Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique
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Pollution Atmosphérique, 231-232. Sols contaminés, une source secondaire de polluants pour l’atmosphère ? Le cas des HAP, des pesticides et de l’arsenic / Besse J.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 231-232 Titre : Sols contaminés, une source secondaire de polluants pour l’atmosphère ? Le cas des HAP, des pesticides et de l’arsenic Titre original : Are contaminated soils a secondary source of pollutants to the atmosphere? Application to PAHs, pesticides and arsenic Type de document : texte imprimé Auteurs : Besse J., Auteur ; David B., Auteur ; Dalleau N., Auteur ; Brulfert G., Auteur Année de publication : 2016 Tags : Échange sol-air émission gazeuse émission particulaires évapotranspiration Résumé : La présence de nombreux sites et sols pollués en Rhône-Alpes pose la question des conséquences possibles de la dispersion dans l’environnement des pollutions persistantes sur ces sols. Le transfert des polluants de sols contaminés vers l’atmosphère est ici étudié. Ce processus peut en effet s’avérer renforcer la pollution atmosphérique issue des sources primaires. Les travaux présentés ici sur différents types de sols (industriels et agricoles) et de polluants (HAPs, pesticides et arsenic) ont pour but d’évaluer l’importance de ce phénomène de transfert pour une prise en compte des sols contaminés comme une source secondaire en polluants.
Les études de terrain sont menées en étudiant les conditions de transfert sol-air de (i) HAPs à partir du sol d’une ancienne décharge, (ii) de pesticides présents sur des sols agricoles et (iii) de l’arsenic issu d’un sol pollué par une ancienne activité métallurgique. Une forte variabilité saisonnière des flux de polluants émis par les sols est mise en évidence. Il est montré que l’effet conjugué d’une température élevée et d’une forte humidité du sol conduit à des flux d’émission maximums, quelle que soit la nature du polluant. Les émissions sont donc gouvernées par le phénomène d’évapotranspiration des sols. Les bilans de flux établis sur chaque site étudié, en considérant le sol comme système de référence, montrent que si les sols sont bien émetteurs de polluants, ce rôle est, sauf exception, largement contrebalancé par la réception des retombées atmosphériques à leur surface.Pollution Atmosphérique, 231-232. Sols contaminés, une source secondaire de polluants pour l’atmosphère ? Le cas des HAP, des pesticides et de l’arsenic = Are contaminated soils a secondary source of pollutants to the atmosphere? Application to PAHs, pesticides and arsenic [texte imprimé] / Besse J., Auteur ; David B., Auteur ; Dalleau N., Auteur ; Brulfert G., Auteur . - 2016.
Tags : Échange sol-air émission gazeuse émission particulaires évapotranspiration Résumé : La présence de nombreux sites et sols pollués en Rhône-Alpes pose la question des conséquences possibles de la dispersion dans l’environnement des pollutions persistantes sur ces sols. Le transfert des polluants de sols contaminés vers l’atmosphère est ici étudié. Ce processus peut en effet s’avérer renforcer la pollution atmosphérique issue des sources primaires. Les travaux présentés ici sur différents types de sols (industriels et agricoles) et de polluants (HAPs, pesticides et arsenic) ont pour but d’évaluer l’importance de ce phénomène de transfert pour une prise en compte des sols contaminés comme une source secondaire en polluants.
Les études de terrain sont menées en étudiant les conditions de transfert sol-air de (i) HAPs à partir du sol d’une ancienne décharge, (ii) de pesticides présents sur des sols agricoles et (iii) de l’arsenic issu d’un sol pollué par une ancienne activité métallurgique. Une forte variabilité saisonnière des flux de polluants émis par les sols est mise en évidence. Il est montré que l’effet conjugué d’une température élevée et d’une forte humidité du sol conduit à des flux d’émission maximums, quelle que soit la nature du polluant. Les émissions sont donc gouvernées par le phénomène d’évapotranspiration des sols. Les bilans de flux établis sur chaque site étudié, en considérant le sol comme système de référence, montrent que si les sols sont bien émetteurs de polluants, ce rôle est, sauf exception, largement contrebalancé par la réception des retombées atmosphériques à leur surface.Exemplaires(0)
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