Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique
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Auteur I. Roussel |
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Pollution Atmosphérique, 225. Le confort thermique au cœur de la rénovation des logements : norme ou stratégie d’adaptation ? / I. Roussel
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 225 Titre : Le confort thermique au cœur de la rénovation des logements : norme ou stratégie d’adaptation ? Titre original : Thermal comfort and buildings renovation: standard or adaptation strategy? Type de document : texte imprimé Auteurs : I. Roussel, Auteur Année de publication : 2015 Tags : programme PREBAT confort thermique mode de chauffage rénovation chauffage au bois économies d'énergie Résumé : Dans le cadre du programme PREBAT, l’APPA (Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique), en partenariat avec la fédération des PACT, a mené une enquête sur la notion de confort thermique dans 48 logements situés dans trois départements différents. Cette investigation, menée l’hiver et l’été, s’est appuyée sur la mesure de certains paramètres hygrothermiques ; cette approche quantitative a été complétée par un entretien sociologique qui a permis de mettre en lumière les stratégies individuelles, différentes entre les hommes et les femmes, mises en œuvre pour trouver un équilibre, plus ou moins précaire, entre économies d’énergie et confort. Les situations rencontrées sont extrêmement variables, interdisant ainsi toute typologie quantifiée ; cependant, il est possible de distinguer plusieurs caractères généraux : l’importance du contexte climatique de chaque département, l’absence de références à des principes généraux sur le changement climatique, la maîtrise des gaz à effet de serre, le lien entre le logement et la santé ou l’autonomie énergétique du pays. À peine le quart des personnes interrogées a pu s’affranchir des contraintes économiques pour accéder au confort souhaité. Ces ménages sont les plus aisés et peuvent supporter les augmentations du prix de l’énergie sans difficulté, ou alors, ils se sont réellement appropriés le système énergétique de leur maison en pratiquant une rénovation raisonnée qu’ils ont accompagnée et maîtrisée techniquement. Pour les autres ménages enquêtés, les stratégies d’acquisition du confort sont variées : la vêture, le chauffage d’appoint, le regroupement dans certaines pièces. Cependant, la culture du confort, souvent assimilée à l’image du chauffage au bois, n’est pas encore généralisée : certaines attitudes spartiates s’enorgueillissant des basses températures mesurées perdurent. Peut-être rejoignent-elles le discours officiel appuyé fondamentalement sur les économies d’énergie qui craignent que l’acquisition du confort se traduise par un effet rebond. Pollution Atmosphérique, 225. Le confort thermique au cœur de la rénovation des logements : norme ou stratégie d’adaptation ? = Thermal comfort and buildings renovation: standard or adaptation strategy? [texte imprimé] / I. Roussel, Auteur . - 2015.
Tags : programme PREBAT confort thermique mode de chauffage rénovation chauffage au bois économies d'énergie Résumé : Dans le cadre du programme PREBAT, l’APPA (Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique), en partenariat avec la fédération des PACT, a mené une enquête sur la notion de confort thermique dans 48 logements situés dans trois départements différents. Cette investigation, menée l’hiver et l’été, s’est appuyée sur la mesure de certains paramètres hygrothermiques ; cette approche quantitative a été complétée par un entretien sociologique qui a permis de mettre en lumière les stratégies individuelles, différentes entre les hommes et les femmes, mises en œuvre pour trouver un équilibre, plus ou moins précaire, entre économies d’énergie et confort. Les situations rencontrées sont extrêmement variables, interdisant ainsi toute typologie quantifiée ; cependant, il est possible de distinguer plusieurs caractères généraux : l’importance du contexte climatique de chaque département, l’absence de références à des principes généraux sur le changement climatique, la maîtrise des gaz à effet de serre, le lien entre le logement et la santé ou l’autonomie énergétique du pays. À peine le quart des personnes interrogées a pu s’affranchir des contraintes économiques pour accéder au confort souhaité. Ces ménages sont les plus aisés et peuvent supporter les augmentations du prix de l’énergie sans difficulté, ou alors, ils se sont réellement appropriés