Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique
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Pollution Atmosphérique, 231-232. Le pôle AXELERA, moteur dans le domaine du recyclage du CO2 en France / Brun T.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 231-232 Titre : Le pôle AXELERA, moteur dans le domaine du recyclage du CO2 en France Type de document : texte imprimé Auteurs : Brun T., Auteur ; Dartiquelongue C., Auteur Année de publication : 2016 Tags : empreinte carbone CO2 recyclage du CO2 Axelera Résumé : Dans une société où les économies réduisent leur empreinte carbone et leur impact énergétique, les progrès scientifiques et industriels nous permettent d’envisager un monde dans lequel le dioxyde de carbone (CO2) capté serait une ressource pour l’industrie. Aujourd’hui, le recyclage du CO2 est un levier pour l’innovation dans le secteur chimique et il pourrait contribuer à renforcer sa compétitivité, tout en soutenant sa transition vers une économie circulaire, faible en impact carbone et en énergie. Pollution Atmosphérique, 231-232. Le pôle AXELERA, moteur dans le domaine du recyclage du CO2 en France [texte imprimé] / Brun T., Auteur ; Dartiquelongue C., Auteur . - 2016.
Tags : empreinte carbone CO2 recyclage du CO2 Axelera Résumé : Dans une société où les économies réduisent leur empreinte carbone et leur impact énergétique, les progrès scientifiques et industriels nous permettent d’envisager un monde dans lequel le dioxyde de carbone (CO2) capté serait une ressource pour l’industrie. Aujourd’hui, le recyclage du CO2 est un levier pour l’innovation dans le secteur chimique et il pourrait contribuer à renforcer sa compétitivité, tout en soutenant sa transition vers une économie circulaire, faible en impact carbone et en énergie. Exemplaires(0)
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L232_BrunAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 227. Comment les villes se positionnent-elles par rapport à la dynamique suscitée par le climat et la COP-21 ? – Entretien avec Célia Blauel et Jean-Patrick Masson / I. Roussel
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 227 Titre : Comment les villes se positionnent-elles par rapport à la dynamique suscitée par le climat et la COP-21 ? – Entretien avec Célia Blauel et Jean-Patrick Masson Type de document : texte imprimé Auteurs : I. Roussel, Auteur Année de publication : 2015 Tags : COP COP 21 climat Convention climat lutte contre le changement climatique Agenda de l'action NAZCA entreprises institutions financières gouvernements locaux villes Sommet Climat et Territoires PNUE CO2 développement durable Paris Dijon politique environnementale Résumé : Depuis la COP de Copenhague, en 2009, on assiste à une reconnaissance progressive par la Convention climat des gouvernements locaux et autorités municipales comme des acteurs à part entière de la lutte contre le changement climatique. Une grande partie des engagements des États sont en effet mis en œuvre via et sur les territoires (transports en commun, planification territoriale, adaptation, rénovation énergétique, production d’énergies renouvelables...). Un des piliers de la réussite des négociations de Paris consiste à valoriser et renforcer l’ « Agenda des solutions », c’est-à -dire l’ensemble des mesures concrètes que les acteurs non étatiques, gouvernements locaux et entreprises, peuvent déjà réaliser avant 2020, date à laquelle l’hypothétique accord de Paris deviendra effectif. Cet « Agenda de l’action » est considéré comme complémentaire à celui des États, indispensable pour laisser entrouverte la possibilité de ne pas dépasser les 2 °C. La CCNUCC, en collaboration avec les présidences péruvienne et française, a ainsi lancé lors de la COP-20 une plate-forme dédiée à la reconnaissance et à la valorisation des engagements des acteurs non étatiques : NAZCA (Non-state Actors Zone for Climate Action). Cette plate-forme concerne les actions des entreprises, des institutions financières et des gouvernements locaux. Elle créée un effet concret d’entraînement et d’émulation et devrait à l’avenir jouer un rôle croissant, voire majeur. Ces actions sont des signaux envoyés aux États et aux marchés financiers pour encourager un changement de modèle : si les aspirations de la société changent aux niveaux national et mondial, alors les États et les marchés sont davantage enclins à accompagner ce mouvement.
Si les projecteurs sont largement braqués sur les entreprises qui, par l’innovation et leur implantation planétaire, détiennent des leviers efficaces pour mettre en place la société de demain, les villes veulent également faire entendre leur voix. Elles se sont organisées en réseaux pour peser sur les négociations et profitent du moment fort de la COP-21 pour montrer l’importance de leurs actions menées dans l’ombre depuis de longues années ; elles espèrent également que le dispositif onusien les aidera à lever quelques verrous qui restreignent la portée des actions engagées. Le sommet Climat et Territoires a rassemblé, autour d’une déclaration commune, un large panel d’acteurs non étatiques (gouvernements locaux, acteurs économiques, associations, etc.) représentant indirectement les deux tiers de la population mondiale (cf. compte-rendu dans ce numéro).
