Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique
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Pollution Atmosphérique, 226. Accumulation de métaux lourds dans des champignons sauvages dans la partie ouest de la Russie (sud-est de la Baltique) / Koroleva Y.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 226 Titre : Accumulation de métaux lourds dans des champignons sauvages dans la partie ouest de la Russie (sud-est de la Baltique) Titre original : Accumulation of trace elements by wild mushrooms in West part of Russia (South-Eastern Baltic) Type de document : texte imprimé Auteurs : Koroleva Y., Auteur ; Vakhranyova O., Auteur ; Okhrimenko M., Auteur Année de publication : 2015 Tags : accumulation champignons sauvages éléments traces métaux toxiques Russie Résumé : La capacité des champignons sauvages à accumuler les éléments traces est discutée ici. Des métaux tels que Ag, Cd, Co, Cu, Cr, Fe, Mn, Ni, Pb, ont été détectés par AAS dans des échantillons de 30 espèces de champignons sauvages (fructifications). Les facteurs de concentration des éléments traces ont été calculés. L'analyse des données a montré que certaines espèces de champignons ont une capacité d'accumulation très sélective au cadmium et à l'argent, alors que la concentration pour ces éléments est négligeable dans le substrat. B.edilis accumule de façon importante le cadmium et l'argent. Il n'y avait pas de relations évidentes entre le contenu en métaux observés dans les organes de fructification des champignons et le contenu en métaux totaux dans la couche supérieure du sol. La fraction massique en métaux est toutefois proportionnelle à la distance aux industries et aux villes. Pollution Atmosphérique, 226. Accumulation de métaux lourds dans des champignons sauvages dans la partie ouest de la Russie (sud-est de la Baltique) = Accumulation of trace elements by wild mushrooms in West part of Russia (South-Eastern Baltic) [texte imprimé] / Koroleva Y., Auteur ; Vakhranyova O., Auteur ; Okhrimenko M., Auteur . - 2015.
Tags : accumulation champignons sauvages éléments traces métaux toxiques Russie Résumé : La capacité des champignons sauvages à accumuler les éléments traces est discutée ici. Des métaux tels que Ag, Cd, Co, Cu, Cr, Fe, Mn, Ni, Pb, ont été détectés par AAS dans des échantillons de 30 espèces de champignons sauvages (fructifications). Les facteurs de concentration des éléments traces ont été calculés. L'analyse des données a montré que certaines espèces de champignons ont une capacité d'accumulation très sélective au cadmium et à l'argent, alors que la concentration pour ces éléments est négligeable dans le substrat. B.edilis accumule de façon importante le cadmium et l'argent. Il n'y avait pas de relations évidentes entre le contenu en métaux observés dans les organes de fructification des champignons et le contenu en métaux totaux dans la couche supérieure du sol. La fraction massique en métaux est toutefois proportionnelle à la distance aux industries et aux villes. Exemplaires(0)
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L226_KorolevaAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 226. Relation entre la composition de particules industrielles et leur transfert dans les feuilles de plantes potagères / Dappe V.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 226 Titre : Relation entre la composition de particules industrielles et leur transfert dans les feuilles de plantes potagères Titre original : Relationship between the composition of industrial particles and their transfer in leaves of vegetables Type de document : texte imprimé Auteurs : Dappe V., Auteur ; D. Cuny, Auteur ; B. Hanoune, Auteur ; Dumez S., Auteur ; A. Austruy, Auteur ; Dumat C., Auteur ; S. Sobanska, Auteur Année de publication : 2015 Tags : accumulation particules très fines (PM1) plomb spéciation transfert voie foliaire Résumé : La part des particules fines et très fines (PM2.5 et PM1) émises dans l’atmosphère a augmenté de manière significative dans les zones industrielles, en lien avec la mise en place, en sortie d’échappement des usines, de filtres de plus en plus efficaces vis-à -vis des fractions granulométriques plus grossières. Ces particules fines et très fines sont très réactives et présentent donc un risque élevé à la fois pour la santé humaine et les milieux environnants (air, sol, eau, végétal). Ces particules microniques et submicroniques sont en effet capables de pénétrer profondément dans l'appareil respiratoire et d’atteindre les alvéoles pulmonaires. L'ingestion est également une voie d'exposition importante, notamment par la consommation de végétaux