Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique
Revue Pollution Atmosphérique n°228 (Janvier-Mars 2016)
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Pollution Atmosphérique. Les inondations azuréennes du 3 octobre 2015 : un lourd bilan lié à un risque composite / Carrega P.
Titre de série : Pollution Atmosphérique Titre : Les inondations azuréennes du 3 octobre 2015 : un lourd bilan lié à un risque composite Titre original : The Côte d’Azur floods on 3 october 2015: heavy consequences linked to a composite risk Type de document : texte imprimé Auteurs : Carrega P., Auteur Année de publication : 2016 Tags : alea inondations pluies exceptionnelles ruissellement susceptibilité vulnérabilité Résumé : Les dégâts très importants provoqués par les inondations du 3 octobre 2015 sur le littoral azuréen sont liés à des précipitations exceptionnelles par leur intensité (près de 200 mm en 2 heures) ruisselant sur un sol probablement saturé par les pluies de la veille même en secteur non urbanisé. La vulnérabilité très forte, associée à l’aléa extraordinaire et à une forte susceptibilité, expliquent le désastre. Pollution Atmosphérique. Les inondations azuréennes du 3 octobre 2015 : un lourd bilan lié à un risque composite = The Côte d’Azur floods on 3 october 2015: heavy consequences linked to a composite risk [texte imprimé] / Carrega P., Auteur . - 2016.
Tags : alea inondations pluies exceptionnelles ruissellement susceptibilité vulnérabilité Résumé : Les dégâts très importants provoqués par les inondations du 3 octobre 2015 sur le littoral azuréen sont liés à des précipitations exceptionnelles par leur intensité (près de 200 mm en 2 heures) ruisselant sur un sol probablement saturé par les pluies de la veille même en secteur non urbanisé. La vulnérabilité très forte, associée à l’aléa extraordinaire et à une forte susceptibilité, expliquent le désastre. Exemplaires
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L228_06_CarregaAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 228. Une analyse statistique entre la concentration de particules fines et d’ozone en présence de brume sèche dans le Sud du Québec / Provençal S.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 228 Titre : Une analyse statistique entre la concentration de particules fines et d’ozone en présence de brume sèche dans le Sud du Québec Titre original : A statistical analysis between the concentration of fine particulate matter and ozone during hazy conditions in southern Quebec, Canada Type de document : texte imprimé Auteurs : Provençal S., Auteur ; Leduc R., Auteur ; Barrette N., Auteur Année de publication : 2016 Tags : brume sèche ozone particules fines Québec Résumé : La proximité du Sud de l’Ontario et du Nord-Est des États-Unis positionne le Québec dans une situation de vulnérabilité face à l’advection de contaminants atmosphériques en provenance de ces régions très industrialisées et peuplées. La visibilité réduite est un indicateur bien connu d’une piètre qualité de l’air lorsque les conditions atmosphériques sont sèches. Lorsque la visibilité est inférieure à 10 km et que l’humidité relative est faible, un épisode de brume sèche est signalé dans l’observation météorologique. Il est donc intuitif d’associer un épisode de brume sèche à un niveau élevé de contaminants atmosphériques. Plusieurs études associent la brume sèche à une concentration élevée d’ozone, et bien que l’ozone soit un gaz qui n’absorbe ni ne disperse la lumière, il est couramment utilisé comme indicateur de visibilité réduite. L’objectif de cette étude est de vérifier si l’ozone est effectivement un indicateur fiable de visibilité réduite au même titre que les particules fines qui, elles, réduisent véritablement la visibilité. À l’aide de données provenant de stations de surveillance météorologique et de qualité de l’air, une analyse statistique est effectuée entre la concentration de ces deux contaminants lorsque la brume sèche est signalée dans les trois régions métropolitaines les plus peuplées du Sud du Québec : Montréal, Québec et Gatineau. Les résultats suggèrent que la concentration de particules fines est élevée lorsque la brume sèche est signalée, mais, par contre, la concentration d’ozone est beaucoup plus variable. Moins de la moitié des observations de brume sèche est accompagnée d’une concentration élevée d’ozone. Les cycles annuels et quotidiens expliquent en partie cette variabilité ; les épisodes de brume sèche estivaux et diurnes sont caractérisés par une concentration élevée d’ozone plus fréquente, contrairement aux épisodes hivernaux, alors qu’à peine quelques observations de brume sèche sont caractérisées ainsi. Pollution Atmosphérique, 228. Une analyse statistique entre la concentration de particules fines et d’ozone en présence de brume sèche dans le Sud du Québec = A statistical analysis between the concentration of fine particulate matter and ozone during hazy conditions in southern Quebec, Canada [texte imprimé] / Provençal S., Auteur ; Leduc R., Auteur ; Barrette N., Auteur . - 2016.
