Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique
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Pollution Atmosphérique, 235. Amélioration de la qualité de l’air et évolution du risque à court terme sur la mortalité en lien avec l’indice de fumée noire, entre 1992 et 2010, dans l’agglomération parisienne / S. Host
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 235 Titre : Amélioration de la qualité de l’air et évolution du risque à court terme sur la mortalité en lien avec l’indice de fumée noire, entre 1992 et 2010, dans l’agglomération parisienne Titre original : Short term effects of black smoke index on mortality between 1992 and 2010 in Paris: air quality improvement and influence on health risk Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Host, Auteur ; Chatignoux E., Auteur Année de publication : 2017 Tags : agglomération parisienne fumées noires modification des risques mortalité séries temporelles Résumé : Depuis les années 1990, le programme Erpurs fournit régulièrement des estimations du risque sanitaire engendré par les expositions de la population francilienne aux polluants de l’atmosphère urbaine. L’évolution de la nature de la pollution résultant de la modification de l’intensité et de la nature des sources d’émission est susceptible de modifier le risque sanitaire. Or, du fait de la variation de certains paramètres, ces analyses répétées ne permettent pas de documenter l’évolution proprement dite de ce risque au cours des dernières décennies. Ainsi, cette nouvelle étude du programme Erpurs a pour objectif, à partir de modélisations de séries temporelles, de relier le niveau moyen journalier de l’indice de Fumée Noire (FN) aux nombres quotidiens de décès non accidentels survenus sur la période allant de 1992 à 2010, à Paris et en proche couronne, et de tester si cette relation a évolué au cours des années. Des analyses de séries temporelles ont été utilisées. La tendance à long et moyen termes des indicateurs et les facteurs météorologiques ont été pris en compte dans l’analyse en tant que cofacteurs. Quatre modèles ont été testés. Les analyses confirment l’existence d’un lien positif et significatif entre les particules ainsi mesurées et la mortalité totale non accidentelle. Une hausse de 10 µg/m3 des niveaux moyens de l’indice de fumée noire s’accompagne d’une augmentation de l’ordre de 0,4 % du nombre quotidien de décès. En ce qui concerne l’évolution du risque sur la période, les différents modèles mis en œuvre n’ont pas permis de détecter une (éventuelle) modification du risque avec le temps, malgré un changement de la composition de la pollution atmosphérique. Pollution Atmosphérique, 235. Amélioration de la qualité de l’air et évolution du risque à court terme sur la mortalité en lien avec l’indice de fumée noire, entre 1992 et 2010, dans l’agglomération parisienne = Short term effects of black smoke index on mortality between 1992 and 2010 in Paris: air quality improvement and influence on health risk [texte imprimé] / S. Host, Auteur ; Chatignoux E., Auteur . - 2017.
Tags : agglomération parisienne fumées noires modification des risques mortalité séries temporelles Résumé : Depuis les années 1990, le programme Erpurs fournit régulièrement des estimations du risque sanitaire engendré par les expositions de la population francilienne aux polluants de l’atmosphère urbaine. L’évolution de la nature de la pollution résultant de la modification de l’intensité et de la nature des sources d’émission est susceptible de modifier le risque sanitaire. Or, du fait de la variation de certains paramètres, ces analyses répétées ne permettent pas de documenter l’évolution proprement dite de ce risque au cours des dernières décennies. Ainsi, cette nouvelle étude du programme Erpurs a pour objectif, à partir de modélisations de séries temporelles, de relier le niveau moyen journalier de l’indice de Fumée Noire (FN) aux nombres quotidiens de décès non accidentels survenus sur la période allant de 1992 à 2010, à Paris et en proche couronne, et de tester si cette relation a évolué au cours des années. Des analyses de séries temporelles ont été utilisées. La tendance à long et moyen termes des indicateurs et les facteurs météorologiques ont été pris en compte dans l’analyse en tant que cofacteurs. Quatre modèles ont été testés. Les analyses confirment l’existence d’un lien positif et significatif entre les particules ainsi mesurées et la mortalité totale non accidentelle. Une hausse de 10 µg/m3 des niveaux moyens de l’indice de fumée noire s’accompagne d’une augmentation de l’ordre de 0,4 % du nombre quotidien de décès. En ce qui concerne l’évolution du risque sur la période, les différents modèles mis en œuvre n’ont pas permis de détecter une (éventuelle) modification du risque avec le temps, malgré un changement de la composition de la pollution atmosphérique. Exemplaires(0)
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L235_Host.pdfAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 225. Calculs des effets sur la pollution atmosphérique, la santé et l’économie d’un programme d’amélioration de l’isolation des bâtiments en Europe / Bønløkke HJ.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 225 Titre : Calculs des effets sur la pollution atmosphérique, la santé et l’économie d’un programme d’amélioration de l’isolation des bâtiments en Europe Titre original : Modeled effects of an improved building insulation scenario in Europe on air pollution, health and societal costs Type de document : texte imprimé Auteurs : Bønløkke HJ., Auteur ; Holst G., Auteur ; Sigsgaard T, Auteur ; Smith Korsholm U., Auteur ; B. Amstrup, Auteur ; Gonzalez-Aparicio I., Auteur ; Havskov Sørensen J., Auteur Année de publication : 2015 Tags : chauffage domestique climatisation isolation des bâtiments pollution de l'air émissions polluants atmosphériques mortalité pollution atmosphérique Résumé : En Europe, une partie importante de l'énergie produite est utilisée pour le chauffage domestique et pour la climatisation. La qualité de l'isolation des bâtiments a ainsi un impact significatif sur la pollution de l'air.
