EPOC. / Soto D.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 231-232 Titre : Préfiguration d’une structure pluridisciplinaire de recherche-action dédiée à l’étude des climats urbains et de leurs effets sur le territoire de la Métropole de Lyon. Enseignements du projet EPOC. Titre original : Prefiguration of an interdisciplinary action-research structure to study urban climates and their effects concerning the Greater Lyon (France). Lessons from the EPOC project. Type de document : texte imprimé Auteurs : Soto D., Auteur ; Merlier L., Auteur ; Ponsar L., Auteur ; Mace A., Auteur ; Rusaouën G., Auteur ; Renard F., Auteur ; Kuznik F., Auteur Année de publication : 2016 Tags : changement climatique climats urbains mesures modélisation participation citoyenne structure de recherche-action vulnérabilité Résumé : Les projections climatiques concernant le territoire de la Métropole de Lyon laissent présager des situations à risque de vagues de chaleur plus intenses et plus fréquentes, dont les effets sont potentiellement amplifiés en milieu urbain, du fait du phénomène d’îlot de chaleur. C’est dans ce contexte qu’a été initié le projet EPOC (acronyme d’une Étude de Préfiguration d’un Observatoire local du Climat) pour créer, gérer, diffuser et valoriser des données relatives aux climats urbains lyonnais, encore insuffisamment caractérisés, mais aussi pour tendre vers une analyse globale du risque « vague de chaleur ». Pour cela, des démarches et des actions exploratoires ont été initiées par un premier réseau d’acteurs académiques, opérationnels et associatifs locaux, et ont abouti à la constitution de projets de recherche abordant chacun la problématique du risque climatique de manière différente mais complémentaire. Ces derniers ont permis de développer de nouvelles approches et méthodes qui nécessiteraient aujourd’hui une structure d’interface pour mutualiser des connaissances et fédérer des compétences nouvelles. Une réflexion est ainsi apportée sur l’organisation que pourrait adopter cette structure et sur les premiers intérêts qu’elle suscite auprès des acteurs locaux. Pollution Atmosphérique, 231-232. Préfiguration d’une structure pluridisciplinaire de recherche-action dédiée à l’étude des climats urbains et de leurs effets sur le territoire de la Métropole de Lyon. Enseignements du projet EPOC. = Prefiguration of an interdisciplinary action-research structure to study urban climates and their effects concerning the Greater Lyon (France). Lessons from the EPOC project. [texte imprimé] / Soto D., Auteur ; Merlier L., Auteur ; Ponsar L., Auteur ; Mace A., Auteur ; Rusaouën G., Auteur ; Renard F., Auteur ; Kuznik F., Auteur . - 2016.
Tags : changement climatique climats urbains mesures modélisation participation citoyenne structure de recherche-action vulnérabilité Résumé : Les projections climatiques concernant le territoire de la Métropole de Lyon laissent présager des situations à risque de vagues de chaleur plus intenses et plus fréquentes, dont les effets sont potentiellement amplifiés en milieu urbain, du fait du phénomène d’îlot de chaleur. C’est dans ce contexte qu’a été initié le projet EPOC (acronyme d’une Étude de Préfiguration d’un Observatoire local du Climat) pour créer, gérer, diffuser et valoriser des données relatives aux climats urbains lyonnais, encore insuffisamment caractérisés, mais aussi pour tendre vers une analyse globale du risque « vague de chaleur ». Pour cela, des démarches et des actions exploratoires ont été initiées par un premier réseau d’acteurs académiques, opérationnels et associatifs locaux, et ont abouti à la constitution de projets de recherche abordant chacun la problématique du risque climatique de manière différente mais complémentaire. Ces derniers ont permis de développer de nouvelles approches et méthodes qui nécessiteraient aujourd’hui une structure d’interface pour mutualiser des connaissances et fédérer des compétences nouvelles. Une réflexion est ainsi apportée sur l’organisation que pourrait adopter cette structure et sur les premiers intérêts qu’elle suscite auprès des acteurs locaux. Exemplaires
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L232_SotoAdobe Acrobat PDF PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Réduction des émissions de HAP d’une entreprise de la région Rhône-Alpes et mise au point d’une méthode laboratoire de suivi cinétique de ces émissions / B. Allard
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Refuge du Goûter : solutions techniques mises en œuvre et problèmes de pollution rencontrés / Stremsdoerfer P.
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Rhodiasolv Iris, développement d’un nouveau procédé pour réduire l’empreinte environnementale des solvants / Kabir H.
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Sols contaminés, une source secondaire de polluants pour l’atmosphère ? Le cas des HAP, des pesticides et de l’arsenic / Besse J.
PermalinkPermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Traitement des sols par Soil Venting Thermal Extraction / Michel F.
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Les transferts de pollutions volatiles du sol vers l’air intérieur : diagnostic et modélisation des impacts - Guide méthodologique FLUXOBAT (2013) / Traverse S.
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