Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique
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Pollution Atmosphérique, 229-230. Impacts de l’ozone sur l’agriculture et les forêts et estimation des coûts économiques / Castell JF.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 229-230 Titre : Impacts de l’ozone sur l’agriculture et les forêts et estimation des coûts économiques Titre original : Ozone impacts on agriculture and forests and economic losses assessment Type de document : texte imprimé Auteurs : Castell JF., Auteur ; Le Thiec D., Auteur Année de publication : 2016 Tags : agriculture AOT40 fonctions dose-réponse forêt impacts économiques ozone POD pollution atmosphérique Résumé : L’ozone est aujourd’hui considéré comme le polluant atmosphérique le plus nocif pour la production des cultures et des forêts, et sa concentration dans l’air devrait encore augmenter dans les prochaines années. L’utilisation d’outils basés sur des relations empiriques entre les concentrations et les rendements permet d’estimer que la production des cultures sensibles comme le blé ou les tomates peut être réduite de plus de 10 % dans les régions les plus polluées, ce qui représente des pertes sensibles pour l’économie du secteur agricole. La synthèse des travaux publiés sur cette question montre qu’il existe peu d’études permettant d’estimer les impacts économiques de l’ozone sur les forêts. Pour les cultures, au niveau mondial, les pertes dues à l’ozone dépassent la dizaine de milliards de dollars par an, les régions les plus affectées étant l’Asie et les pays méditerranéens. En Europe, le coût de l’ozone sur la production du blé est estimé à 3,2 milliards d’euros. Pour la France, qui est un des pays d’Europe où les rendements sont les plus affectés par l’ozone, nous estimons que ce sont plus d’un milliard d’euros qui sont perdus chaque année à cause de ce polluant. Ces estimations doivent cependant être considérées avec prudence, d’une part, parce que les méthodes actuellement disponibles sont peu précises, d’autre part, parce que leur validité est incertaine pour estimer les impacts de l’ozone dans des régions où les climats et les agricultures sont trop différents de l’Amérique du Nord ou de l’Europe. Pollution Atmosphérique, 229-230. Impacts de l’ozone sur l’agriculture et les forêts et estimation des coûts économiques = Ozone impacts on agriculture and forests and economic losses assessment [texte imprimé] / Castell JF., Auteur ; Le Thiec D., Auteur . - 2016.
Tags : agriculture AOT40 fonctions dose-réponse forêt impacts économiques ozone POD pollution atmosphérique Résumé : L’ozone est aujourd’hui considéré comme le polluant atmosphérique le plus nocif pour la production des cultures et des forêts, et sa concentration dans l’air devrait encore augmenter dans les prochaines années. L’utilisation d’outils basés sur des relations empiriques entre les concentrations et les rendements permet d’estimer que la production des cultures sensibles comme le blé ou les tomates peut être réduite de plus de 10 % dans les régions les plus polluées, ce qui représente des pertes sensibles pour l’économie du secteur agricole. La synthèse des travaux publiés sur cette question montre qu’il existe peu d’études permettant d’estimer les impacts économiques de l’ozone sur les forêts. Pour les cultures, au niveau mondial, les pertes dues à l’ozone dépassent la dizaine de milliards de dollars par an, les régions les plus affectées étant l’Asie et les pays méditerranéens. En Europe, le coût de l’ozone sur la production du blé est estimé à 3,2 milliards d’euros. Pour la France, qui est un des pays d’Europe où les rendements sont les plus affectés par l’ozone, nous estimons que ce sont plus d’un milliard d’euros qui sont perdus chaque année à cause de ce polluant. Ces estimations doivent cependant être considérées avec prudence, d’une part, parce que les méthodes actuellement disponibles sont peu précises, d’autre part, parce que leur validité est incertaine pour estimer les impacts de l’ozone dans des régions où les climats et les agricultures sont trop différents de l’Amérique du Nord ou de l’Europe. Exemplaires(0)