Le rapport du Programme des Nations Unies sur l’Environnement (PNUE) : « Climate commitments of sub-national actors and businesses »1 a analysé 15 initiatives locales et sectorielles qui représenteraient pour l’année 2020, l’équivalent d’une réduction d’au moins 2 gigatonnes de CO2, soit la contribution au changement climatique d’un pays comme l’Inde ou la Russie (8 à 10 % du total annuel des émissions). Les villes, appelées à de profondes transformations pour devenir durables, sobres et saines, représentent un enjeu considérable puisqu’elles réunissent plus de la moitié de la population mondiale.
Pour découvrir la position des villes à la veille de la COP-21, la revue Pollution Atmosphérique a interrogé Célia Blauel et Jean-Patrick Masson, qui présentent les orientations des actions entreprises à Paris et à Dijon. Les propos recueillis ont été intégrés dans une perspective plus large sur l’action des villes, et spécialement des villes françaises, vis-à -vis de l’environnement et du changement climatique, puisque les avancées effectuées en direction de la maîtrise du climat s’intègrent dans les mises en œuvre urbaines des politiques environnementales.Pollution Atmosphérique, 227. Comment les villes se positionnent-elles par rapport à la dynamique suscitée par le climat et la COP-21 ? – Entretien avec Célia Blauel et Jean-Patrick Masson [texte imprimé] / I. Roussel, Auteur . - 2015.
Tags : COP COP 21 climat Convention climat lutte contre le changement climatique Agenda de l'action NAZCA entreprises institutions financières gouvernements locaux villes Sommet Climat et Territoires PNUE CO2 développement durable Paris Dijon politique environnementale Résumé : Depuis la COP de Copenhague, en 2009, on assiste à une reconnaissance progressive par la Convention climat des gouvernements locaux et autorités municipales comme des acteurs à part entière de la lutte contre le changement climatique. Une grande partie des engagements des États sont en effet mis en œuvre via et sur les territoires (transports en commun, planification territoriale, adaptation, rénovation énergétique, production d’énergies renouvelables...). Un des piliers de la réussite des négociations de Paris consiste à valoriser et renforcer l’ « Agenda des solutions », c’est-à -dire l’ensemble des mesures concrètes que les acteurs non étatiques, gouvernements locaux et entreprises, peuvent déjà réaliser avant 2020, date à laquelle l’hypothétique accord de Paris deviendra effectif. Cet « Agenda de l’action » est considéré comme complémentaire à celui des États, indispensable pour laisser entrouverte la possibilité de ne pas dépasser les 2 °C. La CCNUCC, en collaboration avec les présidences péruvienne et française, a ainsi lancé lors de la COP-20 une plate-forme dédiée à la reconnaissance et à la valorisation des engagements des acteurs non étatiques : NAZCA (Non-state Actors Zone for Climate Action). Cette plate-forme concerne les actions des entreprises, des institutions financières et des gouvernements locaux. Elle créée un effet concret d’entraînement et d’émulation et devrait à l’avenir jouer un rôle croissant, voire majeur. Ces actions sont des signaux envoyés aux États et aux marchés financiers pour encourager un changement de modèle : si les aspirations de la société changent aux niveaux national et mondial, alors les États et les marchés sont davantage enclins à accompagner ce mouvement.
Si les projecteurs sont largement braqués sur les entreprises qui, par l’innovation et leur implantation planétaire, détiennent des leviers efficaces pour mettre en place la société de demain, les villes veulent également faire entendre leur voix. Elles se sont organisées en réseaux pour peser sur les négociations et profitent du moment fort de la COP-21 pour montrer l’importance de leurs actions menées dans l’ombre depuis de longues années ; elles espèrent également que le dispositif onusien les aidera à lever quelques verrous qui restreignent la portée des actions engagées. Le sommet Climat et Territoires a rassemblé, autour d’une déclaration commune, un large panel d’acteurs non étatiques (gouvernements locaux, acteurs économiques, associations, etc.) représentant indirectement les deux tiers de la population mondiale (cf. compte-rendu dans ce numéro).
Le rapport du Programme des Nations Unies sur l’Environnement (PNUE) : « Climate commitments of sub-national actors and businesses »1 a analysé 15 initiatives locales et sectorielles qui représenteraient pour l’année 2020, l’équivalent d’une réduction d’au moins 2 gigatonnes de CO2, soit la contribution au changement climatique d’un pays comme l’Inde ou la Russie (8 à 10 % du total annuel des émissions). Les villes, appelées à de profondes transformations pour devenir durables, sobres et saines, représentent un enjeu considérable puisqu’elles réunissent plus de la moitié de la population mondiale.
