Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique
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Pollution Atmosphérique, 224. Synthèse des connaissances sur le transfert des pesticides vers l’atmosphère par volatilisation depuis les plantes / Lichiheb N.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 224 Titre : Synthèse des connaissances sur le transfert des pesticides vers l’atmosphère par volatilisation depuis les plantes Titre original : State of knowledge on the transfer of pesticides into the atmosphere by volatilization from plants Type de document : texte imprimé Auteurs : Lichiheb N., Auteur ; Bedos C., Auteur ; Personne E., Auteur ; Barriuso E., Auteur Année de publication : 2015 Tags : pénétration foliaire pesticides photodégradation pollution atmosphérique volatilisation activité agricole Résumé : Les niveaux de concentration des pesticides dans l’atmosphère méritent une attention particulière de la part de la recherche compte tenu de leurs impacts potentiels sur la population et les écosystèmes. L’activité agricole constitue la principale source de contamination de l’atmosphère par les pesticides. Bien que la volatilisation depuis la plante soit reconnue plus intense et plus rapide que la volatilisation depuis le sol, cette voie de transfert est à ce jour la moins bien renseignée avec peu de modèles disponibles pour sa description. Le manque de connaissances est lié essentiellement à la complexité des interactions entre les processus ayant lieu à la surface de la feuille et qui sont en compétition avec la volatilisation, notamment la pénétration foliaire et la photodégradation. Cet article présente une synthèse bibliographique sur l’état des lieux des connaissances sur le processus de volatilisation des pesticides depuis un couvert végétal, de la pénétration foliaire et de la photodégradation, ainsi que les facteurs de contrôle de ces processus. Les méthodes de mesure ainsi que les modèles existants décrivant ces processus sont également présentés et analysés. Pollution Atmosphérique, 224. Synthèse des connaissances sur le transfert des pesticides vers l’atmosphère par volatilisation depuis les plantes = State of knowledge on the transfer of pesticides into the atmosphere by volatilization from plants [texte imprimé] / Lichiheb N., Auteur ; Bedos C., Auteur ; Personne E., Auteur ; Barriuso E., Auteur . - 2015.
Tags : pénétration foliaire pesticides photodégradation pollution atmosphérique volatilisation activité agricole Résumé : Les niveaux de concentration des pesticides dans l’atmosphère méritent une attention particulière de la part de la recherche compte tenu de leurs impacts potentiels sur la population et les écosystèmes. L’activité agricole constitue la principale source de contamination de l’atmosphère par les pesticides. Bien que la volatilisation depuis la plante soit reconnue plus intense et plus rapide que la volatilisation depuis le sol, cette voie de transfert est à ce jour la moins bien renseignée avec peu de modèles disponibles pour sa description. Le manque de connaissances est lié essentiellement à la complexité des interactions entre les processus ayant lieu à la surface de la feuille et qui sont en compétition avec la volatilisation, notamment la pénétration foliaire et la photodégradation. Cet article présente une synthèse bibliographique sur l’état des lieux des connaissances sur le processus de volatilisation des pesticides depuis un couvert végétal, de la pénétration foliaire et de la photodégradation, ainsi que les facteurs de contrôle de ces processus. Les méthodes de mesure ainsi que les modèles existants décrivant ces processus sont également présentés et analysés. Exemplaires
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L224_LichihebAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 229-230. Les légumineuses, alliées d’une agriculture écologiquement intensive. L’exemple de la luzerne / Le Chatelier D.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 229-230 Titre : Les légumineuses, alliées d’une agriculture écologiquement intensive. L’exemple de la luzerne Type de document : texte imprimé Auteurs : Le Chatelier D., Auteur Année de publication : 2016 Tags : légumineuse azote engrais pesticides produits phytosanitaires composants volatils organiques qualité de l'eau qualité de l'air pollution luzerne restructuration du sol entretien du sol protéines végétales Résumé : Les légumineuses sont les seules cultures agricoles à être capables d'utiliser l'azote présent dans l'air pour produire leurs propres protéines, sans nécessiter d'apport d'engrais azotés supplémentaires. Certaines sont également très peu gourmandes en pesticides. Elles ont des effets positifs sur la conservation des sols, la qualité des eaux souterraines et de surface, la biodiversité, l'agriculture.
L'utilisation de moins de produits phytosanitaires permet de limiter les composants volatils organiques émis. Au niveau de la qualité de l'eau, moins de traitements sont nécessaires pour obtenir une eau potable. La luzerne est ainsi utilisée dans les bassins de captage des eaux de Vittel.
Grâce à sa densité et sa profondeur racinaire ainsi qu'à sa pérennité de 2/3 ans sur la même parcelle, la luzerne permet de restructurer le sol. En effet, les racines créent une porosité dans la terre qui favorise la vie microbiologique et la microfaune, qui eux même permettent l'entretien du sol ainsi que la création de la fertilité naturelle de celui-ci. Ainsi, les engins agressifs pour l'environnement et coûteux en carburant ne sont pas nécessaires. La luzerne permet aussi de protéger du ruissellement et de l'érosion hydrique. Enfin, la plante permet de lutter contre les mauvaises herbes. De très nombreuses espèces animales trouvent refuge dans la couverture permanente formée par les légumineuses, qui soutiennent ainsi la biodiversité. Pour finir, les plantes comme la luzerne permettent une économie des ressources naturelles sol. La luzerne ne nécessite que 0,41 hectares pour produire 1 tonne de protéines, contre 1,3 pour le soja. Les protéines végétales sont notamment utilisées pour nourrir les élevages.Pollution Atmosphérique, 229-230. Les légumineuses, alliées d’une agriculture écologiquement intensive. L’exemple de la luzerne [texte imprimé] / Le Chatelier D., Auteur . - 2016.
Tags : légumineuse azote engrais pesticides produits phytosanitaires composants volatils organiques qualité de l'eau qualité de l'air pollution luzerne restructuration du sol entretien du sol protéines végétales Résumé : Les légumineuses sont les seules cultures agricoles à être capables d'utiliser l'azote présent dans l'air pour produire leurs propres protéines, sans nécessiter d'apport d'engrais azotés supplémentaires. Certaines sont également très peu gourmandes en pesticides. Elles ont des effets positifs sur la conservation des sols, la qualité des eaux souterraines et de surface, la biodiversité, l'agriculture.
L'utilisation de moins de produits phytosanitaires permet de limiter les composants volatils organiques émis. Au niveau de la qualité de l'eau, moins de traitements sont nécessaires pour obtenir une eau potable. La luzerne est ainsi utilisée dans les bassins de captage des eaux de Vittel.
Grâce à sa densité et sa profondeur racinaire ainsi qu'à sa pérennité de 2/3 ans sur la même parcelle, la luzerne permet de restructurer le sol. En effet, les racines créent une porosité dans la terre qui favorise la vie microbiologique et la microfaune, qui eux même permettent l'entretien du sol ainsi que la création de la fertilité naturelle de celui-ci. Ainsi, les engins agressifs pour l'environnement et coûteux en carburant ne sont pas nécessaires. La luzerne permet aussi de protéger du ruissellement et de l'érosion hydrique. Enfin, la plante permet de lutter contre les mauvaises herbes. De très nombreuses espèces animales trouvent refuge dans la couverture permanente formée par les légumineuses, qui soutiennent ainsi la biodiversité. Pour finir, les plantes comme la luzerne permettent une économie des ressources naturelles sol. La luzerne ne nécessite que 0,41 hectares pour produire 1 tonne de protéines, contre 1,3 pour le soja. Les protéines végétales sont notamment utilisées pour nourrir les élevages.Exemplaires
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