Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique
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Titre de série : Pollution Atmosphérique, 231-232 Titre : G²AME - Grand Genève Air Modèle Émissions Titre original : G²AME - Grand Genève Air Model Emissions Type de document : texte imprimé Auteurs : Brulfert G., Auteur ; Chapuis D., Auteur ; Royer P., Auteur Année de publication : 2016 Tags : émissions modélisation pollution de l’air programme INTERREG IV zone frontalière Résumé : Avec presque 1 million d’habitants sur le Grand Genève, l’amélioration de la qualité de l’air constitue un enjeu sanitaire important, tout autant qu’une attente forte des populations. Ce constat est largement partagé entre la France et la Confédération helvétique. Les actions des uns ayant des répercussions sur la qualité de l’air respiré par les autres, il est par conséquent indispensable qu’il existe une vision partagée, des outils communs puis une gestion coordonnée de la qualité de l’air à l’échelle des 212 communes de l’espace franco-suisse qu’est le Grand Genève.
Les éléments du premier diagnostic de la qualité de l’air sur le Grand Genève établi en 2012 ont mis en évidence certains points de vigilance comme le centre-ville et l’aéroport de Genève, ainsi que les secteurs résidentiels. La région Rhône-Alpes est concernée par des dépassements réguliers des normes de qualité de l’air définies au niveau européen. Parmi les secteurs qui posent problème figure l’agglomération d’Annemasse, avec des dépassements enregistrés en poussières fines. Cette agglomération est située entre deux zones particulièrement concernées par la pollution atmosphérique : d’un côté, le bassin genevois et, de l’autre, la vallée de l’Arve, faisant actuellement l’objet d’un Plan de Protection de l’Atmosphère (dont certaines communes font partie du Grand Genève).
L’objectif du projet G²AME (Grand Genève Air Modèle Émission) a été de produire un outil commun et harmonisé de diagnostic et d’aide à l’établissement d’un plan d’actions à l’échelle du Grand Genève. Cet outil a permis de mieux connaître les émissions de polluants du territoire transfrontalier, de travailler de manière prospective en identifiant les secteurs les plus émetteurs et de tester l’évaluation d’actions d’aménagement du territoire, d’infrastructure ou d’action d’amélioration de la qualité de l’air.
Ainsi, le programme élaboré sur 2 ans, de juin 2013 à l’été 2015, a permis :
- la mise en cohérence des inventaires d’émissions en situation actuelle : cette action a permis de cartographier de part et d’autre de la frontière les sources et polluants, et d’estimer quantitativement les différentes sources d’émissions du bassin. Ainsi, ce travail a permis de mettre en évidence les différences de parc roulant entre les pays, la prédominance des émissions de PM10 du secteur résidentiel côté français, l’importance des émissions d’oxydes d’azote de Genève et de la zone aéroportuaire ;
- le développement d’un modèle transfrontalier commun pour la cartographie de la qualité de l’air et l’étude des scénarios : ce modèle numérique permet de cartographier les concentrations et les dépassements de normes de la qualité de l’air sur le bassin (selon les normes en vigueur dans chaque pays). Ce modèle permet à la fois un calcul de la pollution de fond régional par WRF/Chimère en prenant en compte l’ensemble des stations de mesures françaises et suisses puis un calcul à l’échelle de la rue sur l’ensemble du réseau routier, à l’aide du modèle SIRANE ;
- le calcul prospectif de scenarios d’émissions : cette action a permis d’élaborer des scénarios réalistes à l’échéance 2020 et 2030, afin de cartographier et estimer l’évolution des émissions et des concentrations associées, ainsi que les populations impactées à ces échéances (entre 50 et 75 % de la population encore impactée sur le Grand Genève pour les PM10, suivant les normes suisses actuelles en 2030).
G²AME est une opération réalisée dans le cadre du programme de coopération territoriale européenne INTERREG IV A France-Suisse 2007-2013.Pollution Atmosphérique, 231-232. G²AME - Grand Genève Air Modèle Émissions = G²AME - Grand Genève Air Model Emissions [texte imprimé] / Brulfert G., Auteur ; Chapuis D., Auteur ; Royer P., Auteur . - 2016.