Pour découvrir la position des villes à la veille de la COP-21, la revue Pollution Atmosphérique a interrogé Célia Blauel et Jean-Patrick Masson, qui présentent les orientations des actions entreprises à Paris et à Dijon. Les propos recueillis ont été intégrés dans une perspective plus large sur l’action des villes, et spécialement des villes françaises, vis-à -vis de l’environnement et du changement climatique, puisque les avancées effectuées en direction de la maîtrise du climat s’intègrent dans les mises en œuvre urbaines des politiques environnementales.Exemplaires(0)
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Comment les villes se positionnent-elles par rapport à la dynamique suscitée par le climat et la COP-21 ? – Entretien avec Célia Blauel et Jean-Patrick MassonURL Pollution Atmosphérique, 228. Indice de confinement de l’air intérieur : des écoles aux logements / Riberon J
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 228 Titre : Indice de confinement de l’air intérieur : des écoles aux logements Titre original : Air stuffiness index: from schools to dwellings Type de document : texte imprimé Auteurs : Riberon J, Auteur ; Ramalho O, Auteur ; Derbez M, Auteur ; Berthineau B, Auteur ; Wyart G, Auteur ; S. Kirchner, Auteur ; C. Mandin, Auteur Année de publication : 2016 Tags : aération CO2 gestion occupation variabilité spatiale ventilation Résumé : Le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) a proposé en 2007 un indice de confinement de l’air pour les salles de classe, fondé sur la mesure de la concentration en dioxyde de carbone (CO2). Sur une échelle de 0 à 5, cet indice, appelé ICONE, reflète l’adéquation du renouvellement d’air d’une pièce à sa densité d’occupation. Il prend en compte à la fois les fréquences de situation de confinement, mais également leur intensité. Appliqué à la surveillance réglementaire de la qualité de l’air dans les écoles et lieux d’accueil de la petite enfance, cet indice s’est révélé être un outil pertinent et utile aux gestionnaires soucieux d’améliorer les conditions de ventilation de leurs locaux.
Le présent article montre comment cet indice conçu pour les écoles peut être appliqué à l’habitat, en insistant sur la spécificité de ce lieu de vie, les conditions d’occupation des pièces étant très différentes de celles des salles de classe. Selon l’état d’occupation des pièces, l’état des portes intérieures et des fenêtres, ouvertes ou fermées, l’indice de confinement est très différent d’un logement à l’autre. Les chambres sont systématiquement plus confinées que les séjours. Un indice de confinement relatif à l’ensemble du logement exige des mesures dans les différentes pièces. Aussi, en première approche, il est proposé de se limiter au confinement de l’air dans la chambre principale du logement, en période nocturne, sur une durée d’une semaine.Pollution Atmosphérique, 228. Indice de confinement de l’air intérieur : des écoles aux logements = Air stuffiness index: from schools to dwellings [texte imprimé] / Riberon J, Auteur ; Ramalho O, Auteur ; Derbez M, Auteur ; Berthineau B, Auteur ; Wyart G, Auteur ; S. Kirchner, Auteur ; C. Mandin, Auteur . - 2016.
Tags : aération CO2 gestion occupation variabilité spatiale ventilation Résumé : Le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) a proposé en 2007 un indice de confinement de l’air pour les salles de classe, fondé sur la mesure de la concentration en dioxyde de carbone (CO2). Sur une échelle de 0 à 5, cet indice, appelé ICONE, reflète l’adéquation du renouvellement d’air d’une pièce à sa densité d’occupation. Il prend en compte à la fois les fréquences de situation de confinement, mais également leur intensité. Appliqué à la surveillance réglementaire de la qualité de l’air dans les écoles et lieux d’accueil de la petite enfance, cet indice s’est révélé être un outil pertinent et utile aux gestionnaires soucieux d’améliorer les conditions de ventilation de leurs locaux.