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L230_CastellAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 231-232. Pollution atmosphérique et diabète… Quel lien possible ? Une exposition expérimentale à l’ozone chez le rat induit une insulino-résistance périphérique / Vella R.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 231-232 Titre : Pollution atmosphérique et diabète… Quel lien possible ? Une exposition expérimentale à l’ozone chez le rat induit une insulino-résistance périphérique Titre original : Ozone pollution and type II diabetes: an environmental link. Experimental exposure to ozone promotes insulin resistance in rats Type de document : texte imprimé Auteurs : Vella R., Auteur ; Géloën A., Auteur ; Soulage C., Auteur Année de publication : 2016 Tags : diabète de type 2 insulino-résistance Ozone stress oxydant Résumé : L’incidence des pathologies métaboliques, tel le diabète de type 2, a connu une importante progression au cours des dernières décades. Des études épidémiologiques récentes suggèrent que certains polluants atmosphériques pourraient jouer un rôle dans le développement et la progression de l’insulino-résistance, associée au diabète de type 2. L’ozone, un polluant photochimique majeur des zones urbaines, est associé à des concentrations augmentées de glucose et d’insuline plasmatiques à jeun ; cependant, de nombreux aspects de cette association restent à élucider. Des résultats récents obtenus dans notre laboratoire et publiés dans la revue américaine Diabetes (Vella et al., 2015) indiquent qu’une exposition expérimentale à l’ozone induit chez le rongeur de laboratoire un état d’insulino-résistance, prélude au développement d’un diabète de type 2. L’ozone étant trop réactif pour traverser la barrière alvéolo-capillaire, la toxicité systémique de l’ozone résulte de la production dans les poumons de médiateurs du stress oxydant et dont les effets délétères sur les tissus périphériques ont pu être démontrés. Ces travaux mettent en exergue un lien entre pollution et diabète et suggèrent le rôle de facteurs environnementaux dans l’étiologie de cette maladie pour l’heure essentiellement attribuée à des facteurs nutritionnels ou comportementaux. Pollution Atmosphérique, 231-232. Pollution atmosphérique et diabète… Quel lien possible ? Une exposition expérimentale à l’ozone chez le rat induit une insulino-résistance périphérique = Ozone pollution and type II diabetes: an environmental link. Experimental exposure to ozone promotes insulin resistance in rats [texte imprimé] / Vella R., Auteur ; Géloën A., Auteur ; Soulage C., Auteur . - 2016.
Tags : diabète de type 2 insulino-résistance Ozone stress oxydant Résumé : L’incidence des pathologies métaboliques, tel le diabète de type 2, a connu une importante progression au cours des dernières décades. Des études épidémiologiques récentes suggèrent que certains polluants atmosphériques pourraient jouer un rôle dans le développement et la progression de l’insulino-résistance, associée au diabète de type 2. L’ozone, un polluant photochimique majeur des zones urbaines, est associé à des concentrations augmentées de glucose et d’insuline plasmatiques à jeun ; cependant, de nombreux aspects de cette association restent à élucider. Des résultats récents obtenus dans notre laboratoire et publiés dans la revue américaine Diabetes (Vella et al., 2015) indiquent qu’une exposition expérimentale à l’ozone induit chez le rongeur de laboratoire un état d’insulino-résistance, prélude au développement d’un diabète de type 2. L’ozone étant trop réactif pour traverser la barrière alvéolo-capillaire, la toxicité systémique de l’ozone résulte de la production dans les poumons de médiateurs du stress oxydant et dont les effets délétères sur les tissus périphériques ont pu être démontrés. Ces travaux mettent en exergue un lien entre pollution et diabète et suggèrent le rôle de facteurs environnementaux dans l’étiologie de cette maladie pour l’heure essentiellement attribuée à des facteurs nutritionnels ou comportementaux. Exemplaires(0)
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L232_SoulageAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 233. Ozone troposphérique en France : distribution spatiale et tendances sur la période 1999-2012 / Sicard P.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 233 Titre : Ozone troposphérique en France : distribution spatiale et tendances sur la période 1999-2012 Titre original : Tropospheric ozone in France: spatial distribution and trends over the time period 1999-2012 Type de document : texte imprimé Auteurs : Sicard P., Auteur ; Rossello P., Auteur Année de publication : 2017 Tags : AOT40 ozone SOMO35 tendance test de Mann-Kendall Résumé : Les données horaires d’ozone (O3) de 332 stations de surveillance, réparties en France, ont été analysées sur la période 1999-2012 afin de calculer les tendances à court terme. Dans le contexte actuel de changement climatique, l’élaboration d’indicateurs d’exposition pour la protection de la santé et de la végétation permet d’établir des normes appropriées et des politiques européennes efficaces pour réduire les effets néfastes de l’O3. La génération de cartes d’O3 précises, pour l’évaluation de l’exposition et des