Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique
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Pollution Atmosphérique, 228. Une analyse statistique entre la concentration de particules fines et d’ozone en présence de brume sèche dans le Sud du Québec / Provençal S.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 228 Titre : Une analyse statistique entre la concentration de particules fines et d’ozone en présence de brume sèche dans le Sud du Québec Titre original : A statistical analysis between the concentration of fine particulate matter and ozone during hazy conditions in southern Quebec, Canada Type de document : texte imprimé Auteurs : Provençal S., Auteur ; Leduc R., Auteur ; Barrette N., Auteur Année de publication : 2016 Tags : brume sèche ozone particules fines Québec Résumé : La proximité du Sud de l’Ontario et du Nord-Est des États-Unis positionne le Québec dans une situation de vulnérabilité face à l’advection de contaminants atmosphériques en provenance de ces régions très industrialisées et peuplées. La visibilité réduite est un indicateur bien connu d’une piètre qualité de l’air lorsque les conditions atmosphériques sont sèches. Lorsque la visibilité est inférieure à 10 km et que l’humidité relative est faible, un épisode de brume sèche est signalé dans l’observation météorologique. Il est donc intuitif d’associer un épisode de brume sèche à un niveau élevé de contaminants atmosphériques. Plusieurs études associent la brume sèche à une concentration élevée d’ozone, et bien que l’ozone soit un gaz qui n’absorbe ni ne disperse la lumière, il est couramment utilisé comme indicateur de visibilité réduite. L’objectif de cette étude est de vérifier si l’ozone est effectivement un indicateur fiable de visibilité réduite au même titre que les particules fines qui, elles, réduisent véritablement la visibilité. À l’aide de données provenant de stations de surveillance météorologique et de qualité de l’air, une analyse statistique est effectuée entre la concentration de ces deux contaminants lorsque la brume sèche est signalée dans les trois régions métropolitaines les plus peuplées du Sud du Québec : Montréal, Québec et Gatineau. Les résultats suggèrent que la concentration de particules fines est élevée lorsque la brume sèche est signalée, mais, par contre, la concentration d’ozone est beaucoup plus variable. Moins de la moitié des observations de brume sèche est accompagnée d’une concentration élevée d’ozone. Les cycles annuels et quotidiens expliquent en partie cette variabilité ; les épisodes de brume sèche estivaux et diurnes sont caractérisés par une concentration élevée d’ozone plus fréquente, contrairement aux épisodes hivernaux, alors qu’à peine quelques observations de brume sèche sont caractérisées ainsi. Pollution Atmosphérique, 228. Une analyse statistique entre la concentration de particules fines et d’ozone en présence de brume sèche dans le Sud du Québec = A statistical analysis between the concentration of fine particulate matter and ozone during hazy conditions in southern Quebec, Canada [texte imprimé] / Provençal S., Auteur ; Leduc R., Auteur ; Barrette N., Auteur . - 2016.
Tags : brume sèche ozone particules fines Québec Résumé : La proximité du Sud de l’Ontario et du Nord-Est des États-Unis positionne le Québec dans une situation de vulnérabilité face à l’advection de contaminants atmosphériques en provenance de ces régions très industrialisées et peuplées. La visibilité réduite est un indicateur bien connu d’une piètre qualité de l’air lorsque les conditions atmosphériques sont sèches. Lorsque la visibilité est inférieure à 10 km et que l’humidité relative est faible, un épisode de brume sèche est signalé dans l’observation météorologique. Il est donc intuitif d’associer un épisode de brume sèche à un niveau élevé de contaminants atmosphériques. Plusieurs études associent la brume sèche à une concentration élevée d’ozone, et bien que l’ozone soit un gaz qui n’absorbe ni ne disperse la lumière, il est couramment utilisé comme indicateur de visibilité réduite. L’objectif de cette étude est de vérifier si l’ozone est effectivement un indicateur fiable de visibilité réduite au même titre que les particules fines qui, elles, réduisent véritablement la visibilité. À l’aide de données provenant de stations de surveillance météorologique et de qualité