Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique
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Titre de série : Pollution Atmosphérique, 229-230 Titre : Plan Ecophyto II et qualité de l’air Type de document : texte imprimé Auteurs : Launois L., Auteur ; Warangot L., Auteur ; Jacquiau L., Auteur Année de publication : 2016 Tags : plan Euphyto II plan Euphyto I produits phytopharmaceutiques produits phytosanitaires qualité de l'air impact sur l'écosystème impact sur les organismes transfert exposition agroéquipements équipements parcellaires Résumé : Le plan Euphyto II vise à la maîtrise des risques liés à l'utilisation de produits phytopharmaceutiques. Il s'inscrit dans la continuité du plan Euphyto I, lequel avait pour objectif une réduction de l'utilisation de ces produits. Le plan Euphyto II se base sur divers outils comme par exemple la formation des agriculteurs à une utilisation plus responsable des pesticides. Il soutient également la mise en place de réseaux de surveillance de la qualité de l'air.
Au niveau environnemental, le plan Euphyto II s'intéresse au devenir et au transfert des produits phytopharmaceutiques dans l'air, l'eau et le sol, leur impact sur les organismes et sur l'écosystème ainsi qu'aux infrastructures écologiques destinées à réduire les transferts et diminuer les impacts. Au niveau de la santé, le plan Euphyto II s'intéresse aux voies et aux déterminants des expositions. Les approches multidisciplinaires et la modélisation sont privilégiées, afin d'étudier globalement la chaîne "pressions-transfert-exposition-impact".
Les perspectives de ce plan sont la poursuite des efforts relatifs à la conception d'équipements de protection individuelle et collective et l'accompagnement et l'innovation des exploitants agricoles en agroéquipements de précision. D'autre part, le plan vise la suppression du marché des substances les plus dangereuses pour l'humain et pour l'environnement. D'autre part, l'évaluation des risques et des impacts nécessite la constitution d'indicateurs pertinents et fiables.
Pour finir, les agroéquipements de nouvelle génération et recourant moins aux produits phytosanitaires, la généralisation des équipements parcellaires et l'adaptation des conditions d'application devraient permettre de limiter les transferts de ces produits, et plus globalement de parvenir à une meilleure qualité de l'air.Pollution Atmosphérique, 229-230. Plan Ecophyto II et qualité de l’air [texte imprimé] / Launois L., Auteur ; Warangot L., Auteur ; Jacquiau L., Auteur . - 2016.
Tags : plan Euphyto II plan Euphyto I produits phytopharmaceutiques produits phytosanitaires qualité de l'air impact sur l'écosystème impact sur les organismes transfert exposition agroéquipements équipements parcellaires Résumé : Le plan Euphyto II vise à la maîtrise des risques liés à l'utilisation de produits phytopharmaceutiques. Il s'inscrit dans la continuité du plan Euphyto I, lequel avait pour objectif une réduction de l'utilisation de ces produits. Le plan Euphyto II se base sur divers outils comme par exemple la formation des agriculteurs à une utilisation plus responsable des pesticides. Il soutient également la mise en place de réseaux de surveillance de la qualité de l'air.
Au niveau environnemental, le plan Euphyto II s'intéresse au devenir et au transfert des produits phytopharmaceutiques dans l'air, l'eau et le sol, leur impact sur les organismes et sur l'écosystème ainsi qu'aux infrastructures écologiques destinées à réduire les transferts et diminuer les impacts. Au niveau de la santé, le plan Euphyto II s'intéresse aux voies et aux déterminants des expositions. Les approches multidisciplinaires et la modélisation sont privilégiées, afin d'étudier globalement la chaîne "pressions-transfert-exposition-impact".
Les perspectives de ce plan sont la poursuite des efforts relatifs à la conception d'équipements de protection individuelle et collective et l'accompagnement et l'innovation des exploitants agricoles en agroéquipements de précision. D'autre part, le plan vise la suppression du marché des substances les plus dangereuses pour l'humain et pour l'environnement. D'autre part, l'évaluation des risques et des impacts nécessite la constitution d'indicateurs pertinents et fiables.