le système énergétique de leur maison en pratiquant une rénovation raisonnée qu’ils ont accompagnée et maîtrisée techniquement. Pour les autres ménages enquêtés, les stratégies d’acquisition du confort sont variées : la vêture, le chauffage d’appoint, le regroupement dans certaines pièces. Cependant, la culture du confort, souvent assimilée à l’image du chauffage au bois, n’est pas encore généralisée : certaines attitudes spartiates s’enorgueillissant des basses températures mesurées perdurent. Peut-être rejoignent-elles le discours officiel appuyé fondamentalement sur les économies d’énergie qui craignent que l’acquisition du confort se traduise par un effet rebond. Exemplaires(0)
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Titre de série : Pollution Atmosphérique, 227 Titre : Le changement climatique et les entreprises Titre original : Compagnies and climate change Type de document : texte imprimé Auteurs : I. Roussel, Auteur ; Tutenuit C., Auteur Année de publication : 2015 Tags : décarbonation innovation nouvelle économie GIEC climat efficacité énergétique carbone GES transition énergétique Résumé : En septembre 2014 à Lima (Pérou), le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki Moon, a invité la société civile à être partie prenante aux discussions sur le climat. Il visait en particulier les entreprises et a appelé les gouvernements à prendre en compte leur point de vue. C'est en réponse à cet appel qu'a été organisé le Business & Climate Summit, à Paris, les 20 et 21 mai de cette année. Les grandes entreprises mondiales ont répondu « présent » à cette sollicitation des Nations unies : 2 000 leaders économiques et investisseurs ont, pendant deux jours, montré qu’ils étaient en capacité de peser dans des décisions climatiques qui, selon eux, ne pourraient déboucher sur une décarbonation effective sans eux. Cependant, les entreprises montrent que par l’efficacité énergétique et l’innovation cette autre économie est possible mais qu’elle nécessite la collaboration de tous. Les États doivent mettre en place un cadre réglementaire stable et donner des règles précises pour l’évaluation des GES et donner un prix au carbone. La collaboration étroite entre les entreprises et l’État passe également par un investissement des banques, des villes et des consommateurs. Les alertes émises par le GIEC sont entendues, mais l’adhésion de tous à une économie verte pose de nombreux problèmes qui restent à résoudre pendant la période de la transition énergétique. Pollution Atmosphérique, 227. Le changement climatique et les entreprises = Compagnies and climate change [texte imprimé] / I. Roussel, Auteur ; Tutenuit C., Auteur . - 2015.
Tags : décarbonation innovation nouvelle économie GIEC climat efficacité énergétique carbone GES transition énergétique Résumé : En septembre 2014 à Lima (Pérou), le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki Moon, a invité la société civile à être partie prenante aux discussions sur le climat. Il visait en particulier les entreprises et a appelé les gouvernements à prendre en compte leur point de vue. C'est en réponse à cet appel qu'a été organisé le Business & Climate Summit, à Paris, les 20 et 21 mai de cette année. Les grandes entreprises mondiales ont répondu « présent » à cette sollicitation des Nations unies : 2 000 leaders économiques et investisseurs ont, pendant deux jours, montré qu’ils étaient en capacité de peser dans des décisions climatiques qui, selon eux, ne pourraient déboucher sur une décarbonation effective sans eux. Cependant, les entreprises montrent que par l’efficacité énergétique et l’innovation cette autre économie est possible mais qu’elle nécessite la collaboration de tous. Les États doivent mettre en place un cadre réglementaire stable et donner des règles précises pour l’évaluation des GES et donner un prix au carbone. La collaboration étroite entre les entreprises et l’État passe également par un investissement des banques, des villes et des consommateurs. Les alertes émises par le GIEC sont entendues, mais l’adhésion de tous à une économie verte pose de nombreux problèmes qui restent à résoudre pendant la période de la transition énergétique. Exemplaires(0)
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L227_RousselAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 227. Comment les villes se positionnent-elles par rapport à la dynamique suscitée par le climat et la COP-21 ? – Entretien avec Célia Blauel et Jean-Patrick Masson / I. Roussel