de l’air, une analyse statistique est effectuée entre la concentration de ces deux contaminants lorsque la brume sèche est signalée dans les trois régions métropolitaines les plus peuplées du Sud du Québec : Montréal, Québec et Gatineau. Les résultats suggèrent que la concentration de particules fines est élevée lorsque la brume sèche est signalée, mais, par contre, la concentration d’ozone est beaucoup plus variable. Moins de la moitié des observations de brume sèche est accompagnée d’une concentration élevée d’ozone. Les cycles annuels et quotidiens expliquent en partie cette variabilité ; les épisodes de brume sèche estivaux et diurnes sont caractérisés par une concentration élevée d’ozone plus fréquente, contrairement aux épisodes hivernaux, alors qu’à peine quelques observations de brume sèche sont caractérisées ainsi. Exemplaires
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L228_09_ProvencalAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 231-232. Pollution de l’air, santé et défaveur sociale : une étude d’impact sanitaire à une échelle spatiale fine / R. Slama
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 231-232 Titre : Pollution de l’air, santé et défaveur sociale : une étude d’impact sanitaire à une échelle spatiale fine Titre original : Atmospheric Pollution, Health and Social Deprivation: A Fine-Scale Health Impact Assessment Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Slama, Auteur ; Morelli X., Auteur ; Rieux C., Auteur Année de publication : 2016 Tags : Défaveur sociale étude d’impact sanitaire fardeau de maladies modèle de dispersion particules fines pollution atmosphérique risque attribuable Résumé : Les polluants atmosphériques, et en particulier les particules fines en suspension (PM2,5), ont un effet démontré sur la mortalité et le risque de cancer du poumon, et, dans le cas de l’exposition des femmes enceintes, un effet présumé sur le risque de petit poids de naissance. Le nombre de cas attribuables à cette exposition peut être estimé par l’approche des études d’impact sanitaire ; la plupart d’entre elles se sont appuyées sur les données des stations de surveillance de la qualité de l’air, ce qui est susceptible de sous-estimer les expositions et, sous certaines hypothèses, l’impact sanitaire estimé. Notre objectif était de quantifier le risque associé à l’exposition aux PM2,5 à Grenoble et Lyon, en s’appuyant sur une modélisation de la pollution de l’air à fine échelle ; un objectif secondaire était de caractériser comment ce risque variait en fonction de la défaveur sociale.
L’approche était celle de l’étude d’impact sanitaire ; elle s’appuyait sur le modèle de dispersion atmosphérique SIRANE pour les expositions, des données de densité de population à fine échelle, alors que les caractéristiques sociales ont été caractérisées spatialement par l’indice de défaveur sociale européen, ou EDI.
L’estimation était que chaque année entre 3 à 7 % des décès survenant dans l’agglomération de Grenoble étaient dus aux effets de la pollution atmosphérique. Dans l’agglomération de Lyon, le risque était entre 4 et 8 %. Cela correspondait à environ 114 décès dans l’agglomération grenobloise (sur une population de 385 000 habitants) et de 491 habitants à Lyon sur une population de 1,2 million d’habitants. À Grenoble, entre 3 et 10 % des nouveaux cas de cancer du poumon étaient dus à la pollution atmosphérique. Plusieurs dizaines de cas de petits poids de naissance chez les enfants nés à terme seraient aussi dus à la pollution chaque année. À Grenoble, le risque avait tendance à être plus élevé dans les quartiers socialement défavorisés ou très défavorisés, par rapport aux quartiers socialement plus favorisés, alors qu’à Lyon l’impact était plus élevé pour les niveaux intermédiaires de défaveur sociale. S’appuyer sur les stations de fond de surveillance de la qualité de l’air entraînait une sous-estimation de l’exposition et du nombre de cas attribuables aux PM2.5, par rapport à l’utilisation du modèle de dispersion avec une résolution spatiale fine.Pollution Atmosphérique, 231-232. Pollution de l’air, santé et défaveur sociale : une étude d’impact sanitaire à une échelle spatiale fine = Atmospheric Pollution, Health and Social Deprivation: A Fine-Scale Health Impact Assessment [texte imprimé] / R. Slama, Auteur ; Morelli X., Auteur ; Rieux C., Auteur . - 2016.