Tags : émissions modélisation pollution de l’air programme INTERREG IV zone frontalière Résumé : Avec presque 1 million d’habitants sur le Grand Genève, l’amélioration de la qualité de l’air constitue un enjeu sanitaire important, tout autant qu’une attente forte des populations. Ce constat est largement partagé entre la France et la Confédération helvétique. Les actions des uns ayant des répercussions sur la qualité de l’air respiré par les autres, il est par conséquent indispensable qu’il existe une vision partagée, des outils communs puis une gestion coordonnée de la qualité de l’air à l’échelle des 212 communes de l’espace franco-suisse qu’est le Grand Genève.
Les éléments du premier diagnostic de la qualité de l’air sur le Grand Genève établi en 2012 ont mis en évidence certains points de vigilance comme le centre-ville et l’aéroport de Genève, ainsi que les secteurs résidentiels. La région Rhône-Alpes est concernée par des dépassements réguliers des normes de qualité de l’air définies au niveau européen. Parmi les secteurs qui posent problème figure l’agglomération d’Annemasse, avec des dépassements enregistrés en poussières fines. Cette agglomération est située entre deux zones particulièrement concernées par la pollution atmosphérique : d’un côté, le bassin genevois et, de l’autre, la vallée de l’Arve, faisant actuellement l’objet d’un Plan de Protection de l’Atmosphère (dont certaines communes font partie du Grand Genève).
L’objectif du projet G²AME (Grand Genève Air Modèle Émission) a été de produire un outil commun et harmonisé de diagnostic et d’aide à l’établissement d’un plan d’actions à l’échelle du Grand Genève. Cet outil a permis de mieux connaître les émissions de polluants du territoire transfrontalier, de travailler de manière prospective en identifiant les secteurs les plus émetteurs et de tester l’évaluation d’actions d’aménagement du territoire, d’infrastructure ou d’action d’amélioration de la qualité de l’air.
Ainsi, le programme élaboré sur 2 ans, de juin 2013 à l’été 2015, a permis :
- la mise en cohérence des inventaires d’émissions en situation actuelle : cette action a permis de cartographier de part et d’autre de la frontière les sources et polluants, et d’estimer quantitativement les différentes sources d’émissions du bassin. Ainsi, ce travail a permis de mettre en évidence les différences de parc roulant entre les pays, la prédominance des émissions de PM10 du secteur résidentiel côté français, l’importance des émissions d’oxydes d’azote de Genève et de la zone aéroportuaire ;
- le développement d’un modèle transfrontalier commun pour la cartographie de la qualité de l’air et l’étude des scénarios : ce modèle numérique permet de cartographier les concentrations et les dépassements de normes de la qualité de l’air sur le bassin (selon les normes en vigueur dans chaque pays). Ce modèle permet à la fois un calcul de la pollution de fond régional par WRF/Chimère en prenant en compte l’ensemble des stations de mesures françaises et suisses puis un calcul à l’échelle de la rue sur l’ensemble du réseau routier, à l’aide du modèle SIRANE ;
- le calcul prospectif de scenarios d’émissions : cette action a permis d’élaborer des scénarios réalistes à l’échéance 2020 et 2030, afin de cartographier et estimer l’évolution des émissions et des concentrations associées, ainsi que les populations impactées à ces échéances (entre 50 et 75 % de la population encore impactée sur le Grand Genève pour les PM10, suivant les normes suisses actuelles en 2030).
G²AME est une opération réalisée dans le cadre du programme de coopération territoriale européenne INTERREG IV A France-Suisse 2007-2013.Exemplaires
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L232_BrulfertAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 225. Calculs des effets sur la pollution atmosphérique, la santé et l’économie d’un programme d’amélioration de l’isolation des bâtiments en Europe / Bønløkke HJ.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 225 Titre : Calculs des effets sur la pollution atmosphérique, la santé et l’économie d’un programme d’amélioration de l’isolation des bâtiments en Europe Titre original : Modeled effects of an improved building insulation scenario in Europe on air pollution, health and societal costs Type de document : texte imprimé Auteurs : Bønløkke HJ., Auteur ; Holst G., Auteur ; Sigsgaard T, Auteur ; Smith Korsholm U., Auteur ; B. Amstrup, Auteur ; Gonzalez-Aparicio I., Auteur ; Havskov Sørensen J., Auteur Année de publication : 2015 Tags : chauffage domestique climatisation isolation des bâtiments pollution de l'air émissions polluants atmosphériques mortalité pollution atmosphérique Résumé : En Europe, une partie importante de l'énergie produite est utilisée pour le chauffage domestique et pour la climatisation. La qualité de l'isolation des bâtiments a ainsi un impact significatif sur la pollution de l'air.