Tags : brume sèche ozone particules fines Québec Résumé : La proximité du Sud de l’Ontario et du Nord-Est des États-Unis positionne le Québec dans une situation de vulnérabilité face à l’advection de contaminants atmosphériques en provenance de ces régions très industrialisées et peuplées. La visibilité réduite est un indicateur bien connu d’une piètre qualité de l’air lorsque les conditions atmosphériques sont sèches. Lorsque la visibilité est inférieure à 10 km et que l’humidité relative est faible, un épisode de brume sèche est signalé dans l’observation météorologique. Il est donc intuitif d’associer un épisode de brume sèche à un niveau élevé de contaminants atmosphériques. Plusieurs études associent la brume sèche à une concentration élevée d’ozone, et bien que l’ozone soit un gaz qui n’absorbe ni ne disperse la lumière, il est couramment utilisé comme indicateur de visibilité réduite. L’objectif de cette étude est de vérifier si l’ozone est effectivement un indicateur fiable de visibilité réduite au même titre que les particules fines qui, elles, réduisent véritablement la visibilité. À l’aide de données provenant de stations de surveillance météorologique et de qualité de l’air, une analyse statistique est effectuée entre la concentration de ces deux contaminants lorsque la brume sèche est signalée dans les trois régions métropolitaines les plus peuplées du Sud du Québec : Montréal, Québec et Gatineau. Les résultats suggèrent que la concentration de particules fines est élevée lorsque la brume sèche est signalée, mais, par contre, la concentration d’ozone est beaucoup plus variable. Moins de la moitié des observations de brume sèche est accompagnée d’une concentration élevée d’ozone. Les cycles annuels et quotidiens expliquent en partie cette variabilité ; les épisodes de brume sèche estivaux et diurnes sont caractérisés par une concentration élevée d’ozone plus fréquente, contrairement aux épisodes hivernaux, alors qu’à peine quelques observations de brume sèche sont caractérisées ainsi. Exemplaires
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L228_09_ProvencalAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 228. Étude sociologique sur la pollution due au chauffage au bois dans l’agglomération grenobloise : synthèse des principaux résultats / La Branche S.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 228 Titre : Étude sociologique sur la pollution due au chauffage au bois dans l’agglomération grenobloise : synthèse des principaux résultats Titre original : Sociological study on Air pollution due to woodheating on Grenoble's territory: synthesis of the main results Type de document : texte imprimé Auteurs : La Branche S., Auteur Année de publication : 2016 Tags : chauffage au bois pollution brûlage des déchets verts Grenoble vallée de l'Arve Résumé : Cet article présente les résultats principaux du volet sociologique d’une étude globale et multidisciplinaire sur la pollution liée aux NOx et aux PM issus du chauffage au bois et du brûlage des déchets verts sur le territoire de la Communauté d’agglomération Grenoble-Alpes Métropole. Ont été menés un benchmark des mesures étrangères et françaises, une comparaison avec la vallée de l’Arve, une analyse qualitative avec entretiens semi-directifs auprès d’individus lambda et des acteurs de la filière du chauffage au bois, et enfin un sondage. L’étude apporte des éléments de compréhension sur le parc de chauffage au bois, sur la perception et les représentations de la population des différents aspects de la pollution liée au chauffage au bois, et sur les freins et blocages aux changements de comportements. L’objectif était de construire des mesures de lutte et d’accompagnement. Pollution Atmosphérique, 228. Étude sociologique sur la pollution due au chauffage au bois dans l’agglomération grenobloise : synthèse des principaux résultats = Sociological study on Air pollution due to woodheating on Grenoble's territory: synthesis of the main results [texte imprimé] / La Branche S., Auteur . - 2016.