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 227 Titre : Comment les villes se positionnent-elles par rapport à la dynamique suscitée par le climat et la COP-21 ? – Entretien avec Célia Blauel et Jean-Patrick Masson Type de document : texte imprimé Auteurs : I. Roussel, Auteur Année de publication : 2015 Tags : COP COP 21 climat Convention climat lutte contre le changement climatique Agenda de l'action NAZCA entreprises institutions financières gouvernements locaux villes Sommet Climat et Territoires PNUE CO2 développement durable Paris Dijon politique environnementale Résumé : Depuis la COP de Copenhague, en 2009, on assiste à une reconnaissance progressive par la Convention climat des gouvernements locaux et autorités municipales comme des acteurs à part entière de la lutte contre le changement climatique. Une grande partie des engagements des États sont en effet mis en œuvre via et sur les territoires (transports en commun, planification territoriale, adaptation, rénovation énergétique, production d’énergies renouvelables...). Un des piliers de la réussite des négociations de Paris consiste à valoriser et renforcer l’ « Agenda des solutions », c’est-à -dire l’ensemble des mesures concrètes que les acteurs non étatiques, gouvernements locaux et entreprises, peuvent déjà réaliser avant 2020, date à laquelle l’hypothétique accord de Paris deviendra effectif. Cet « Agenda de l’action » est considéré comme complémentaire à celui des États, indispensable pour laisser entrouverte la possibilité de ne pas dépasser les 2 °C. La CCNUCC, en collaboration avec les présidences péruvienne et française, a ainsi lancé lors de la COP-20 une plate-forme dédiée à la reconnaissance et à la valorisation des engagements des acteurs non étatiques : NAZCA (Non-state Actors Zone for Climate Action). Cette plate-forme concerne les actions des entreprises, des institutions financières et des gouvernements locaux. Elle créée un effet concret d’entraînement et d’émulation et devrait à l’avenir jouer un rôle croissant, voire majeur. Ces actions sont des signaux envoyés aux États et aux marchés financiers pour encourager un changement de modèle : si les aspirations de la société changent aux niveaux national et mondial, alors les États et les marchés sont davantage enclins à accompagner ce mouvement.
Si les projecteurs sont largement braqués sur les entreprises qui, par l’innovation et leur implantation planétaire, détiennent des leviers efficaces pour mettre en place la société de demain, les villes veulent également faire entendre leur voix. Elles se sont organisées en réseaux pour peser sur les négociations et profitent du moment fort de la COP-21 pour montrer l’importance de leurs actions menées dans l’ombre depuis de longues années ; elles espèrent également que le dispositif onusien les aidera à lever quelques verrous qui restreignent la portée des actions engagées. Le sommet Climat et Territoires a rassemblé, autour d’une déclaration commune, un large panel d’acteurs non étatiques (gouvernements locaux, acteurs économiques, associations, etc.) représentant indirectement les deux tiers de la population mondiale (cf. compte-rendu dans ce numéro).
Le rapport du Programme des Nations Unies sur l’Environnement (PNUE) : « Climate commitments of sub-national actors and businesses »1 a analysé 15 initiatives locales et sectorielles qui représenteraient pour l’année 2020, l’équivalent d’une réduction d’au moins 2 gigatonnes de CO2, soit la contribution au changement climatique d’un pays comme l’Inde ou la Russie (8 à 10 % du total annuel des émissions). Les villes, appelées à de profondes transformations pour devenir durables, sobres et saines, représentent un enjeu considérable puisqu’elles réunissent plus de la moitié de la population mondiale.
Pour découvrir la position des villes à la veille de la COP-21, la revue Pollution Atmosphérique a interrogé Célia Blauel et Jean-Patrick Masson, qui présentent les orientations des actions entreprises à Paris et à Dijon. Les propos recueillis ont été intégrés dans une perspective plus large sur l’action des villes, et spécialement des villes françaises, vis-à -vis de l’environnement et du changement climatique, puisque les avancées effectuées en direction de la maîtrise du climat s’intègrent dans les mises en œuvre urbaines des politiques environnementales.Pollution Atmosphérique, 227. Comment les villes se positionnent-elles par rapport à la dynamique suscitée par le climat et la COP-21 ? – Entretien avec Célia Blauel et Jean-Patrick Masson [texte imprimé] / I. Roussel, Auteur . - 2015.