Pour finir, les agroéquipements de nouvelle génération et recourant moins aux produits phytosanitaires, la généralisation des équipements parcellaires et l'adaptation des conditions d'application devraient permettre de limiter les transferts de ces produits, et plus globalement de parvenir à une meilleure qualité de l'air.Exemplaires(0)
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L230_LaunoisAdobe Acrobat PDFPollution Atmosphérique, 229-230. Prise en compte de la qualité de l’air par le secteur agricole : de la connaissance à l’action / S. Agasse
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Titre de série : Pollution Atmosphérique, 229-230 Titre : Prise en compte de la qualité de l’air par le secteur agricole : de la connaissance à l’action Titre original : Awareness of the air quality in agriculture: from knowledge to action Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Agasse, Auteur Année de publication : 2016 Tags : qualité de l'air pratiques agricoles émissions polluantes polluants pollution atmosphérique ammoniac Résumé : L’enjeu des interactions entre qualité de l’air et pratiques agricoles est un sujet émergent et complexe, sur lequel la société s’interroge et dont les pouvoirs publics se saisissent. L’agriculture travaille en effet avec du vivant (animaux, végétaux, sol…) et interagit avec des grands cycles biogéochimiques dont celui de l’azote. Par voie de conséquence, les sources d’émissions à l’échelle d’une exploitation sont multiples (bâtiments, stockage, épandage des engrais ou des effluents d’élevage) et dépendent du contexte pédoclimatique. Aujourd’hui, le niveau de connaissance sur ces émissions est variable en fonction des polluants (NH3, NOx, produits phytosanitaires), et l’évaluation des impacts de la pollution atmosphérique sur les productions agricoles, notamment par l’ozone, doit être approfondie. D’ores et déjà , plusieurs leviers d’actions à mettre en place au niveau des exploitations agricoles sont identifiés. Pour autant, la compréhension de ces sujets doit continuer à être investie, pour permettre aux agriculteurs d’agir sur les facteurs dont ils ont la maîtrise, de façon efficace, adaptée à leur exploitation et cohérente avec l’ensemble des enjeux environnementaux et économiques auxquels ils doivent répondre. Cet article expose des exemples variés d’actions conduites montrant la dynamique en cours et les voies de progrès à poursuivre. La réflexion globale de l’intégration de la maîtrise des émissions atmosphériques au sein du réseau de conseil des Chambres d’Agriculture qui accompagnent au quotidien les agriculteurs, est exposée dans une première partie. Elle est suivie par une présentation de travaux conjoints entre le développement agricole, la recherche et les AASQA1 sur l’objectivation des émissions de produits phytosanitaires dans l’air, et le lien avec les pratiques des agriculteurs. Plusieurs exemples de leviers d’action opérationnels permettant de réduire les émissions de NH3 sont ensuite décrits. Ils portent aussi bien sur les travaux sur le machinisme agricole, qui ont abouti à la labellisation du matériel d’épandage, que sur les actions permettant d’agir sur la réduction de la consommation de carburant. Le guide des bonnes pratiques en élevage et la présentation de travaux en cours montrent la prise en compte croissante des émissions et de leur meilleure comptabilisation dans ce secteur. Au niveau des cultures, c’est le levier optimisation de la fertilisation azotée des plantes grâce aux outils d’aide à la décision qui est décrit. Enfin, l’article se conclut par l’identification d’axes de travail adaptés au contexte de l’agriculture d’un territoire, la Lorraine, et sur les actions de communication et de sensibilisation vers les agriculteurs qui en découlent. Pollution Atmosphérique, 229-230. Prise en compte de la qualité de l’air par le secteur agricole : de la connaissance à l’action = Awareness of the air quality in agriculture: from knowledge to action [texte imprimé] / S. Agasse, Auteur . - 2016.
