Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique
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Pollution Atmosphérique, 227. Femmes, genre et changement climatique : l’exemple du WECF / L. Charles
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 227 Titre : Femmes, genre et changement climatique : l’exemple du WECF Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Charles, Auteur ; Barre A., Auteur Année de publication : 2015 Tags : femme genre réchauffement climatique changement climatique environnement inégalités discriminations vulnérabilités statut des femmes Résumé : Le genre a une signification et une importance particulières dans le domaine de l'environnement. Genre et environnement constituent tous deux des problématiques dans le champ de la relation (relations entre les sexes, relations entre les individus et l'environnement), sont tous les deux présents dans notre monde quotidien et ordinaire, englobent des registres complexes et multiples, ce qui rend les approches multiformes et pragmatiques plus adaptées que les approches strictement thématisées. Comme l'environnement peut interagir avec l'ensemble des comportements, il est intéressant d'étudier la distribution des rôles féminins et masculins et comment cette distribution peut permettre d'appréhender la question environnementale de manière plus large et compréhensives. On peut par exemple caractériser les situations, via entre autres l'étude de la pénalisation des acteurs sociaux par les inégalités de genre, ou encore étudier les rôles que tiennent les femmes, compte tenu des multiples fonctions qu'elles assurent. Plus largement, on peut se demander en quoi la question du genre peut aider à comprendre le changement climatique et aider à y apporter une réponse en corrigeant les fonctionnements.
Selon le pays, la question du genre prend des dimensions très différentes. Dans les sociétés moins avancées, les femmes sont soumises à de fortes contraintes sans pour autant bénéficier des mêmes droits ou du même statut que les hommes. La statut des femmes est bien souvent défavorable Pourtant, les fonctions qu'elles occupent leur permettre de disposer d'une grande culture concernant les espèces, par exemple en matière de soins. Ces sociétés sont particulièrement concernées par le changement climatique, car en tant qu'économies agricoles elles sont directement impactées par les aléas météorologiques et climatiques. De nombreux travaux, mouvements et organisations ont été menés et créés pour faire reconnaître la place et le rôle des femmes dans ces société, de manière à lutter contre les vulnérabilités et inégalités auxquelles elles sont exposées.
Dans les société plus avancées, les femmes bénéficient d'un meilleur statut grâce à une dynamique d'émancipation née il y a déjà plusieurs décennies. Il existe pourtant toujours des inégalités et discriminations. On peut néanmoins estimer que les mécanismes de domination genrés participent à la faillite environnementale. De nombreuses études ont souligné que les femmes étaient plus proches de la question environnnementale. Cependant, les rôles des hommes et des femmes dans ce domaine demeurent très différents.
Les femmes demandent à prendre part aux négociations concernant l'environnement et que la notion d'égalité des genres soit expressément reconnue. Les actions menées par les femmes sont toujours aujourd'hui insuffisamment documentées, valorisées, financées. Pourtant, des études ont montré le rôle notable que jouaient les femmes dans le maintien d'une agro-écologie préservant la biodiversité.
La question du genre ne peut pas donc expliquer à elle seule à celle du changement climatique, cependant elle peut y apporter un éclairage et permettre une meilleure analyse des rapports sociaux qui ont pu y conduire et influent les choix collectifs. Le WECF, pour sa part, revendique la place et le rôle des femmes dans la construction d'un monde sans domination, que ce soit sur la nature ou sur les femmes.
Il est reconnu, entre autres par l'ONU, que les femmes sont tout particulièrement impactées par le changement climatique. Pourtant, malgré qu'elles soient si concernées, les hommes participent bien davantage à l'élaboration des politiques environnementales. Il est souhaitable que la participation des femmes soit renforcée. Celles-ci proposent des solutions variées et mettent en oeuvre des actions diversifiées au niveau environnemental. Elles aspirent à une économie "efficace, verte, connectée, décentralisée, soucieuse de l'environnement". La contribution des femmes ne doit donc pas être négligée, et doit qui plus est être mieux reconnue.Pollution Atmosphérique, 227. Femmes, genre et changement climatique : l’exemple du WECF [texte imprimé] / L. Charles, Auteur ; Barre A., Auteur . - 2015.