Tags : chauffage au bois pollution brûlage des déchets verts Grenoble vallée de l'Arve Résumé : Cet article présente les résultats principaux du volet sociologique d’une étude globale et multidisciplinaire sur la pollution liée aux NOx et aux PM issus du chauffage au bois et du brûlage des déchets verts sur le territoire de la Communauté d’agglomération Grenoble-Alpes Métropole. Ont été menés un benchmark des mesures étrangères et françaises, une comparaison avec la vallée de l’Arve, une analyse qualitative avec entretiens semi-directifs auprès d’individus lambda et des acteurs de la filière du chauffage au bois, et enfin un sondage. L’étude apporte des éléments de compréhension sur le parc de chauffage au bois, sur la perception et les représentations de la population des différents aspects de la pollution liée au chauffage au bois, et sur les freins et blocages aux changements de comportements. L’objectif était de construire des mesures de lutte et d’accompagnement. Exemplaires
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L228_04_La_BrancheAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 228. Evaluation of lead pollution risk assessment in the air and dust (A case study: Shiraz-Fars) / E. Asrari
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 228 Titre : Evaluation of lead pollution risk assessment in the air and dust (A case study: Shiraz-Fars) Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Asrari, Auteur ; Felaheti A., Auteur Année de publication : 2016 Tags : évaluation du risque sanitaire métaux lourds plomb pollution atmosphérique poussières Shiraz Résumé : Le plomb appartient à la catégorie des métaux lourds qui se trouvent dans l’air des grandes villes. Il peut pénétrer dans le corps humain par inhalation et, en raison de ses possibilités d’accumulation, il peut provoquer des dommages sanitaires comme il peut avoir des effets négatifs sur l’environnement. Cette étude tente d’évaluer le risque causé par le plomb contenu dans l’air et dans la poussière de la ville de Shiraz, en été et au printemps. L’échantillonnage a été réalisé grâce à l’installation de 12 stations de mesure filtrant les poussières au niveau de 63 microns. L’évaluation des concentrations par absorption atomique a été réalisée après dissolution des échantillons avec des solutions d’ HCl–HNO3–H2O. C’est à partir des niveaux de plomb contenu dans les échantillons de poussière qu’une analyse du risque écologique a été possible avec la méthode d’HaKanson, tandis que l’évaluation du risque sanitaire est effectuée à partir des niveaux de plomb contenu dans l’air. En moyenne, les concentrations observées sont de 1,29 µg/m3 dans l’air et 125,5 mg/kg dans la poussière de l’air extérieur. Le risque écologique est élevé pour l’ensemble de la ville puisque le coefficient de hasard (Hazard Quotient (HQ)) est, la plupart du temps, supérieur à 1. C’est au printemps et en été que les concentrations sont les plus élevées ; elles dépassent largement la norme de 0,5 mg/m3 proposée par l’OMS. Ces résultats sont importants à prendre en compte pour développer des stratégies pour diminuer cette pollution diffuse par tous les moyens. Pollution Atmosphérique, 228. Evaluation of lead pollution risk assessment in the air and dust (A case study: Shiraz-Fars) [texte imprimé] / E. Asrari, Auteur ; Felaheti A., Auteur . - 2016.
Tags : évaluation du risque sanitaire métaux lourds plomb pollution atmosphérique poussières Shiraz Résumé : Le plomb appartient à la catégorie des métaux lourds qui se trouvent dans l’air des grandes villes. Il peut pénétrer dans le corps humain par inhalation et, en raison de ses possibilités d’accumulation, il peut provoquer des dommages sanitaires comme il peut avoir des effets négatifs sur l’environnement. Cette étude tente d’évaluer le risque causé par le plomb contenu dans l’air et dans la poussière de la ville de Shiraz, en été et au printemps. L’échantillonnage a été réalisé grâce à l’installation de 12 stations de mesure filtrant les poussières au niveau de 63 microns. L’évaluation des concentrations par absorption atomique a été réalisée après dissolution des échantillons avec des solutions d’ HCl–HNO3–H2O. C’est à partir des niveaux de plomb contenu dans les échantillons de poussière qu’une analyse du risque écologique a été possible avec la méthode d’HaKanson, tandis que l’évaluation du risque sanitaire est effectuée à partir des niveaux de plomb contenu dans l’air. En moyenne, les concentrations observées sont de 1,29 µg/m3 dans l’air et 125,5 mg/kg dans la poussière de l’air extérieur. Le risque écologique est élevé pour l’ensemble de la ville puisque le coefficient de hasard (Hazard Quotient (HQ)) est, la plupart du temps, supérieur à 1. C’est au printemps et en été que les concentrations sont les plus élevées ; elles dépassent largement la norme de 0,5 mg/m3 proposée par l’OMS. Ces résultats sont importants à prendre en compte pour développer des stratégies pour diminuer cette pollution diffuse par tous les moyens. Exemplaires
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L228_01_AsrariAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 228. Indice de confinement de l’air intérieur : des écoles aux logements / Riberon J
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 228 Titre : Indice de confinement de l’air intérieur : des écoles aux logements Titre original : Air stuffiness index: from schools to dwellings Type de document : texte imprimé Auteurs : Riberon J, Auteur ; Ramalho O, Auteur ; Derbez M, Auteur ; Berthineau B, Auteur ; Wyart G, Auteur ; S. Kirchner, Auteur ; C. Mandin, Auteur Année de publication : 2016 Tags : aération CO2 gestion occupation variabilité spatiale ventilation Résumé : Le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) a proposé en 2007 un indice de confinement de l’air pour les salles de classe, fondé sur la mesure de la concentration en dioxyde de carbone (CO2). Sur une échelle de 0 à 5, cet indice, appelé ICONE, reflète l’adéquation du renouvellement d’air d’une pièce à sa densité d’occupation. Il prend en compte à la fois les fréquences de situation de confinement, mais également leur intensité. Appliqué à la surveillance réglementaire de la qualité de l’air dans les écoles et lieux d’accueil de la petite enfance, cet indice s’est révélé être un outil pertinent et utile aux gestionnaires soucieux d’améliorer les conditions de ventilation de leurs locaux.