Les objectifs de ce travail sont de modéliser et calculer les effets d'une amélioration importante de l'isolation des bâtiments existants en Europe sur les niveaux de pollution de l'air, sur la santé et sur l'économie.
L'énergie utilisée dans deux scénarios différents a été comparée entre 2005 et 2020 : un scénario d’un programme de l'isolation des bâtiments existants en Europe et un scénario de statu quo. Les variations des émissions issues de ces deux scénarios ont été intégrées dans un modèle de la qualité de l'air (the Comprehensive Air-Quality Model with extensions). Les variations annuelles moyennes des principaux polluants atmosphériques ont été calculées pour chaque pays. Des données venant de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et de l'Union Européenne (UE) sur les populations et sur les impacts des polluants ont été utilisées pour déduire quels sont les effets sur la santé et l’économie. La qualité de l'air intérieur ne faisait pas partie de l’étude.
Avec le programme de l'isolation des bâtiments existants en Europe, les niveaux moyens annuels de la pollution atmosphérique particulaire fine (PM2,5) variaient de -0,008 µg/m3 (Finlande) à -0,538 µg/m3 (Belgique). Le nombre moyen d'années de vie gagné par année par 100 000 adultes était de 24,3 (intervalle de confiance 95 % de 0,9 à 54,5). Le nombre total d'années de vie gagnées chaque année variait, selon les pays, entre 31 en Finlande à 22 524 en Allemagne. Le nombre total d'années de vie gagnées était de 78 678 en Europe. Un total de 7 173 cas de bronchite chronique pourrait être évité chaque année. Plusieurs autres effets sur la santé étaient améliorés de façon similaire. Les coûts pour la société s’élevaient à 6,64 milliards d’euros par an.
En plus de la réduction des émissions de carbone, un programme de l'isolation des bâtiments existants en Europe aurait des avantages substantiels sur la santé grâce à l’amélioration de la pollution atmosphérique. Les effets sur la santé et sur l’économie peuvent contrebalancer de façon significative les coûts d'investissement et devraient être pris en compte lors de l'évaluation des stratégies d'atténuation du réchauffement climatique.Pollution Atmosphérique, 225. Calculs des effets sur la pollution atmosphérique, la santé et l’économie d’un programme d’amélioration de l’isolation des bâtiments en Europe = Modeled effects of an improved building insulation scenario in Europe on air pollution, health and societal costs [texte imprimé] / Bønløkke HJ., Auteur ; Holst G., Auteur ; Sigsgaard T, Auteur ; Smith Korsholm U., Auteur ; B. Amstrup, Auteur ; Gonzalez-Aparicio I., Auteur ; Havskov Sørensen J., Auteur . - 2015.
Tags : chauffage domestique climatisation isolation des bâtiments pollution de l'air émissions polluants atmosphériques mortalité pollution atmosphérique Résumé : En Europe, une partie importante de l'énergie produite est utilisée pour le chauffage domestique et pour la climatisation. La qualité de l'isolation des bâtiments a ainsi un impact significatif sur la pollution de l'air.
Les objectifs de ce travail sont de modéliser et calculer les effets d'une amélioration importante de l'isolation des bâtiments existants en Europe sur les niveaux de pollution de l'air, sur la santé et sur l'économie.
L'énergie utilisée dans deux scénarios différents a été comparée entre 2005 et 2020 : un scénario d’un programme de l'isolation des bâtiments existants en Europe et un scénario de statu quo. Les variations des émissions issues de ces deux scénarios ont été intégrées dans un modèle de la qualité de l'air (the Comprehensive Air-Quality Model with extensions). Les variations annuelles moyennes des principaux polluants atmosphériques ont été calculées pour chaque pays. Des données venant de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et de l'Union Européenne (UE) sur les populations et sur les impacts des polluants ont été utilisées pour déduire quels sont les effets sur la santé et l’économie. La qualité de l'air intérieur ne faisait pas partie de l’étude.
