Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique
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Pollution Atmosphérique, 225. Les enjeux de la territorialisation des changements climatiques : les épreuves de la montée en compétence des entreprises à travers l’exemple alsacien / Rudolf F.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 225 Titre : Les enjeux de la territorialisation des changements climatiques : les épreuves de la montée en compétence des entreprises à travers l’exemple alsacien Titre original : The challenges of regionalization of climat changes: The trials of businnesses growing competence through the exemple of Alsace region. Type de document : texte imprimé Auteurs : Rudolf F., Auteur Année de publication : 2015 Tags : services climatiques changements climatiques Alsace politiques de mitigation politiques d'adaptation climat plans climat énergie territoriaux alsaciens outils territoriaux étude territoriale Résumé : L’article interroge les contours et les contenus potentiels des « services climatiques », nouveaux supports d’information et guides d’action destinés aux entreprises pour faire face aux changements climatiques. Il mobilise les résultats d’une recherche qualitative menée entre 2011 et 2014 en Alsace et rend compte des enjeux des politiques de mitigation et d’adaptation à l’échelle territoriale via les retours d’expérience d’une quarantaine d’entretiens qualitatifs effectués auprès de chargés de mission climat des huit plans climat énergie territoriaux alsaciens, de chefs d’entreprises, de responsables hygiène, sécurité, environnement, et de sociétés de consultants. Pollution Atmosphérique, 225. Les enjeux de la territorialisation des changements climatiques : les épreuves de la montée en compétence des entreprises à travers l’exemple alsacien = The challenges of regionalization of climat changes: The trials of businnesses growing competence through the exemple of Alsace region. [texte imprimé] / Rudolf F., Auteur . - 2015.
Tags : services climatiques changements climatiques Alsace politiques de mitigation politiques d'adaptation climat plans climat énergie territoriaux alsaciens outils territoriaux étude territoriale Résumé : L’article interroge les contours et les contenus potentiels des « services climatiques », nouveaux supports d’information et guides d’action destinés aux entreprises pour faire face aux changements climatiques. Il mobilise les résultats d’une recherche qualitative menée entre 2011 et 2014 en Alsace et rend compte des enjeux des politiques de mitigation et d’adaptation à l’échelle territoriale via les retours d’expérience d’une quarantaine d’entretiens qualitatifs effectués auprès de chargés de mission climat des huit plans climat énergie territoriaux alsaciens, de chefs d’entreprises, de responsables hygiène, sécurité, environnement, et de sociétés de consultants. Exemplaires(0)
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Titre de série : Pollution Atmosphérique, 227 Titre : Agir pour le climat : un acte de foi ? Titre original : Acting for climate: a matter of faith ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Kopp M., Auteur Année de publication : 2015 Tags : climat engagement pour le climat religion justice climatique Fédération Luthérienne Mondiale acteurs religieux et spirituels COP 21 changements climatiques pratiques spirituelles Résumé : Dans cet article sont explorés pour partie l’engagement pour le climat d’acteurs religieux et spirituels et ses fondements théologiques. La visibilité récente de cette action, notamment suite à la publication de l’encyclique Laudato Si du pape François et sa médiatisation planétaire, est inversement proportionnelle à la connaissance qu’en ont les sciences sociales. Du fait du caractère largement inexploré du champ, l’article s’interdit tout propos généralisateur et propose plutôt des coups de projecteurs dont l’orientation provient de la situation de l’auteur, lui-même un acteur de terrain, chargé de plaidoyer pour la justice climatique de la Fédération Luthérienne Mondiale. Il apparaît que, fondée dans la théologie propre à chaque tradition, l’action d’acteurs religieux et spirituels est multiforme. Pour la COP-21 en particulier, des pratiques spirituelles millénaires comme la prière, le jeûne, le pèlerinage et la méditation sont investies et adaptées au défi posé par les changements climatiques. Pollution Atmosphérique, 227. Agir pour le climat : un acte de foi ? = Acting for climate: a matter of faith ? [texte imprimé] / Kopp M., Auteur . - 2015.