Tags : femme genre réchauffement climatique changement climatique environnement inégalités discriminations vulnérabilités statut des femmes Résumé : Le genre a une signification et une importance particulières dans le domaine de l'environnement. Genre et environnement constituent tous deux des problématiques dans le champ de la relation (relations entre les sexes, relations entre les individus et l'environnement), sont tous les deux présents dans notre monde quotidien et ordinaire, englobent des registres complexes et multiples, ce qui rend les approches multiformes et pragmatiques plus adaptées que les approches strictement thématisées. Comme l'environnement peut interagir avec l'ensemble des comportements, il est intéressant d'étudier la distribution des rôles féminins et masculins et comment cette distribution peut permettre d'appréhender la question environnementale de manière plus large et compréhensives. On peut par exemple caractériser les situations, via entre autres l'étude de la pénalisation des acteurs sociaux par les inégalités de genre, ou encore étudier les rôles que tiennent les femmes, compte tenu des multiples fonctions qu'elles assurent. Plus largement, on peut se demander en quoi la question du genre peut aider à comprendre le changement climatique et aider à y apporter une réponse en corrigeant les fonctionnements.
Selon le pays, la question du genre prend des dimensions très différentes. Dans les sociétés moins avancées, les femmes sont soumises à de fortes contraintes sans pour autant bénéficier des mêmes droits ou du même statut que les hommes. La statut des femmes est bien souvent défavorable Pourtant, les fonctions qu'elles occupent leur permettre de disposer d'une grande culture concernant les espèces, par exemple en matière de soins. Ces sociétés sont particulièrement concernées par le changement climatique, car en tant qu'économies agricoles elles sont directement impactées par les aléas météorologiques et climatiques. De nombreux travaux, mouvements et organisations ont été menés et créés pour faire reconnaître la place et le rôle des femmes dans ces société, de manière à lutter contre les vulnérabilités et inégalités auxquelles elles sont exposées.
Dans les société plus avancées, les femmes bénéficient d'un meilleur statut grâce à une dynamique d'émancipation née il y a déjà plusieurs décennies. Il existe pourtant toujours des inégalités et discriminations. On peut néanmoins estimer que les mécanismes de domination genrés participent à la faillite environnementale. De nombreuses études ont souligné que les femmes étaient plus proches de la question environnnementale. Cependant, les rôles des hommes et des femmes dans ce domaine demeurent très différents.
Les femmes demandent à prendre part aux négociations concernant l'environnement et que la notion d'égalité des genres soit expressément reconnue. Les actions menées par les femmes sont toujours aujourd'hui insuffisamment documentées, valorisées, financées. Pourtant, des études ont montré le rôle notable que jouaient les femmes dans le maintien d'une agro-écologie préservant la biodiversité.
La question du genre ne peut pas donc expliquer à elle seule à celle du changement climatique, cependant elle peut y apporter un éclairage et permettre une meilleure analyse des rapports sociaux qui ont pu y conduire et influent les choix collectifs. Le WECF, pour sa part, revendique la place et le rôle des femmes dans la construction d'un monde sans domination, que ce soit sur la nature ou sur les femmes.
Il est reconnu, entre autres par l'ONU, que les femmes sont tout particulièrement impactées par le changement climatique. Pourtant, malgré qu'elles soient si concernées, les hommes participent bien davantage à l'élaboration des politiques environnementales. Il est souhaitable que la participation des femmes soit renforcée. Celles-ci proposent des solutions variées et mettent en oeuvre des actions diversifiées au niveau environnemental. Elles aspirent à une économie "efficace, verte, connectée, décentralisée, soucieuse de l'environnement". La contribution des femmes ne doit donc pas être négligée, et doit qui plus est être mieux reconnue.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
L227_CharlesURL Pollution Atmosphérique, 237-238. Les services de mobilité partagés peuventils aider la métropole lilloise à améliorer la qualité de l’air ? / Frère, S.