risques pour les populations et les écosystèmes, est difficile. Pour contrer ce problème, une approche d’interpolation locale a été proposée pour cartographier les niveaux d’O3 à partir des données issues des stations de surveillance.Les statistiques annuelles d’O3 et les indicateurs d’impact sur la santé humaine et sur la végétation ont été étudiés. La population est plus exposée à des niveaux élevés d’O3 en zone rurale qu’en ville. Les concentrations moyennes annuelles en O3 ont diminué de 0,12 ppb.an-1 en zone rurale. La diminution significative des pics d’O3 au printemps et en été est associée à des réductions substantielles des émissions de NOx et de COV dans l’UE-28 depuis le début des années 1990. À l’inverse, les niveaux d’O3 sont en hausse dans les stations urbaines (+ 0,14 ppb.an-1), en particulier pendant la période froide.Cette augmentation peut être attribuée à l’augmentation des apports d’O3 (et de ses précurseurs) par le transport transcontinental et à une plus faible destruction de l’O3 par le NO en raison de la réduction des émissions locales de NOx. Entre 1999 et 2012, les tendances montrent que la menace pour la population et la végétation a diminué en France, ce qui démontre le succès des stratégies de contrôle des émissions en Europe au cours des 20 dernières années. Cependant, pour tous les indicateurs d’exposition, les seuils de protection sont dépassés régulièrement, et les objectifs des directives européennes de qualité de l’air ne sont pas respectés. Pour l’O3, la région à haut risque est le Sud-Est de la France. Cette étude apporte des informations innovantes sur i) la distribution spatiale des concentrations en O3 ; ii) les dépassements ; iii) les tendances afin de définir des normes plus appropriées pour la protection de la santé humaine et des écosystèmes en France. Pollution Atmosphérique, 233. Ozone troposphérique en France : distribution spatiale et tendances sur la période 1999-2012 = Tropospheric ozone in France: spatial distribution and trends over the time period 1999-2012 [texte imprimé] / Sicard P., Auteur ; Rossello P., Auteur . - 2017.
Tags : AOT40 ozone SOMO35 tendance test de Mann-Kendall Résumé : Les données horaires d’ozone (O3) de 332 stations de surveillance, réparties en France, ont été analysées sur la période 1999-2012 afin de calculer les tendances à court terme. Dans le contexte actuel de changement climatique, l’élaboration d’indicateurs d’exposition pour la protection de la santé et de la végétation permet d’établir des normes appropriées et des politiques européennes efficaces pour réduire les effets néfastes de l’O3. La génération de cartes d’O3 précises, pour l’évaluation de l’exposition et des risques pour les populations et les écosystèmes, est difficile. Pour contrer ce problème, une approche d’interpolation locale a été proposée pour cartographier les niveaux d’O3 à partir des données issues des stations de surveillance.Les statistiques annuelles d’O3 et les indicateurs d’impact sur la santé humaine et sur la végétation ont été étudiés. La population est plus exposée à des niveaux élevés d’O3 en zone rurale qu’en ville. Les concentrations moyennes annuelles en O3 ont diminué de 0,12 ppb.an-1 en zone rurale. La diminution significative des pics d’O3 au printemps et en été est associée à des réductions substantielles des émissions de NOx et de COV dans l’UE-28 depuis le début des années 1990. À l’inverse, les niveaux d’O3 sont en hausse dans les stations urbaines (+ 0,14 ppb.an-1), en particulier pendant la période froide.Cette augmentation peut être attribuée à l’augmentation des apports d’O3 (et de ses précurseurs) par le transport transcontinental et à une plus faible destruction de l’O3 par le NO en raison de la réduction des émissions locales de NOx. Entre 1999 et 2012, les tendances montrent que la menace pour la population et la végétation a diminué en France, ce qui démontre le succès des stratégies de contrôle des émissions en Europe au cours des 20 dernières années. Cependant, pour tous les indicateurs d’exposition, les seuils de protection sont dépassés régulièrement, et les objectifs des directives européennes de qualité de l’air ne sont pas respectés. Pour l’O3, la région à haut risque est le Sud-Est de la France. Cette étude apporte des informations innovantes sur i) la distribution spatiale des concentrations en O3 ; ii) les dépassements ; iii) les tendances afin de définir des normes plus appropriées pour la protection de la santé humaine et des écosystèmes en France. Exemplaires(0)