Tags : qualité de l'air pratiques agricoles émissions polluantes polluants pollution atmosphérique ammoniac Résumé : L’enjeu des interactions entre qualité de l’air et pratiques agricoles est un sujet émergent et complexe, sur lequel la société s’interroge et dont les pouvoirs publics se saisissent. L’agriculture travaille en effet avec du vivant (animaux, végétaux, sol…) et interagit avec des grands cycles biogéochimiques dont celui de l’azote. Par voie de conséquence, les sources d’émissions à l’échelle d’une exploitation sont multiples (bâtiments, stockage, épandage des engrais ou des effluents d’élevage) et dépendent du contexte pédoclimatique. Aujourd’hui, le niveau de connaissance sur ces émissions est variable en fonction des polluants (NH3, NOx, produits phytosanitaires), et l’évaluation des impacts de la pollution atmosphérique sur les productions agricoles, notamment par l’ozone, doit être approfondie. D’ores et déjà , plusieurs leviers d’actions à mettre en place au niveau des exploitations agricoles sont identifiés. Pour autant, la compréhension de ces sujets doit continuer à être investie, pour permettre aux agriculteurs d’agir sur les facteurs dont ils ont la maîtrise, de façon efficace, adaptée à leur exploitation et cohérente avec l’ensemble des enjeux environnementaux et économiques auxquels ils doivent répondre. Cet article expose des exemples variés d’actions conduites montrant la dynamique en cours et les voies de progrès à poursuivre. La réflexion globale de l’intégration de la maîtrise des émissions atmosphériques au sein du réseau de conseil des Chambres d’Agriculture qui accompagnent au quotidien les agriculteurs, est exposée dans une première partie. Elle est suivie par une présentation de travaux conjoints entre le développement agricole, la recherche et les AASQA1 sur l’objectivation des émissions de produits phytosanitaires dans l’air, et le lien avec les pratiques des agriculteurs. Plusieurs exemples de leviers d’action opérationnels permettant de réduire les émissions de NH3 sont ensuite décrits. Ils portent aussi bien sur les travaux sur le machinisme agricole, qui ont abouti à la labellisation du matériel d’épandage, que sur les actions permettant d’agir sur la réduction de la consommation de carburant. Le guide des bonnes pratiques en élevage et la présentation de travaux en cours montrent la prise en compte croissante des émissions et de leur meilleure comptabilisation dans ce secteur. Au niveau des cultures, c’est le levier optimisation de la fertilisation azotée des plantes grâce aux outils d’aide à la décision qui est décrit. Enfin, l’article se conclut par l’identification d’axes de travail adaptés au contexte de l’agriculture d’un territoire, la Lorraine, et sur les actions de communication et de sensibilisation vers les agriculteurs qui en découlent. Exemplaires(0)
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L230_AgasseAdobe Acrobat PDFPollution Atmosphérique, 226. Contaminations polymétalliques des aérosols de la ville d’Oruro (Andes boliviennes) via l’utilisation du biomoniteur Tillandsia capillaris, plante épiphyte andine / Calas A.
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Titre de série : Pollution Atmosphérique, 226 Titre : Contaminations polymétalliques des aérosols de la ville d’Oruro (Andes boliviennes) via l’utilisation du biomoniteur Tillandsia capillaris, plante épiphyte andine Titre original : The use of biomonitor Tillandsia capillaris to characterize the extent of atmospheric contamination by metals in the mining city of Oruro (Bolivia) Type de document : texte imprimé Auteurs : Calas A., Auteur ; Uzu G., Auteur ; Schreck E., Auteur ; S. Sobanska, Auteur ; Sarret G., Auteur ; Point D., Auteur ; Guedron S., Auteur ; Tisserand D., Auteur ; Huayta-Vasquez C, Auteur ; De La Galvez E., Auteur ; Oliva P., Auteur Année de publication : 2015 Tags : aérosols particules polluants métaux qualité de l'air Bolivie pollution métallique métaux atmosphériques pollution Tillandsia capillaris Résumé : L’étude de la pollution atmosphérique par les matières particulaires connaît depuis quelques années un essor important à cause de l’impact de ces particules sur l’environnement, mais également à cause de leurs nombreux effets néfastes sur la santé humaine. Une alternative à l’utilisation de filtres pour identifier les polluants environnementaux contenus dans ces particules tels que les métaux lourds consiste à utiliser des espèces bioindicatrices. Les Tillandsia capillaris sont des plantes épiphytes de la famille des Broméliacées qui sont souvent utilisées dans des études de surveillance de la qualité de l’air, car elles puisent tous leurs nutriments de l’atmosphère.