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 237-238 Titre : Les services de mobilité partagés peuventils aider la métropole lilloise à améliorer la qualité de l’air ? Titre original : Could shared mobility services help Lille metropolitan area to improve air quality? Type de document : texte imprimé Auteurs : Frère, S., Auteur ; Castex, E., Auteur ; Mathon, S., Auteur Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Tags : Service de Transport Partagé (STP) mobilité comportements des usagers multimodalité inégalités Résumé : Les Services de Transports Partagés (STP) (covoiturage, autopartage, vélo libre-service, transport à la demande, etc.) s’intercalent entre les modes individuels et collectifs de transport. Développés ces dernières années comme réponse alternative à l’usage massif monomodal de la voiture, les STP témoignent d’une évolution dans la manière d’envisager la mobilité comme un service et non plus selon une logique infrastructurelle. Ce changement de paradigme de mobilité serait caractérisé par des comportements davantage multimodaux combinant modes individuels et/ou collectifs. En d’autres termes, les STP sont-ils un levier pour une mobilité plus durable et donc l’orientation vers des villes plus respirables et, si oui, à quelles conditions ? Des enquêtes qualitatives et quantitatives ont été réalisées auprès des usagers des STP de la métropole lilloise. L’adoption récente d’une zone de circulation restreinte par la métropole lilloise limitant l’accès des véhicules aux zones urbaines centrales pose de manière accrue la question des alternatives modales à la voiture particulière sur ce territoire. Les résultats d’enquête révèlent des pratiques fortement multimodales, avant-gardistes, sachant combiner sans difficulté plusieurs modes au gré des besoins. Affranchis de leur dépendance à la voiture, les enquêtés en perçoivent sans doute mieux que d’autres les désavantages. Néanmoins, l’offre de ces services reste parcellaire : ils ne se diffusent pas de manière homogène dans les territoires, contribuant à renforcer les inégalités territoriales et sociales. La densité et la centralité restent des critères déterminants dans l’émergence de solutions nouvelles, alternatives aux offres de transport traditionnelles. Par ailleurs, les résultats d’enquête confirment les travaux sociologiques antérieurs en ce que ces services à la mobilité sont utilisés de manière hétérogène par les différentes couches de la société. Enfin, l’article interroge les conditions d’une évolution vers des villes plus respirables. Le développement de services à la mobilité tel qu’il se fait aujourd’hui montre que la facilitation continue des conditions de déplacement en zone urbaine dense accentue les écarts entre centres et périphéries et pose une véritable question quant à la durabilité des politiques de déplacements. Pollution Atmosphérique, 237-238. Les services de mobilité partagés peuventils aider la métropole lilloise à améliorer la qualité de l’air ? = Could shared mobility services help Lille metropolitan area to improve air quality? [texte imprimé] / Frère, S., Auteur ; Castex, E., Auteur ; Mathon, S., Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Tags : Service de Transport Partagé (STP) mobilité comportements des usagers multimodalité inégalités Résumé : Les Services de Transports Partagés (STP) (covoiturage, autopartage, vélo libre-service, transport à la demande, etc.) s’intercalent entre les modes individuels et collectifs de transport. Développés ces dernières années comme réponse alternative à l’usage massif monomodal de la voiture, les STP témoignent d’une évolution dans la manière d’envisager la mobilité comme un service et non plus selon une logique infrastructurelle. Ce changement de paradigme de mobilité serait caractérisé par des comportements davantage multimodaux combinant modes individuels et/ou collectifs. En d’autres termes, les STP sont-ils un levier pour une mobilité plus durable et donc l’orientation vers des villes plus respirables et, si oui, à quelles conditions ? Des enquêtes qualitatives et quantitatives ont été réalisées auprès des usagers des STP de la métropole lilloise. L’adoption récente d’une zone de circulation restreinte par la métropole lilloise limitant l’accès des véhicules aux zones urbaines centrales pose de manière accrue la question des alternatives modales à la voiture particulière sur ce territoire. Les résultats d’enquête révèlent des pratiques fortement multimodales, avant-gardistes, sachant combiner sans difficulté plusieurs modes au gré des besoins. Affranchis de leur dépendance à la voiture, les enquêtés en perçoivent sans doute mieux que d’autres les désavantages. Néanmoins, l’offre de ces services reste parcellaire : ils ne se diffusent pas de manière homogène dans les territoires, contribuant à renforcer les inégalités territoriales et sociales. La densité et la centralité restent des critères déterminants dans l’émergence de solutions nouvelles, alternatives aux offres de transport traditionnelles. Par ailleurs, les résultats d’enquête confirment les travaux sociologiques antérieurs en ce que ces services à la mobilité sont utilisés de manière hétérogène par les différentes couches de la société. Enfin, l’article interroge les conditions d’une évolution vers des villes plus respirables. Le développement de services à la mobilité tel qu’il se fait aujourd’hui montre que la facilitation continue des conditions de déplacement en zone urbaine dense accentue les écarts entre centres et périphéries et pose une véritable question quant à la durabilité des politiques de déplacements. Exemplaires
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