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L233_SicardAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 228. Une analyse statistique entre la concentration de particules fines et d’ozone en présence de brume sèche dans le Sud du Québec / Provençal S.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 228 Titre : Une analyse statistique entre la concentration de particules fines et d’ozone en présence de brume sèche dans le Sud du Québec Titre original : A statistical analysis between the concentration of fine particulate matter and ozone during hazy conditions in southern Quebec, Canada Type de document : texte imprimé Auteurs : Provençal S., Auteur ; Leduc R., Auteur ; Barrette N., Auteur Année de publication : 2016 Tags : brume sèche ozone particules fines Québec Résumé : La proximité du Sud de l’Ontario et du Nord-Est des États-Unis positionne le Québec dans une situation de vulnérabilité face à l’advection de contaminants atmosphériques en provenance de ces régions très industrialisées et peuplées. La visibilité réduite est un indicateur bien connu d’une piètre qualité de l’air lorsque les conditions atmosphériques sont sèches. Lorsque la visibilité est inférieure à 10 km et que l’humidité relative est faible, un épisode de brume sèche est signalé dans l’observation météorologique. Il est donc intuitif d’associer un épisode de brume sèche à un niveau élevé de contaminants atmosphériques. Plusieurs études associent la brume sèche à une concentration élevée d’ozone, et bien que l’ozone soit un gaz qui n’absorbe ni ne disperse la lumière, il est couramment utilisé comme indicateur de visibilité réduite. L’objectif de cette étude est de vérifier si l’ozone est effectivement un indicateur fiable de visibilité réduite au même titre que les particules fines qui, elles, réduisent véritablement la visibilité. À l’aide de données provenant de stations de surveillance météorologique et de qualité de l’air, une analyse statistique est effectuée entre la concentration de ces deux contaminants lorsque la brume sèche est signalée dans les trois régions métropolitaines les plus peuplées du Sud du Québec : Montréal, Québec et Gatineau. Les résultats suggèrent que la concentration de particules fines est élevée lorsque la brume sèche est signalée, mais, par contre, la concentration d’ozone est beaucoup plus variable. Moins de la moitié des observations de brume sèche est accompagnée d’une concentration élevée d’ozone. Les cycles annuels et quotidiens expliquent en partie cette variabilité ; les épisodes de brume sèche estivaux et diurnes sont caractérisés par une concentration élevée d’ozone plus fréquente, contrairement aux épisodes hivernaux, alors qu’à peine quelques observations de brume sèche sont caractérisées ainsi. Pollution Atmosphérique, 228. Une analyse statistique entre la concentration de particules fines et d’ozone en présence de brume sèche dans le Sud du Québec = A statistical analysis between the concentration of fine particulate matter and ozone during hazy conditions in southern Quebec, Canada [texte imprimé] / Provençal S., Auteur ; Leduc R., Auteur ; Barrette N., Auteur . - 2016.
Tags : brume sèche ozone particules fines Québec Résumé : La proximité du Sud de l’Ontario et du Nord-Est des États-Unis positionne le Québec dans une situation de vulnérabilité face à l’advection de contaminants atmosphériques en provenance de ces régions très industrialisées et peuplées. La visibilité réduite est un indicateur bien connu d’une piètre qualité de l’air lorsque les conditions atmosphériques sont sèches. Lorsque la visibilité est inférieure à 10 km et que l’humidité relative est faible, un épisode de brume sèche est signalé dans l’observation météorologique. Il est donc intuitif d’associer un épisode de brume sèche à un niveau élevé de contaminants atmosphériques. Plusieurs études associent la brume sèche à une concentration élevée d’ozone, et bien que l’ozone soit un gaz qui n’absorbe ni ne disperse la lumière, il est couramment utilisé comme indicateur de visibilité réduite. L’objectif de cette étude est de vérifier si l’ozone est effectivement un indicateur fiable de visibilité réduite au même titre que les particules fines qui, elles, réduisent véritablement la visibilité. À l’aide de données provenant de stations de surveillance météorologique et de qualité de l’air, une analyse statistique est effectuée entre la concentration de ces deux contaminants lorsque la brume sèche est signalée dans les trois régions métropolitaines les plus peuplées du Sud du Québec : Montréal, Québec et Gatineau. Les résultats suggèrent que la concentration de particules fines est élevée lorsque la brume sèche est signalée, mais, par contre, la concentration d’ozone est beaucoup plus variable. Moins de la moitié des observations de brume sèche est accompagnée d’une concentration élevée d’ozone. Les cycles annuels et quotidiens expliquent en partie cette variabilité ; les épisodes de brume sèche estivaux et diurnes sont caractérisés par une concentration élevée d’ozone plus fréquente, contrairement aux épisodes hivernaux, alors qu’à peine quelques observations de brume sèche sont caractérisées ainsi. Exemplaires(0)