Le présent article montre comment cet indice conçu pour les écoles peut être appliqué à l’habitat, en insistant sur la spécificité de ce lieu de vie, les conditions d’occupation des pièces étant très différentes de celles des salles de classe. Selon l’état d’occupation des pièces, l’état des portes intérieures et des fenêtres, ouvertes ou fermées, l’indice de confinement est très différent d’un logement à l’autre. Les chambres sont systématiquement plus confinées que les séjours. Un indice de confinement relatif à l’ensemble du logement exige des mesures dans les différentes pièces. Aussi, en première approche, il est proposé de se limiter au confinement de l’air dans la chambre principale du logement, en période nocturne, sur une durée d’une semaine.Exemplaires(0)
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L228_05_RiberonAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 231-232. Rhodiasolv Iris, développement d’un nouveau procédé pour réduire l’empreinte environnementale des solvants / Kabir H.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 231-232 Titre : Rhodiasolv Iris, développement d’un nouveau procédé pour réduire l’empreinte environnementale des solvants Titre original : Rhodiasolv Iris, development of new sustainable process for an improved sustainable solvent footprint Type de document : texte imprimé Auteurs : Kabir H., Auteur ; Vidal T., Auteur Année de publication : 2016 Tags : rhodiasolv iris solvant empreinte environnementale CO2 gaz Résumé : Rhodiasolv® IRIS est un solvant diester produit à partir d’un coproduit (MGN, 2-méthyl-glutaronitrile). Cette valorisation permet de réduire l’impact sur l’environnement (réduction de 0,5 tonne de CO2 par tonne de valorisé MGN, soit une réduction globale des émissions de CO2 équivalant à la libération de gaz de 16 000 voitures). Il est biodégradable, non toxique, non volatil et ininflammable, offrant ainsi des solutions efficaces et plus sûres dans divers domaines, tels que le décapage de peinture, l’enlèvement des graffitis, la dissolution de la résine ou le dégraissage industriel. L’équipe du projet du Centre de recherche et de la technologie de Lyon (Solvay Research & Innovation Center) a développé une chimie catalytique innovante pour transformer MGN en diesters. Cette chimie ne génère pas de sels et conduit à un processus énergétiquement optimisé. L’objectif du projet IRIS est de démontrer la viabilité industrielle et durable de ce nouveau procédé de fabrication de ce solvant et d’acquérir des données fiables permettant une étape directe de l’échelle pilote à l’échelle industrielle, sans investir dans une unité d’échelle intermédiaire. La fabrication de Rhodiasolv® Iris est un processus de réaction en deux étapes, avec une récupération de tous les coproduits générés.
3 phases de développement ont été suivies :
- acquisition de données de base, (cinétique, thermodynamique liquide équilibre/vapeur, solubilités...), définition des modèles de mécanismes et de tous les phénomènes observés ;
- conception et réalisation d’un projet pilote à l’échelle du laboratoire pour acquérir des données (effet de recyclage, la durée des catalyseurs...) et de validation/ajustement des modèles ;
- ensuite, validation des modèles consolidés de simulation en exécutant un long terme (3 mois).Pollution Atmosphérique, 231-232. Rhodiasolv Iris, développement d’un nouveau procédé pour réduire l’empreinte environnementale des solvants = Rhodiasolv Iris, development of new sustainable process for an improved sustainable solvent footprint [texte imprimé] / Kabir H., Auteur ; Vidal T., Auteur . - 2016.
Tags : rhodiasolv iris solvant empreinte environnementale CO2 gaz Résumé : Rhodiasolv® IRIS est un solvant diester produit à partir d’un coproduit (MGN, 2-méthyl-glutaronitrile). Cette valorisation permet de réduire l’impact sur l’environnement (réduction de 0,5 tonne de CO2 par tonne de valorisé MGN, soit une réduction globale des émissions de CO2 équivalant à la libération de gaz de 16 000 voitures). Il est biodégradable, non toxique, non volatil et ininflammable, offrant ainsi des solutions efficaces et plus sûres dans divers domaines, tels que le décapage de peinture, l’enlèvement des graffitis, la dissolution de la résine ou le dégraissage industriel. L’équipe du projet du Centre de recherche et de la technologie de Lyon (Solvay Research & Innovation Center) a développé une chimie catalytique innovante pour transformer MGN en diesters. Cette chimie ne génère pas de sels et conduit à un processus énergétiquement optimisé. L’objectif du projet IRIS est de démontrer la viabilité industrielle et durable de ce nouveau procédé de fabrication de ce solvant et d’acquérir des données fiables permettant une étape directe de l’échelle pilote à l’échelle industrielle, sans investir dans une unité d’échelle intermédiaire. La fabrication de Rhodiasolv® Iris est un processus de réaction en deux étapes, avec une récupération de tous les coproduits générés.
3 phases de développement ont été suivies :
- acquisition de données de base, (cinétique, thermodynamique liquide équilibre/vapeur, solubilités...), définition des modèles de mécanismes et de tous les phénomènes observés ;
- conception et réalisation d’un projet pilote à l’échelle du laboratoire pour acquérir des données (effet de recyclage, la durée des catalyseurs...) et de validation/ajustement des modèles ;
- ensuite, validation des modèles consolidés de simulation en exécutant un long terme (3 mois).Exemplaires(0)
Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
L232_KabirAdobe Acrobat PDF