Les objectifs de ce travail sont de modéliser et calculer les effets d'une amélioration importante de l'isolation des bâtiments existants en Europe sur les niveaux de pollution de l'air, sur la santé et sur l'économie.
L'énergie utilisée dans deux scénarios différents a été comparée entre 2005 et 2020 : un scénario d’un programme de l'isolation des bâtiments existants en Europe et un scénario de statu quo. Les variations des émissions issues de ces deux scénarios ont été intégrées dans un modèle de la qualité de l'air (the Comprehensive Air-Quality Model with extensions). Les variations annuelles moyennes des principaux polluants atmosphériques ont été calculées pour chaque pays. Des données venant de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et de l'Union Européenne (UE) sur les populations et sur les impacts des polluants ont été utilisées pour déduire quels sont les effets sur la santé et l’économie. La qualité de l'air intérieur ne faisait pas partie de l’étude.
Avec le programme de l'isolation des bâtiments existants en Europe, les niveaux moyens annuels de la pollution atmosphérique particulaire fine (PM2,5) variaient de -0,008 µg/m3 (Finlande) à -0,538 µg/m3 (Belgique). Le nombre moyen d'années de vie gagné par année par 100 000 adultes était de 24,3 (intervalle de confiance 95 % de 0,9 à 54,5). Le nombre total d'années de vie gagnées chaque année variait, selon les pays, entre 31 en Finlande à 22 524 en Allemagne. Le nombre total d'années de vie gagnées était de 78 678 en Europe. Un total de 7 173 cas de bronchite chronique pourrait être évité chaque année. Plusieurs autres effets sur la santé étaient améliorés de façon similaire. Les coûts pour la société s’élevaient à 6,64 milliards d’euros par an.
En plus de la réduction des émissions de carbone, un programme de l'isolation des bâtiments existants en Europe aurait des avantages substantiels sur la santé grâce à l’amélioration de la pollution atmosphérique. Les effets sur la santé et sur l’économie peuvent contrebalancer de façon significative les coûts d'investissement et devraient être pris en compte lors de l'évaluation des stratégies d'atténuation du réchauffement climatique.Pollution Atmosphérique, 225. Calculs des effets sur la pollution atmosphérique, la santé et l’économie d’un programme d’amélioration de l’isolation des bâtiments en Europe = Modeled effects of an improved building insulation scenario in Europe on air pollution, health and societal costs [texte imprimé] / Bønløkke HJ., Auteur ; Holst G., Auteur ; Sigsgaard T, Auteur ; Smith Korsholm U., Auteur ; B. Amstrup, Auteur ; Gonzalez-Aparicio I., Auteur ; Havskov Sørensen J., Auteur . - 2015.
Tags : chauffage domestique climatisation isolation des bâtiments pollution de l'air émissions polluants atmosphériques mortalité pollution atmosphérique Résumé : En Europe, une partie importante de l'énergie produite est utilisée pour le chauffage domestique et pour la climatisation. La qualité de l'isolation des bâtiments a ainsi un impact significatif sur la pollution de l'air.
Les objectifs de ce travail sont de modéliser et calculer les effets d'une amélioration importante de l'isolation des bâtiments existants en Europe sur les niveaux de pollution de l'air, sur la santé et sur l'économie.
L'énergie utilisée dans deux scénarios différents a été comparée entre 2005 et 2020 : un scénario d’un programme de l'isolation des bâtiments existants en Europe et un scénario de statu quo. Les variations des émissions issues de ces deux scénarios ont été intégrées dans un modèle de la qualité de l'air (the Comprehensive Air-Quality Model with extensions). Les variations annuelles moyennes des principaux polluants atmosphériques ont été calculées pour chaque pays. Des données venant de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et de l'Union Européenne (UE) sur les populations et sur les impacts des polluants ont été utilisées pour déduire quels sont les effets sur la santé et l’économie. La qualité de l'air intérieur ne faisait pas partie de l’étude.
Avec le programme de l'isolation des bâtiments existants en Europe, les niveaux moyens annuels de la pollution atmosphérique particulaire fine (PM2,5) variaient de -0,008 µg/m3 (Finlande) à -0,538 µg/m3 (Belgique). Le nombre moyen d'années de vie gagné par année par 100 000 adultes était de 24,3 (intervalle de confiance 95 % de 0,9 à 54,5). Le nombre total d'années de vie gagnées chaque année variait, selon les pays, entre 31 en Finlande à 22 524 en Allemagne. Le nombre total d'années de vie gagnées était de 78 678 en Europe. Un total de 7 173 cas de bronchite chronique pourrait être évité chaque année. Plusieurs autres effets sur la santé étaient améliorés de façon similaire. Les coûts pour la société s’élevaient à 6,64 milliards d’euros par an.
En plus de la réduction des émissions de carbone, un programme de l'isolation des bâtiments existants en Europe aurait des avantages substantiels sur la santé grâce à l’amélioration de la pollution atmosphérique. Les effets sur la santé et sur l’économie peuvent contrebalancer de façon significative les coûts d'investissement et devraient être pris en compte lors de l'évaluation des stratégies d'atténuation du réchauffement climatique.Exemplaires(0)
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