L’objectif principal de cette étude était de savoir si cette espèce, adaptée au climat andin, pouvait servir d’espèce bioindicatrice de la qualité de l’air au niveau de la ville minière d’Oruro (Bolivie) où les sources de pollution sont différentes. Une cinétique de bioaccumulation dans le temps a été réalisée ici en exposant les Tillandsias entre 1 et 6 mois dans différentes zones de la ville. Les résultats font clairement ressortir une forte pollution au niveau de la fonderie d’étain, à l’est de la ville. Au niveau de cette zone, les Tillandsias présentent une saturation voire une perte en éléments métalliques à partir de 4 mois d’exposition. Ceci nous amène à conclure que dans le cas de forte pollution métallique, cette plante n’est pas adaptée sur un suivi supérieur à 4 mois. Par contre, pour des zones urbaines moins exposées aux métaux atmosphériques, cette plante reflète bien les niveaux de métaux présents dans l’air et permet d’intégrer cette pollution sur des périodes bien plus longues que des études sur des filtres.Pollution Atmosphérique, 226. Contaminations polymétalliques des aérosols de la ville d’Oruro (Andes boliviennes) via l’utilisation du biomoniteur Tillandsia capillaris, plante épiphyte andine = The use of biomonitor Tillandsia capillaris to characterize the extent of atmospheric contamination by metals in the mining city of Oruro (Bolivia) [texte imprimé] / Calas A., Auteur ; Uzu G., Auteur ; Schreck E., Auteur ; S. Sobanska, Auteur ; Sarret G., Auteur ; Point D., Auteur ; Guedron S., Auteur ; Tisserand D., Auteur ; Huayta-Vasquez C, Auteur ; De La Galvez E., Auteur ; Oliva P., Auteur . - 2015.
Tags : aérosols particules polluants métaux qualité de l'air Bolivie pollution métallique métaux atmosphériques pollution Tillandsia capillaris Résumé : L’étude de la pollution atmosphérique par les matières particulaires connaît depuis quelques années un essor important à cause de l’impact de ces particules sur l’environnement, mais également à cause de leurs nombreux effets néfastes sur la santé humaine. Une alternative à l’utilisation de filtres pour identifier les polluants environnementaux contenus dans ces particules tels que les métaux lourds consiste à utiliser des espèces bioindicatrices. Les Tillandsia capillaris sont des plantes épiphytes de la famille des Broméliacées qui sont souvent utilisées dans des études de surveillance de la qualité de l’air, car elles puisent tous leurs nutriments de l’atmosphère.
L’objectif principal de cette étude était de savoir si cette espèce, adaptée au climat andin, pouvait servir d’espèce bioindicatrice de la qualité de l’air au niveau de la ville minière d’Oruro (Bolivie) où les sources de pollution sont différentes. Une cinétique de bioaccumulation dans le temps a été réalisée ici en exposant les Tillandsias entre 1 et 6 mois dans différentes zones de la ville. Les résultats font clairement ressortir une forte pollution au niveau de la fonderie d’étain, à l’est de la ville. Au niveau de cette zone, les Tillandsias présentent une saturation voire une perte en éléments métalliques à partir de 4 mois d’exposition. Ceci nous amène à conclure que dans le cas de forte pollution métallique, cette plante n’est pas adaptée sur un suivi supérieur à 4 mois. Par contre, pour des zones urbaines moins exposées aux métaux atmosphériques, cette plante reflète bien les niveaux de métaux présents dans l’air et permet d’intégrer cette pollution sur des périodes bien plus longues que des études sur des filtres.Exemplaires(0)
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L226_CalasAdobe Acrobat PDFPollution Atmosphérique, 228. Logistique urbaine durable : un exemple grenoblois de politique urbaine intégrée / Wiart J.