contaminés en zones urbaines (où la densité de population est particulièrement élevée) et/ou aux abords des zones industrielles. L’étude de l’accumulation et du transfert de particules par voie foliaire chez des végétaux cultivés en proximité d’usines émettant des particules riches en métaux est donc d'un intérêt majeur. Nos travaux concernent l’étude de l’accumulation foliaire de particules émises par une usine de recyclage de batteries au plomb et de leur transfert dans les tissus des feuilles. Dans un premier temps, nous avons caractérisé des particules à l’échelle individuelle grâce au couplage de techniques spectroscopiques et d’imageries. Les résultats montrent que le plomb se retrouve majoritairement dans les fractions les plus fines (PM1), essentiellement sous forme de sulfates. Nous avons mis en évidence la formation de composés de plomb solubles, en surface des particules. Dans un second temps, des choux ont été exposés aux particules dans l’enceinte de l’usine pour une durée de 6 semaines. Les résultats montrent une accumulation assez importante de particules contenant du plomb dans les feuilles, s’accompagnant parfois de la formation de nécroses enrichies en métaux. Dans certaines de ces nécroses, la spéciation du plomb se trouve modifiée. Afin de mieux comprendre ces phénomènes bio-physico-chimiques identifiés sur le terrain, des tests d’exposition à différents types de particules monométalliques ont été effectués en conditions contrôlées au laboratoire. Les résultats, complétés par des tests biologiques, montrent des différences significatives d’un métal à un autre, notamment en termes de génotoxicité liée aux métaux. Pollution Atmosphérique, 226. Relation entre la composition de particules industrielles et leur transfert dans les feuilles de plantes potagères = Relationship between the composition of industrial particles and their transfer in leaves of vegetables [texte imprimé] / Dappe V., Auteur ; D. Cuny, Auteur ; B. Hanoune, Auteur ; Dumez S., Auteur ; A. Austruy, Auteur ; Dumat C., Auteur ; S. Sobanska, Auteur . - 2015.
Tags : accumulation particules très fines (PM1) plomb spéciation transfert voie foliaire Résumé : La part des particules fines et très fines (PM2.5 et PM1) émises dans l’atmosphère a augmenté de manière significative dans les zones industrielles, en lien avec la mise en place, en sortie d’échappement des usines, de filtres de plus en plus efficaces vis-à -vis des fractions granulométriques plus grossières. Ces particules fines et très fines sont très réactives et présentent donc un risque élevé à la fois pour la santé humaine et les milieux environnants (air, sol, eau, végétal). Ces particules microniques et submicroniques sont en effet capables de pénétrer profondément dans l'appareil respiratoire et d’atteindre les alvéoles pulmonaires. L'ingestion est également une voie d'exposition importante, notamment par la consommation de végétaux contaminés en zones urbaines (où la densité de population est particulièrement élevée) et/ou aux abords des zones industrielles. L’étude de l’accumulation et du transfert de particules par voie foliaire chez des végétaux cultivés en proximité d’usines émettant des particules riches en métaux est donc d'un intérêt majeur. Nos travaux concernent l’étude de l’accumulation foliaire de particules émises par une usine de recyclage de batteries au plomb et de leur transfert dans les tissus des feuilles. Dans un premier temps, nous avons caractérisé des particules à l’échelle individuelle grâce au couplage de techniques spectroscopiques et d’imageries. Les résultats montrent que le plomb se retrouve majoritairement dans les fractions les plus fines (PM1), essentiellement sous forme de sulfates. Nous avons mis en évidence la formation de composés de plomb solubles, en surface des particules. Dans un second temps, des choux ont été exposés aux particules dans l’enceinte de l’usine pour une durée de 6 semaines. Les résultats montrent une accumulation assez importante de particules contenant du plomb dans les feuilles, s’accompagnant parfois de la formation de nécroses enrichies en métaux. Dans certaines de ces nécroses, la spéciation du plomb se trouve modifiée. Afin de mieux comprendre ces phénomènes bio-physico-chimiques identifiés sur le terrain, des tests d’exposition à différents types de particules monométalliques ont été effectués en conditions contrôlées au laboratoire. Les résultats, complétés par des tests biologiques, montrent des différences significatives d’un métal à un autre, notamment en termes de génotoxicité liée aux métaux. Exemplaires(0)
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