Tags : climat engagement pour le climat religion justice climatique Fédération Luthérienne Mondiale acteurs religieux et spirituels COP 21 changements climatiques pratiques spirituelles Résumé : Dans cet article sont explorés pour partie l’engagement pour le climat d’acteurs religieux et spirituels et ses fondements théologiques. La visibilité récente de cette action, notamment suite à la publication de l’encyclique Laudato Si du pape François et sa médiatisation planétaire, est inversement proportionnelle à la connaissance qu’en ont les sciences sociales. Du fait du caractère largement inexploré du champ, l’article s’interdit tout propos généralisateur et propose plutôt des coups de projecteurs dont l’orientation provient de la situation de l’auteur, lui-même un acteur de terrain, chargé de plaidoyer pour la justice climatique de la Fédération Luthérienne Mondiale. Il apparaît que, fondée dans la théologie propre à chaque tradition, l’action d’acteurs religieux et spirituels est multiforme. Pour la COP-21 en particulier, des pratiques spirituelles millénaires comme la prière, le jeûne, le pèlerinage et la méditation sont investies et adaptées au défi posé par les changements climatiques. Exemplaires(0)
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L227_KoppAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 227. Comment les villes se positionnent-elles par rapport à la dynamique suscitée par le climat et la COP-21 ? – Entretien avec Célia Blauel et Jean-Patrick Masson / I. Roussel
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 227 Titre : Comment les villes se positionnent-elles par rapport à la dynamique suscitée par le climat et la COP-21 ? – Entretien avec Célia Blauel et Jean-Patrick Masson Type de document : texte imprimé Auteurs : I. Roussel, Auteur Année de publication : 2015 Tags : COP COP 21 climat Convention climat lutte contre le changement climatique Agenda de l'action NAZCA entreprises institutions financières gouvernements locaux villes Sommet Climat et Territoires PNUE CO2 développement durable Paris Dijon politique environnementale Résumé : Depuis la COP de Copenhague, en 2009, on assiste à une reconnaissance progressive par la Convention climat des gouvernements locaux et autorités municipales comme des acteurs à part entière de la lutte contre le changement climatique. Une grande partie des engagements des États sont en effet mis en œuvre via et sur les territoires (transports en commun, planification territoriale, adaptation, rénovation énergétique, production d’énergies renouvelables...). Un des piliers de la réussite des négociations de Paris consiste à valoriser et renforcer l’ « Agenda des solutions », c’est-à-dire l’ensemble des mesures concrètes que les acteurs non étatiques, gouvernements locaux et entreprises, peuvent déjà réaliser avant 2020, date à laquelle l’hypothétique accord de Paris deviendra effectif. Cet « Agenda de l’action » est considéré comme complémentaire à celui des États, indispensable pour laisser entrouverte la possibilité de ne pas dépasser les 2 °C. La CCNUCC, en collaboration avec les présidences péruvienne et française, a ainsi lancé lors de la COP-20 une plate-forme dédiée à la reconnaissance et à la valorisation des engagements des acteurs non étatiques : NAZCA (Non-state Actors Zone for Climate Action). Cette plate-forme concerne les actions des entreprises, des institutions financières et des gouvernements locaux. Elle créée un effet concret d’entraînement et d’émulation et devrait à l’avenir jouer un rôle croissant, voire majeur. Ces actions sont des signaux envoyés aux États et aux marchés financiers pour encourager un changement de modèle : si les aspirations de la société changent aux niveaux national et mondial, alors les États et les marchés sont davantage enclins à accompagner ce mouvement.
Si les projecteurs sont largement braqués sur les entreprises qui, par l’innovation et leur implantation planétaire, détiennent des leviers efficaces pour mettre en place la société de demain, les villes veulent également faire entendre leur voix. Elles se sont organisées en réseaux pour peser sur les négociations et profitent du moment fort de la COP-21 pour montrer l’importance de leurs actions menées dans l’ombre depuis de longues années ; elles espèrent également que le dispositif onusien les aidera à lever quelques verrous qui restreignent la portée des actions engagées. Le sommet Climat et Territoires a rassemblé, autour d’une déclaration commune, un large panel d’acteurs non étatiques (gouvernements locaux, acteurs économiques, associations, etc.) représentant indirectement les deux tiers de la population mondiale (cf. compte-rendu dans ce numéro).
Le rapport du Programme des Nations Unies sur l’Environnement (PNUE) : « Climate commitments of sub-national actors and businesses »1 a analysé 15 initiatives locales et sectorielles qui représenteraient pour l’année 2020, l’équivalent d’une réduction d’au moins 2 gigatonnes de CO2, soit la contribution au changement climatique d’un pays comme l’Inde ou la Russie (8 à 10 % du total annuel des émissions). Les villes, appelées à de profondes transformations pour devenir durables, sobres et saines, représentent un enjeu considérable puisqu’elles réunissent plus de la moitié de la population mondiale.