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Titre de série : Pollution Atmosphérique, 228 Titre : Logistique urbaine durable : un exemple grenoblois de politique urbaine intégrée Type de document : texte imprimé Auteurs : Wiart J., Auteur Année de publication : 2016 Tags : centre de distribution urbaine CDU pollution de l'air pollution atmosphérique véhicules relais émissions polluantes particules gaz à effet de serre qualité de l'air mobilité urbaine développement durable Résumé : Ce document traite de la mise en place d'un Centre de Distribution Urbaine dans la métropole grenobloise. Ce type d'installation permet de réduire la pollution de l'air, en incitant les gros véhicules à rester en périphérie de la ville. Des véhicules plus petits et moins polluants prennent le relais. Ces véhicules connaissent aussi mieux la ville, souvent contrairement aux gros véhicules qui de fait perdent du temps et polluent donc davantage. Les Centres de Distribution Urbaine permettent ainsi une meilleure gestion de la pollution atmosphérique. A Grenoble, le projet a deux objectifs : l'amélioration de la qualité de l'air et un regain de vitalité pour le centre-ville.
Cependant, la bonne conduite du projet est dépendante de l'intérêt des transporteurs à l'égard de celui-ci, c'est pourquoi la ville de Grenoble a lancé un Appel à Manifestation d'Intérêt. L'engorgement bien connu de la ville a fait que les transporteurs ont été globalement intéressés par le projet. La ville n'a participé qu'en tant que facilitateur du projet. L'organisation comme les financements ont été gérés par les transporteurs. Au final, ce projet s'intègre dans l'optique d'une mobilité urbaine durable au sein des villes.Pollution Atmosphérique, 228. Logistique urbaine durable : un exemple grenoblois de politique urbaine intégrée [texte imprimé] / Wiart J., Auteur . - 2016.
Tags : centre de distribution urbaine CDU pollution de l'air pollution atmosphérique véhicules relais émissions polluantes particules gaz à effet de serre qualité de l'air mobilité urbaine développement durable Résumé : Ce document traite de la mise en place d'un Centre de Distribution Urbaine dans la métropole grenobloise. Ce type d'installation permet de réduire la pollution de l'air, en incitant les gros véhicules à rester en périphérie de la ville. Des véhicules plus petits et moins polluants prennent le relais. Ces véhicules connaissent aussi mieux la ville, souvent contrairement aux gros véhicules qui de fait perdent du temps et polluent donc davantage. Les Centres de Distribution Urbaine permettent ainsi une meilleure gestion de la pollution atmosphérique. A Grenoble, le projet a deux objectifs : l'amélioration de la qualité de l'air et un regain de vitalité pour le centre-ville.
Cependant, la bonne conduite du projet est dépendante de l'intérêt des transporteurs à l'égard de celui-ci, c'est pourquoi la ville de Grenoble a lancé un Appel à Manifestation d'Intérêt. L'engorgement bien connu de la ville a fait que les transporteurs ont été globalement intéressés par le projet. La ville n'a participé qu'en tant que facilitateur du projet. L'organisation comme les financements ont été gérés par les transporteurs. Au final, ce projet s'intègre dans l'optique d'une mobilité urbaine durable au sein des villes.Exemplaires(0)
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L228_WiartURLPollution Atmosphérique, 229-230. Les légumineuses, alliées d’une agriculture écologiquement intensive. L’exemple de la luzerne / Le Chatelier D.
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Titre de série : Pollution Atmosphérique, 229-230 Titre : Les légumineuses, alliées d’une agriculture écologiquement intensive. L’exemple de la luzerne Type de document : texte imprimé Auteurs : Le Chatelier D., Auteur Année de publication : 2016 Tags : légumineuse azote engrais pesticides produits phytosanitaires composants volatils organiques qualité de l'eau qualité de l'air pollution luzerne restructuration du sol entretien du sol protéines végétales Résumé : Les légumineuses sont les seules cultures agricoles à être capables d'utiliser l'azote présent dans l'air pour produire leurs propres protéines, sans nécessiter d'apport d'engrais azotés supplémentaires. Certaines sont également très peu gourmandes en pesticides. Elles ont des effets positifs sur la conservation des sols, la qualité des eaux souterraines et de surface, la biodiversité, l'agriculture.