Tags : COP COP 21 climat Convention climat lutte contre le changement climatique Agenda de l'action NAZCA entreprises institutions financières gouvernements locaux villes Sommet Climat et Territoires PNUE CO2 développement durable Paris Dijon politique environnementale Résumé : Depuis la COP de Copenhague, en 2009, on assiste à une reconnaissance progressive par la Convention climat des gouvernements locaux et autorités municipales comme des acteurs à part entière de la lutte contre le changement climatique. Une grande partie des engagements des États sont en effet mis en œuvre via et sur les territoires (transports en commun, planification territoriale, adaptation, rénovation énergétique, production d’énergies renouvelables...). Un des piliers de la réussite des négociations de Paris consiste à valoriser et renforcer l’ « Agenda des solutions », c’est-à -dire l’ensemble des mesures concrètes que les acteurs non étatiques, gouvernements locaux et entreprises, peuvent déjà réaliser avant 2020, date à laquelle l’hypothétique accord de Paris deviendra effectif. Cet « Agenda de l’action » est considéré comme complémentaire à celui des États, indispensable pour laisser entrouverte la possibilité de ne pas dépasser les 2 °C. La CCNUCC, en collaboration avec les présidences péruvienne et française, a ainsi lancé lors de la COP-20 une plate-forme dédiée à la reconnaissance et à la valorisation des engagements des acteurs non étatiques : NAZCA (Non-state Actors Zone for Climate Action). Cette plate-forme concerne les actions des entreprises, des institutions financières et des gouvernements locaux. Elle créée un effet concret d’entraînement et d’émulation et devrait à l’avenir jouer un rôle croissant, voire majeur. Ces actions sont des signaux envoyés aux États et aux marchés financiers pour encourager un changement de modèle : si les aspirations de la société changent aux niveaux national et mondial, alors les États et les marchés sont davantage enclins à accompagner ce mouvement.
Si les projecteurs sont largement braqués sur les entreprises qui, par l’innovation et leur implantation planétaire, détiennent des leviers efficaces pour mettre en place la société de demain, les villes veulent également faire entendre leur voix. Elles se sont organisées en réseaux pour peser sur les négociations et profitent du moment fort de la COP-21 pour montrer l’importance de leurs actions menées dans l’ombre depuis de longues années ; elles espèrent également que le dispositif onusien les aidera à lever quelques verrous qui restreignent la portée des actions engagées. Le sommet Climat et Territoires a rassemblé, autour d’une déclaration commune, un large panel d’acteurs non étatiques (gouvernements locaux, acteurs économiques, associations, etc.) représentant indirectement les deux tiers de la population mondiale (cf. compte-rendu dans ce numéro).
Le rapport du Programme des Nations Unies sur l’Environnement (PNUE) : « Climate commitments of sub-national actors and businesses »1 a analysé 15 initiatives locales et sectorielles qui représenteraient pour l’année 2020, l’équivalent d’une réduction d’au moins 2 gigatonnes de CO2, soit la contribution au changement climatique d’un pays comme l’Inde ou la Russie (8 à 10 % du total annuel des émissions). Les villes, appelées à de profondes transformations pour devenir durables, sobres et saines, représentent un enjeu considérable puisqu’elles réunissent plus de la moitié de la population mondiale.