Pour découvrir la position des villes à la veille de la COP-21, la revue Pollution Atmosphérique a interrogé Célia Blauel et Jean-Patrick Masson, qui présentent les orientations des actions entreprises à Paris et à Dijon. Les propos recueillis ont été intégrés dans une perspective plus large sur l’action des villes, et spécialement des villes françaises, vis-à-vis de l’environnement et du changement climatique, puisque les avancées effectuées en direction de la maîtrise du climat s’intègrent dans les mises en œuvre urbaines des politiques environnementales.Pollution Atmosphérique, 227. Comment les villes se positionnent-elles par rapport à la dynamique suscitée par le climat et la COP-21 ? – Entretien avec Célia Blauel et Jean-Patrick Masson [texte imprimé] / I. Roussel, Auteur . - 2015.
Tags : COP COP 21 climat Convention climat lutte contre le changement climatique Agenda de l'action NAZCA entreprises institutions financières gouvernements locaux villes Sommet Climat et Territoires PNUE CO2 développement durable Paris Dijon politique environnementale Résumé : Depuis la COP de Copenhague, en 2009, on assiste à une reconnaissance progressive par la Convention climat des gouvernements locaux et autorités municipales comme des acteurs à part entière de la lutte contre le changement climatique. Une grande partie des engagements des États sont en effet mis en œuvre via et sur les territoires (transports en commun, planification territoriale, adaptation, rénovation énergétique, production d’énergies renouvelables...). Un des piliers de la réussite des négociations de Paris consiste à valoriser et renforcer l’ « Agenda des solutions », c’est-à-dire l’ensemble des mesures concrètes que les acteurs non étatiques, gouvernements locaux et entreprises, peuvent déjà réaliser avant 2020, date à laquelle l’hypothétique accord de Paris deviendra effectif. Cet « Agenda de l’action » est considéré comme complémentaire à celui des États, indispensable pour laisser entrouverte la possibilité de ne pas dépasser les 2 °C. La CCNUCC, en collaboration avec les présidences péruvienne et française, a ainsi lancé lors de la COP-20 une plate-forme dédiée à la reconnaissance et à la valorisation des engagements des acteurs non étatiques : NAZCA (Non-state Actors Zone for Climate Action). Cette plate-forme concerne les actions des entreprises, des institutions financières et des gouvernements locaux. Elle créée un effet concret d’entraînement et d’émulation et devrait à l’avenir jouer un rôle croissant, voire majeur. Ces actions sont des signaux envoyés aux États et aux marchés financiers pour encourager un changement de modèle : si les aspirations de la société changent aux niveaux national et mondial, alors les États et les marchés sont davantage enclins à accompagner ce mouvement.
Si les projecteurs sont largement braqués sur les entreprises qui, par l’innovation et leur implantation planétaire, détiennent des leviers efficaces pour mettre en place la société de demain, les villes veulent également faire entendre leur voix. Elles se sont organisées en réseaux pour peser sur les négociations et profitent du moment fort de la COP-21 pour montrer l’importance de leurs actions menées dans l’ombre depuis de longues années ; elles espèrent également que le dispositif onusien les aidera à lever quelques verrous qui restreignent la portée des actions engagées. Le sommet Climat et Territoires a rassemblé, autour d’une déclaration commune, un large panel d’acteurs non étatiques (gouvernements locaux, acteurs économiques, associations, etc.) représentant indirectement les deux tiers de la population mondiale (cf. compte-rendu dans ce numéro).
Le rapport du Programme des Nations Unies sur l’Environnement (PNUE) : « Climate commitments of sub-national actors and businesses »1 a analysé 15 initiatives locales et sectorielles qui représenteraient pour l’année 2020, l’équivalent d’une réduction d’au moins 2 gigatonnes de CO2, soit la contribution au changement climatique d’un pays comme l’Inde ou la Russie (8 à 10 % du total annuel des émissions). Les villes, appelées à de profondes transformations pour devenir durables, sobres et saines, représentent un enjeu considérable puisqu’elles réunissent plus de la moitié de la population mondiale.