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L228_09_ProvencalAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 225. Distribution spatiale des O3, NOx et SO2 et évaluation des interactions troposphériques sur la ville de Tunis (Tunisie) / Kchih H.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 225 Titre : Distribution spatiale des O3, NOx et SO2 et évaluation des interactions troposphériques sur la ville de Tunis (Tunisie) Titre original : Spacial distribution of O3, NOx and SO2 and evaluation of tropospheric interactions in Tunis (Tunisia) Type de document : texte imprimé Auteurs : Kchih H., Auteur ; Cherif S., Auteur Année de publication : 2015 Tags : Tunis pollution gazeuse pollution urbaine Analyse en Composantes Principales ACP paramètres météorologiques ozone dioxyde de soufre oxyde d'azote température radiations solaires humidité relative de l'air monoxyde d'azote dioxyde d'azote Résumé : Cette étude évalue la pollution urbaine en O3, NOx et SO2 et les interactions locales avec les paramètres météorologiques de la capitale Tunis (Tunisie) entre 2003 et 2014. Elle permet d'établir des cartes de la distribution de la pollution gazeuse puis, par une approche statistique d'étude de la corrélation et d'Analyse en Composantes Principales (ACP), d'établir les interactions existant entre les paramètres météorologiques et les concentrations en ozone et oxydes d'azote. Des concentrations élevées en ozone sont observées sur la zone d'étude (66-130 ppbv), et leur distribution opposée à celle des concentrations en oxydes d'azote et dioxyde de soufre, même si les valeurs de ces derniers ne dépassent pas les normes (respectivement 51-178 ppbv et 1,8-4,4 ppbv). La matrice de corrélation ainsi que l'ACP ont permis de constater une forte corrélation entre l'ozone, la température et l'intensité des radiations solaires, d'une part, et l'humidité relative de l'air et la concentration en monoxyde d'azote, d'autre part, ces deux groupes étant anti-corrélés. Les concentrations en dioxyde d'azote apparaissent ici indépendantes des phénomènes photochimiques et très peu corrélées aux autres paramètres. Pollution Atmosphérique, 225. Distribution spatiale des O3, NOx et SO2 et évaluation des interactions troposphériques sur la ville de Tunis (Tunisie) = Spacial distribution of O3, NOx and SO2 and evaluation of tropospheric interactions in Tunis (Tunisia) [texte imprimé] / Kchih H., Auteur ; Cherif S., Auteur . - 2015.
Tags : Tunis pollution gazeuse pollution urbaine Analyse en Composantes Principales ACP paramètres météorologiques ozone dioxyde de soufre oxyde d'azote température radiations solaires humidité relative de l'air monoxyde d'azote dioxyde d'azote Résumé : Cette étude évalue la pollution urbaine en O3, NOx et SO2 et les interactions locales avec les paramètres météorologiques de la capitale Tunis (Tunisie) entre 2003 et 2014. Elle permet d'établir des cartes de la distribution de la pollution gazeuse puis, par une approche statistique d'étude de la corrélation et d'Analyse en Composantes Principales (ACP), d'établir les interactions existant entre les paramètres météorologiques et les concentrations en ozone et oxydes d'azote. Des concentrations élevées en ozone sont observées sur la zone d'étude (66-130 ppbv), et leur distribution opposée à celle des concentrations en oxydes d'azote et dioxyde de soufre, même si les valeurs de ces derniers ne dépassent pas les normes (respectivement 51-178 ppbv et 1,8-4,4 ppbv). La matrice de corrélation ainsi que l'ACP ont permis de constater une forte corrélation entre l'ozone, la température et l'intensité des radiations solaires, d'une part, et l'humidité relative de l'air et la concentration en monoxyde d'azote, d'autre part, ces deux groupes étant anti-corrélés. Les concentrations en dioxyde d'azote apparaissent ici indépendantes des phénomènes photochimiques et très peu corrélées aux autres paramètres. Exemplaires(0)
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L225_KchihAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 228. À propos des brouillards lyonnais : évolutions et qualité de l’air / Renard F.
PermalinkPollution Atmosphérique, 228. Teneurs en trichloramine et trihalométhanes dans l’air ou l’eau des piscines publiques parisiennes et impact de différents procédés de traitement de l’eau des bassins / Le Cossec C.
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