Pour découvrir la position des villes à la veille de la COP-21, la revue Pollution Atmosphérique a interrogé Célia Blauel et Jean-Patrick Masson, qui présentent les orientations des actions entreprises à Paris et à Dijon. Les propos recueillis ont été intégrés dans une perspective plus large sur l’action des villes, et spécialement des villes françaises, vis-à -vis de l’environnement et du changement climatique, puisque les avancées effectuées en direction de la maîtrise du climat s’intègrent dans les mises en œuvre urbaines des politiques environnementales.Exemplaires(0)
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Comment les villes se positionnent-elles par rapport à la dynamique suscitée par le climat et la COP-21 ? – Entretien avec Célia Blauel et Jean-Patrick MassonURL Pollution Atmosphérique, 228. Le rapport de la Cour des comptes sur les politiques publiques de lutte contre la pollution de l’air / I. Roussel
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 228 Titre : Le rapport de la Cour des comptes sur les politiques publiques de lutte contre la pollution de l’air Type de document : texte imprimé Auteurs : I. Roussel, Auteur Année de publication : 2016 Tags : gouvernance pollution pics de pollution pollution de l'air santé environnement prévention politique préventive Résumé : La Cour des comptes dénonce dans ce rapport : des défauts de gouvernance entraînant un déséquilibre entre la connaissance, la surveillance et l'action, une gestion trop axée sur les épisodes de forte pollution, un trop faible lien entre la pollution de l'air et la politique préventive en matière de santé environnement. Dans ce document, Isabelle Roussel présente ces différents points. Pollution Atmosphérique, 228. Le rapport de la Cour des comptes sur les politiques publiques de lutte contre la pollution de l’air [texte imprimé] / I. Roussel, Auteur . - 2016.
Tags : gouvernance pollution pics de pollution pollution de l'air santé environnement prévention politique préventive Résumé : La Cour des comptes dénonce dans ce rapport : des défauts de gouvernance entraînant un déséquilibre entre la connaissance, la surveillance et l'action, une gestion trop axée sur les épisodes de forte pollution, un trop faible lien entre la pollution de l'air et la politique préventive en matière de santé environnement. Dans ce document, Isabelle Roussel présente ces différents points. Exemplaires(0)
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L228_RousselURL Pollution Atmosphérique, 229-230. Les habitants de l’espace rural : quelle exposition à la pollution atmosphérique ? / I. Roussel
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 229-230 Titre : Les habitants de l’espace rural : quelle exposition à la pollution atmosphérique ? Titre original : The inhabitants of the rural areas: what exposure in the atmospheric pollution? Type de document : texte imprimé Auteurs : I. Roussel, Auteur Année de publication : 2016 Tags : émissions agricoles espace rural étalement urbain exposition à la pollution atmosphérique Résumé : Quelles sont les réalités qui se cachent derrière le chiffre de 8 000 décès par an dans la France rurale, annoncé par l’institut santé publique France ? À quelle exposition est soumise cette population rurale devant faire face à des émissions polluantes diffuses, nombreuses et variées ? La définition même de l’exposition est plus complexe que celle qui serait réduite à une simple information chiffrée sur la pollution ambiante issue d’un modèle. En effet, le monde rural est complexe et varie énormément en fonction des caractéristiques topoclimatiques, il est souvent présenté comme le négatif de la ville et pollué par des émissions agricoles mais pas uniquement ; en particulier, l’espace périurbain, plus densément peuplé par des populations plus vulnérables, est souvent le siège des externalités négatives de la ville voisine. Pollution Atmosphérique, 229-230. Les habitants de l’espace rural : quelle exposition à la pollution atmosphérique ? = The inhabitants of the rural areas: what exposure in the atmospheric pollution? [texte imprimé] / I. Roussel, Auteur . - 2016.
Tags : émissions agricoles espace rural étalement urbain exposition à la pollution atmosphérique Résumé : Quelles sont les réalités qui se cachent derrière le chiffre de 8 000 décès par an dans la France rurale, annoncé par l’institut santé publique France ? À quelle exposition est soumise cette population rurale devant faire face à des émissions polluantes diffuses, nombreuses et variées ? La définition même de l’exposition est plus complexe que celle qui serait réduite à une simple information chiffrée sur la pollution ambiante issue d’un modèle. En effet, le monde rural est complexe et varie énormément en fonction des caractéristiques topoclimatiques, il est souvent présenté comme le négatif de la ville et pollué par des émissions agricoles mais pas uniquement ; en particulier, l’espace périurbain, plus densément peuplé par des populations plus vulnérables, est souvent le siège des externalités négatives de la ville voisine. Exemplaires(0)
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L230_RousselAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 231-232. Dans la vallée de l’Arve, une approche innovante de la gestion de la pollution atmosphérique / I. Roussel
PermalinkPermalinkPollution Atmosphérique, 237-238. Air, climat, énergie : convergences et contradictions à l’échelle urbaine. L’exemple lyonnais / I. Roussel
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