Avec le programme de l'isolation des bâtiments existants en Europe, les niveaux moyens annuels de la pollution atmosphérique particulaire fine (PM2,5) variaient de -0,008 µg/m3 (Finlande) à -0,538 µg/m3 (Belgique). Le nombre moyen d'années de vie gagné par année par 100 000 adultes était de 24,3 (intervalle de confiance 95 % de 0,9 à 54,5). Le nombre total d'années de vie gagnées chaque année variait, selon les pays, entre 31 en Finlande à 22 524 en Allemagne. Le nombre total d'années de vie gagnées était de 78 678 en Europe. Un total de 7 173 cas de bronchite chronique pourrait être évité chaque année. Plusieurs autres effets sur la santé étaient améliorés de façon similaire. Les coûts pour la société s’élevaient à 6,64 milliards d’euros par an.
En plus de la réduction des émissions de carbone, un programme de l'isolation des bâtiments existants en Europe aurait des avantages substantiels sur la santé grâce à l’amélioration de la pollution atmosphérique. Les effets sur la santé et sur l’économie peuvent contrebalancer de façon significative les coûts d'investissement et devraient être pris en compte lors de l'évaluation des stratégies d'atténuation du réchauffement climatique.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
L225_BonlokkeAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 231-232. Dans la vallée de l’Arve, une approche innovante de la gestion de la pollution atmosphérique / I. Roussel
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 231-232 Titre : Dans la vallée de l’Arve, une approche innovante de la gestion de la pollution atmosphérique Type de document : texte imprimé Auteurs : I. Roussel, Auteur Année de publication : 2016 Tags : vallée de l'Arve autoroute polluants inversion de température pollution qualité de l'air émissions Résumé : La vallée de l’Arve, fermée par le massif du Mont-Blanc et entourée par de hauts sommets, est une voie d’accès privilégiée pour atteindre l’Italie mais aussi gagner de nombreuses stations touristiques, attractives aussi bien l’hiver que l’été. Ainsi, le fond de la vallée est parcouru par l’autoroute dite de la vallée Blanche, qui conduit jusqu’au tunnel du Mont-Blanc. C’est pour quantifier les nuisances liées à l’autoroute et son impact sur la qualité de l’air que le laboratoire de glaciologie de Grenoble a proposé, dans le cadre de l’appel d’offre Primequal1 lancé en 2001 (copiloté et cofinancé par le ministère en charge de l’environnement et l’ADEME), une étude dénommée POVA2 (Pollution des vallées alpines). Cette étude a été le point de départ de toute une série d’investigations destinées à mieux comprendre les mécanismes de la pollution dans la vallée, de façon à limiter, à défaut d’éradiquer, les émissions. Pollution Atmosphérique, 231-232. Dans la vallée de l’Arve, une approche innovante de la gestion de la pollution atmosphérique [texte imprimé] / I. Roussel, Auteur . - 2016.
Tags : vallée de l'Arve autoroute polluants inversion de température pollution qualité de l'air émissions Résumé : La vallée de l’Arve, fermée par le massif du Mont-Blanc et entourée par de hauts sommets, est une voie d’accès privilégiée pour atteindre l’Italie mais aussi gagner de nombreuses stations touristiques, attractives aussi bien l’hiver que l’été. Ainsi, le fond de la vallée est parcouru par l’autoroute dite de la vallée Blanche, qui conduit jusqu’au tunnel du Mont-Blanc. C’est pour quantifier les nuisances liées à l’autoroute et son impact sur la qualité de l’air que le laboratoire de glaciologie de Grenoble a proposé, dans le cadre de l’appel d’offre Primequal1 lancé en 2001 (copiloté et cofinancé par le ministère en charge de l’environnement et l’ADEME), une étude dénommée POVA2 (Pollution des vallées alpines). Cette étude a été le point de départ de toute une série d’investigations destinées à mieux comprendre les mécanismes de la pollution dans la vallée, de façon à limiter, à défaut d’éradiquer, les émissions. Exemplaires
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