L'utilisation de moins de produits phytosanitaires permet de limiter les composants volatils organiques émis. Au niveau de la qualité de l'eau, moins de traitements sont nécessaires pour obtenir une eau potable. La luzerne est ainsi utilisée dans les bassins de captage des eaux de Vittel.
Grâce à sa densité et sa profondeur racinaire ainsi qu'à sa pérennité de 2/3 ans sur la même parcelle, la luzerne permet de restructurer le sol. En effet, les racines créent une porosité dans la terre qui favorise la vie microbiologique et la microfaune, qui eux même permettent l'entretien du sol ainsi que la création de la fertilité naturelle de celui-ci. Ainsi, les engins agressifs pour l'environnement et coûteux en carburant ne sont pas nécessaires. La luzerne permet aussi de protéger du ruissellement et de l'érosion hydrique. Enfin, la plante permet de lutter contre les mauvaises herbes. De très nombreuses espèces animales trouvent refuge dans la couverture permanente formée par les légumineuses, qui soutiennent ainsi la biodiversité. Pour finir, les plantes comme la luzerne permettent une économie des ressources naturelles sol. La luzerne ne nécessite que 0,41 hectares pour produire 1 tonne de protéines, contre 1,3 pour le soja. Les protéines végétales sont notamment utilisées pour nourrir les élevages.Pollution Atmosphérique, 229-230. Les légumineuses, alliées d’une agriculture écologiquement intensive. L’exemple de la luzerne [texte imprimé] / Le Chatelier D., Auteur . - 2016.
Tags : légumineuse azote engrais pesticides produits phytosanitaires composants volatils organiques qualité de l'eau qualité de l'air pollution luzerne restructuration du sol entretien du sol protéines végétales Résumé : Les légumineuses sont les seules cultures agricoles à être capables d'utiliser l'azote présent dans l'air pour produire leurs propres protéines, sans nécessiter d'apport d'engrais azotés supplémentaires. Certaines sont également très peu gourmandes en pesticides. Elles ont des effets positifs sur la conservation des sols, la qualité des eaux souterraines et de surface, la biodiversité, l'agriculture.
L'utilisation de moins de produits phytosanitaires permet de limiter les composants volatils organiques émis. Au niveau de la qualité de l'eau, moins de traitements sont nécessaires pour obtenir une eau potable. La luzerne est ainsi utilisée dans les bassins de captage des eaux de Vittel.
Grâce à sa densité et sa profondeur racinaire ainsi qu'à sa pérennité de 2/3 ans sur la même parcelle, la luzerne permet de restructurer le sol. En effet, les racines créent une porosité dans la terre qui favorise la vie microbiologique et la microfaune, qui eux même permettent l'entretien du sol ainsi que la création de la fertilité naturelle de celui-ci. Ainsi, les engins agressifs pour l'environnement et coûteux en carburant ne sont pas nécessaires. La luzerne permet aussi de protéger du ruissellement et de l'érosion hydrique. Enfin, la plante permet de lutter contre les mauvaises herbes. De très nombreuses espèces animales trouvent refuge dans la couverture permanente formée par les légumineuses, qui soutiennent ainsi la biodiversité. Pour finir, les plantes comme la luzerne permettent une économie des ressources naturelles sol. La luzerne ne nécessite que 0,41 hectares pour produire 1 tonne de protéines, contre 1,3 pour le soja. Les protéines végétales sont notamment utilisées pour nourrir les élevages.Exemplaires(0)
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L230_Le_ChatelierAdobe Acrobat PDFPollution Atmosphérique, 229-230. Méthodologie et évolution des émissions de polluants atmosphériques dans les inventaires / Mathias E.
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PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Dans la vallée de l’Arve, une approche innovante de la gestion de la pollution atmosphérique / I. Roussel
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