Le présent article montre comment cet indice conçu pour les écoles peut être appliqué à l’habitat, en insistant sur la spécificité de ce lieu de vie, les conditions d’occupation des pièces étant très différentes de celles des salles de classe. Selon l’état d’occupation des pièces, l’état des portes intérieures et des fenêtres, ouvertes ou fermées, l’indice de confinement est très différent d’un logement à l’autre. Les chambres sont systématiquement plus confinées que les séjours. Un indice de confinement relatif à l’ensemble du logement exige des mesures dans les différentes pièces. Aussi, en première approche, il est proposé de se limiter au confinement de l’air dans la chambre principale du logement, en période nocturne, sur une durée d’une semaine.Pollution Atmosphérique, 228. Indice de confinement de l’air intérieur : des écoles aux logements = Air stuffiness index: from schools to dwellings [texte imprimé] / Riberon J, Auteur ; Ramalho O, Auteur ; Derbez M, Auteur ; Berthineau B, Auteur ; Wyart G, Auteur ; S. Kirchner, Auteur ; C. Mandin, Auteur . - 2016.
Tags : aération CO2 gestion occupation variabilité spatiale ventilation Résumé : Le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB) a proposé en 2007 un indice de confinement de l’air pour les salles de classe, fondé sur la mesure de la concentration en dioxyde de carbone (CO2). Sur une échelle de 0 à 5, cet indice, appelé ICONE, reflète l’adéquation du renouvellement d’air d’une pièce à sa densité d’occupation. Il prend en compte à la fois les fréquences de situation de confinement, mais également leur intensité. Appliqué à la surveillance réglementaire de la qualité de l’air dans les écoles et lieux d’accueil de la petite enfance, cet indice s’est révélé être un outil pertinent et utile aux gestionnaires soucieux d’améliorer les conditions de ventilation de leurs locaux.
Le présent article montre comment cet indice conçu pour les écoles peut être appliqué à l’habitat, en insistant sur la spécificité de ce lieu de vie, les conditions d’occupation des pièces étant très différentes de celles des salles de classe. Selon l’état d’occupation des pièces, l’état des portes intérieures et des fenêtres, ouvertes ou fermées, l’indice de confinement est très différent d’un logement à l’autre. Les chambres sont systématiquement plus confinées que les séjours. Un indice de confinement relatif à l’ensemble du logement exige des mesures dans les différentes pièces. Aussi, en première approche, il est proposé de se limiter au confinement de l’air dans la chambre principale du logement, en période nocturne, sur une durée d’une semaine.Exemplaires
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L228_05_RiberonAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 228. Logistique urbaine durable : un exemple grenoblois de politique urbaine intégrée / Wiart J.
PermalinkPermalinkPollution Atmosphérique, 228. À propos des brouillards lyonnais : évolutions et qualité de l’air / Renard F.
PermalinkPollution Atmosphérique, 228. Le rapport de la Cour des comptes sur les politiques publiques de lutte contre la pollution de l’air / I. Roussel
PermalinkPermalinkPollution Atmosphérique, 228. Teneurs en trichloramine et trihalométhanes dans l’air ou l’eau des piscines publiques parisiennes et impact de différents procédés de traitement de l’eau des bassins / Le Cossec C.
PermalinkPollution Atmosphérique, 228. Utilisation de la biosurveillance lichénique sur la zone industrialo-portuaire de Fos-sur-Mer : retour sur trois ans de suivi à l'échelle d'un territoire intercommunal / Dron J
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