Pour découvrir la position des villes à la veille de la COP-21, la revue Pollution Atmosphérique a interrogé Célia Blauel et Jean-Patrick Masson, qui présentent les orientations des actions entreprises à Paris et à Dijon. Les propos recueillis ont été intégrés dans une perspective plus large sur l’action des villes, et spécialement des villes françaises, vis-à-vis de l’environnement et du changement climatique, puisque les avancées effectuées en direction de la maîtrise du climat s’intègrent dans les mises en œuvre urbaines des politiques environnementales.Exemplaires(0)
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Comment les villes se positionnent-elles par rapport à la dynamique suscitée par le climat et la COP-21 ? – Entretien avec Célia Blauel et Jean-Patrick MassonURL Pollution Atmosphérique, 227. Les variations récentes du climat constatées au Sénégal sont-elles en phase avec les descriptions données par les scénarios du GIEC ? / Sagna P.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 227 Titre : Les variations récentes du climat constatées au Sénégal sont-elles en phase avec les descriptions données par les scénarios du GIEC ? Titre original : Are recent climate variations observed in Senegal in conformity with the descriptions given by the IPCC scenarios ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Sagna P., Auteur ; Ndiaye O., Auteur ; Diop C., Auteur ; Diongue Niang A., Auteur ; Corneille Sambou P., Auteur Année de publication : 2015 Tags : climat scénarios GIEC Sénégal variations Résumé : La conformité des variations climatiques récentes observées au Sénégal avec les projections du GIEC est le principal objectif de cet article. Les précipitations et les températures ont été analysées afin de montrer leurs variations en rapport avec les projections du GIEC. Malgré la rupture de 1968, qui marque le début de la baisse de la pluviométrie, nous avons noté une amélioration de celle-ci à partir de 1999. Cela se traduit par l’apparition d’années excédentaires, contrairement à la période 1976-1998. Cette irrégularité de la pluviométrie est en phase avec les projections du GIEC qui décrivent aussi bien des hausses que des baisses pour l’Afrique de l’Ouest, sans pour autant qu’il y ait une raréfaction des événements pluviométriques extrêmes (fortes pluies de 2012 et sécheresse de 2014). L’évolution des températures montre une conformité avec les scénarios du GIEC. En effet, il y a une augmentation des températures de la saison fraîche avec une forte variation interannuelle (-1,8 °C à 1,7 °C). Cette élévation de température est aussi observée pour la saison chaude avec une moindre amplitude (-1,7 °C à 1 °C). La tendance générale à l’échelle annuelle confirme une hausse de la température dont le début correspond avec l’avènement de la sécheresse. Face à cette situation, le Sénégal a entrepris une politique volontariste en matière d’adaptation et d’atténuation, conforme aux engagements internationaux. Pollution Atmosphérique, 227. Les variations récentes du climat constatées au Sénégal sont-elles en phase avec les descriptions données par les scénarios du GIEC ? = Are recent climate variations observed in Senegal in conformity with the descriptions given by the IPCC scenarios ? [texte imprimé] / Sagna P., Auteur ; Ndiaye O., Auteur ; Diop C., Auteur ; Diongue Niang A., Auteur ; Corneille Sambou P., Auteur . - 2015.