Tags : Défaveur sociale étude d’impact sanitaire fardeau de maladies modèle de dispersion particules fines pollution atmosphérique risque attribuable Résumé : Les polluants atmosphériques, et en particulier les particules fines en suspension (PM2,5), ont un effet démontré sur la mortalité et le risque de cancer du poumon, et, dans le cas de l’exposition des femmes enceintes, un effet présumé sur le risque de petit poids de naissance. Le nombre de cas attribuables à cette exposition peut être estimé par l’approche des études d’impact sanitaire ; la plupart d’entre elles se sont appuyées sur les données des stations de surveillance de la qualité de l’air, ce qui est susceptible de sous-estimer les expositions et, sous certaines hypothèses, l’impact sanitaire estimé. Notre objectif était de quantifier le risque associé à l’exposition aux PM2,5 à Grenoble et Lyon, en s’appuyant sur une modélisation de la pollution de l’air à fine échelle ; un objectif secondaire était de caractériser comment ce risque variait en fonction de la défaveur sociale.
L’approche était celle de l’étude d’impact sanitaire ; elle s’appuyait sur le modèle de dispersion atmosphérique SIRANE pour les expositions, des données de densité de population à fine échelle, alors que les caractéristiques sociales ont été caractérisées spatialement par l’indice de défaveur sociale européen, ou EDI.
L’estimation était que chaque année entre 3 à 7 % des décès survenant dans l’agglomération de Grenoble étaient dus aux effets de la pollution atmosphérique. Dans l’agglomération de Lyon, le risque était entre 4 et 8 %. Cela correspondait à environ 114 décès dans l’agglomération grenobloise (sur une population de 385 000 habitants) et de 491 habitants à Lyon sur une population de 1,2 million d’habitants. À Grenoble, entre 3 et 10 % des nouveaux cas de cancer du poumon étaient dus à la pollution atmosphérique. Plusieurs dizaines de cas de petits poids de naissance chez les enfants nés à terme seraient aussi dus à la pollution chaque année. À Grenoble, le risque avait tendance à être plus élevé dans les quartiers socialement défavorisés ou très défavorisés, par rapport aux quartiers socialement plus favorisés, alors qu’à Lyon l’impact était plus élevé pour les niveaux intermédiaires de défaveur sociale. S’appuyer sur les stations de fond de surveillance de la qualité de l’air entraînait une sous-estimation de l’exposition et du nombre de cas attribuables aux PM2.5, par rapport à l’utilisation du modèle de dispersion avec une résolution spatiale fine.Exemplaires
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L232_SlamaAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 228. À propos des brouillards lyonnais : évolutions et qualité de l’air / Renard F.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 228 Titre : À propos des brouillards lyonnais : évolutions et qualité de l’air Titre original : About Lyon’s fog: trends and air quality Type de document : texte imprimé Auteurs : Renard F., Auteur ; Fujiki K., Auteur Année de publication : 2016 Tags : brouillard ozone particules fines pollution atmosphérique santé Résumé : Lyon a longtemps été connue pour ses brouillards. La fréquence de ces derniers est en baisse depuis le début du XXe siècle, pour diverses raisons. Ce phénomène est à considérer avec attention, à cause des risques pour le transport mais surtout pour la santé. En effet, le brouillard est synchronique d’une diminution de la qualité de l’air. Les concentrations en principaux polluants sont alors en nette augmentation avec la présence de brouillard, à l’exception de l’ozone dont la formation est ralentie par le blocage des rayons solaires. Ces augmentations de concentration se retrouvent à l’échelle horaire, et la qualité de l’air se dégrade régulièrement lors de la persistance des brouillards sur plusieurs jours consécutifs. Pollution Atmosphérique, 228. À propos des brouillards lyonnais : évolutions et qualité de l’air = About Lyon’s fog: trends and air quality [texte imprimé] / Renard F., Auteur ; Fujiki K., Auteur . - 2016.
Tags : brouillard ozone particules fines pollution atmosphérique santé Résumé : Lyon a longtemps été connue pour ses brouillards. La fréquence de ces derniers est en baisse depuis le début du XXe siècle, pour diverses raisons. Ce phénomène est à considérer avec attention, à cause des risques pour le transport mais surtout pour la santé. En effet, le brouillard est synchronique d’une diminution de la qualité de l’air. Les concentrations en principaux polluants sont alors en nette augmentation avec la présence de brouillard, à l’exception de l’ozone dont la formation est ralentie par le blocage des rayons solaires. Ces augmentations de concentration se retrouvent à l’échelle horaire, et la qualité de l’air se dégrade régulièrement lors de la persistance des brouillards sur plusieurs jours consécutifs. Exemplaires
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