Tags : climat scénarios GIEC Sénégal variations Résumé : La conformité des variations climatiques récentes observées au Sénégal avec les projections du GIEC est le principal objectif de cet article. Les précipitations et les températures ont été analysées afin de montrer leurs variations en rapport avec les projections du GIEC. Malgré la rupture de 1968, qui marque le début de la baisse de la pluviométrie, nous avons noté une amélioration de celle-ci à partir de 1999. Cela se traduit par l’apparition d’années excédentaires, contrairement à la période 1976-1998. Cette irrégularité de la pluviométrie est en phase avec les projections du GIEC qui décrivent aussi bien des hausses que des baisses pour l’Afrique de l’Ouest, sans pour autant qu’il y ait une raréfaction des événements pluviométriques extrêmes (fortes pluies de 2012 et sécheresse de 2014). L’évolution des températures montre une conformité avec les scénarios du GIEC. En effet, il y a une augmentation des températures de la saison fraîche avec une forte variation interannuelle (-1,8 °C à 1,7 °C). Cette élévation de température est aussi observée pour la saison chaude avec une moindre amplitude (-1,7 °C à 1 °C). La tendance générale à l’échelle annuelle confirme une hausse de la température dont le début correspond avec l’avènement de la sécheresse. Face à cette situation, le Sénégal a entrepris une politique volontariste en matière d’adaptation et d’atténuation, conforme aux engagements internationaux. Exemplaires(0)
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L227_SagnaAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 233. Pollution atmosphérique, climat et société : quelle place aujourd’hui dans la « ville durable » ? Une analyse comparée à partir de la littérature francophone et anglophone / P. Hamman
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 233 Titre : Pollution atmosphérique, climat et société : quelle place aujourd’hui dans la « ville durable » ? Une analyse comparée à partir de la littérature francophone et anglophone Titre original : Investigating the place of air pollution, climate and society in today’s “sustainable cities”. A comparative review of the French and English-language literature Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Hamman, Auteur Année de publication : 2017 Tags : air analyse statistique et lexicale climat durabilité énergie logement métabolisme urbain pollution revue de littérature transports ville durable Résumé : La problématique air-climat-société est caractérisée à l’heure actuelle par une double propriété de transversalité (les polluants altérant la qualité de l’air et responsables des gaz à effet de serre sont souvent les mêmes) et de multiscalarité (de l’échelle du bâti à celle de la planète). À partir de ce point de départ et sous l’angle des sciences sociales, l’article interroge la place dévolue à ces enjeux au sein du répertoire de la « ville durable », qui marque de plus en plus les façons de faire et vivre la ville.
Nous déplaçons le regard à partir de ce qui est souvent lu d’abord comme des questions techniques (mesure de la pollution atmosphérique, etc.), pour les restituer dans leur épaisseur sociale, celle de l’action publique autant que des modes de vie en ville. Méthodologiquement, nous procédons par une approche bibliométrique comparée, à partir d’un corpus de 18 revues scientifiques, francophones et anglophones. Une analyse statistique et textuelle a été conduite avec le logiciel libre IRaMuTeQ, spécifiant des univers de co-occurrence lexicale. Elle établit la portée de trois déclinaisons structurantes dans les lectures à la fois notionnelles, critiques et plus appliquées de la durabilité urbaine : le changement climatique et ses modèles, les déplacements et transports urbains, et le métabolisme urbain rapporté aux consommations d’énergie et aux flux de matières. Au final, c’est une double dimension théorique et pratique qui fait sens, et qu’atteste la démonstration à travers la force des liens entre les termes récurrents, les classes lexicales et les segments significatifs dégagés.Pollution Atmosphérique, 233. Pollution atmosphérique, climat et société : quelle place aujourd’hui dans la « ville durable » ? Une analyse comparée à partir de la littérature francophone et anglophone = Investigating the place of air pollution, climate and society in today’s “sustainable cities”. A comparative review of the French and English-language literature [texte imprimé] / P. Hamman, Auteur . - 2017.
Tags : air analyse statistique et lexicale climat durabilité énergie logement métabolisme urbain pollution revue de littérature transports ville durable Résumé : La problématique air-climat-société est caractérisée à l’heure actuelle par une double propriété de transversalité (les polluants altérant la qualité de l’air et responsables des gaz à effet de serre sont souvent les mêmes) et de multiscalarité (de l’échelle du bâti à celle de la planète). À partir de ce point de départ et sous l’angle des sciences sociales, l’article interroge la place dévolue à ces enjeux au sein du répertoire de la « ville durable », qui marque de plus en plus les façons de faire et vivre la ville.
Nous déplaçons le regard à partir de ce qui est souvent lu d’abord comme des questions techniques (mesure de la pollution atmosphérique, etc.), pour les restituer dans leur épaisseur sociale, celle de l’action publique autant que des modes de vie en ville. Méthodologiquement, nous procédons par une approche bibliométrique comparée, à partir d’un corpus de 18 revues scientifiques, francophones et anglophones. Une analyse statistique et textuelle a été conduite avec le logiciel libre IRaMuTeQ, spécifiant des univers de co-occurrence lexicale. Elle établit la portée de trois déclinaisons structurantes dans les lectures à la fois notionnelles, critiques et plus appliquées de la durabilité urbaine : le changement climatique et ses modèles, les déplacements et transports urbains, et le métabolisme urbain rapporté aux consommations d’énergie et aux flux de matières. Au final, c’est une double dimension théorique et pratique qui fait sens, et qu’atteste la démonstration à travers la force des liens entre les termes récurrents, les classes lexicales et les segments significatifs dégagés.Exemplaires(0)
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