Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique
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Pollution Atmosphérique, 229-230. Le rôle de l’agriculture sur les concentrations en particules dans l’atmosphère et l’apport de la modélisation / B. Bessagnet
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 229-230 Titre : Le rôle de l’agriculture sur les concentrations en particules dans l’atmosphère et l’apport de la modélisation Titre original : The role of agriculture on the concentrations of particles in the atmosphere and supply modeling Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Bessagnet, Auteur ; Meleux F., Auteur ; Favez O., Auteur ; Menut L., Auteur ; Beauchamp M., Auteur ; Colette A., Auteur ; Couvidat f., Auteur ; Rouïl L., Auteur Année de publication : 2016 Tags : aérosols polluants agriculture ammoniac particules qualité de l’air Résumé : Comme tous les secteurs d’activité, le secteur agricole est responsable de l’émission de nombreux polluants et précurseurs de polluants notamment particulaires. L’agriculture se distingue par de très fortes émissions d’ammoniac, le recensement officiel des émissions indique que plus de 97 % (CITEPA, 2015) des émissions anthropiques de ce composé sont dues à l’agriculture (élevage et épandages d’engrais azotés) en France. L’ammoniac combiné à l’acide nitrique est à la source de la formation de particules secondaires dans l’atmosphère, contribuant ainsi à la charge totale en particules. D’autres émissions, notamment de particules terrigènes, sont imputables à l’agriculture lesquelles sont de taille généralement supérieure à 2,5 µm. L’agriculture a ainsi un rôle important sur la qualité de l’air. L’ammoniac, dans des conditions météorologiques favorables, réagit avec l’acide nitrique pour former le nitrate d’ammonium. En situation d’épisode, le nitrate d’ammonium peut représenter plus de 50 % de la masse de PM10, les situations anticycloniques de fin d’hiver présentent des conditions idéales pour favoriser l’accumulation des polluants dans les basses couches de l’atmosphère et la réaction de formation du nitrate d’ammonium. Les simulations de scénarios montrent que des réductions d’émissions d’ammoniac aboutissent à une baisse sensible des concentrations de nitrate d’ammonium, cette baisse est d’autant plus importante si elle s’accompagne d’autres mesures visant à réduire les émissions des oxydes d’azote. Des politiques de long terme visant à réduire l’ensemble des émissions d’ammoniac permettront également de réduire le nombre de dépassements des valeurs réglementaires des PM10 et PM2.5. Pollution Atmosphérique, 229-230. Le rôle de l’agriculture sur les concentrations en particules dans l’atmosphère et l’apport de la modélisation = The role of agriculture on the concentrations of particles in the atmosphere and supply modeling [texte imprimé] / B. Bessagnet, Auteur ; Meleux F., Auteur ; Favez O., Auteur ; Menut L., Auteur ; Beauchamp M., Auteur ; Colette A., Auteur ; Couvidat f., Auteur ; Rouïl L., Auteur . - 2016.
Tags : aérosols polluants agriculture ammoniac particules qualité de l’air Résumé : Comme tous les secteurs d’activité, le secteur agricole est responsable de l’émission de nombreux polluants et précurseurs de polluants notamment particulaires. L’agriculture se distingue par de très fortes émissions d’ammoniac, le recensement officiel des émissions indique que plus de 97 % (CITEPA, 2015) des émissions anthropiques de ce composé sont dues à l’agriculture (élevage et épandages d’engrais azotés) en France. L’ammoniac combiné à l’acide nitrique est à la source de la formation de particules secondaires dans l’atmosphère, contribuant ainsi à la charge totale en particules. D’autres émissions, notamment de particules terrigènes, sont imputables à l’agriculture lesquelles sont de taille généralement supérieure à 2,5 µm. L’agriculture a ainsi un rôle important sur la qualité de l’air. L’ammoniac, dans des conditions météorologiques favorables, réagit avec l’acide nitrique pour former le nitrate d’ammonium. En situation d’épisode, le nitrate d’ammonium peut représenter plus de 50 % de la masse de PM10, les situations anticycloniques de fin d’hiver présentent des conditions idéales pour favoriser l’accumulation des polluants dans les basses couches de l’atmosphère et la réaction de formation du nitrate d’ammonium. Les simulations de scénarios montrent que des réductions d’émissions d’ammoniac aboutissent à une baisse sensible des concentrations de nitrate d’ammonium, cette baisse est d’autant plus importante si elle s’accompagne d’autres mesures visant à réduire les émissions des oxydes d’azote. Des politiques de long terme visant à réduire l’ensemble des émissions d’ammoniac permettront également de réduire le nombre de dépassements des valeurs réglementaires des PM10 et PM2.5. Exemplaires(0)
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L230_BessagnetAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 226. Contaminations polymétalliques des aérosols de la ville d’Oruro (Andes boliviennes) via l’utilisation du biomoniteur Tillandsia capillaris, plante épiphyte andine / Calas A.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 226 Titre : Contaminations polymétalliques des aérosols de la ville d’Oruro (Andes boliviennes) via l’utilisation du biomoniteur Tillandsia capillaris, plante épiphyte andine Titre original : The use of biomonitor Tillandsia capillaris to characterize the extent of atmospheric contamination by metals in the mining city of Oruro (Bolivia) Type de document : texte imprimé Auteurs : Calas A., Auteur ; Uzu G., Auteur ; Schreck E., Auteur ; S. Sobanska, Auteur ; Sarret G., Auteur ; Point D., Auteur ; Guedron S., Auteur ; Tisserand D., Auteur ; Huayta-Vasquez C, Auteur ; De La Galvez E., Auteur ; Oliva P., Auteur Année de publication : 2015 Tags : aérosols particules polluants métaux qualité de l'air Bolivie pollution métallique métaux atmosphériques pollution Tillandsia capillaris Résumé : L’étude de la pollution atmosphérique par les matières particulaires connaît depuis quelques années un essor important à cause de l’impact de ces particules sur l’environnement, mais également à cause de leurs nombreux effets néfastes sur la santé humaine. Une alternative à l’utilisation de filtres pour identifier les polluants environnementaux contenus dans ces particules tels que les métaux lourds consiste à utiliser des espèces bioindicatrices. Les Tillandsia capillaris sont des plantes épiphytes de la famille des Broméliacées qui sont souvent utilisées dans des études de surveillance de la qualité de l’air, car elles puisent tous leurs nutriments de l’atmosphère.
L’objectif principal de cette étude était de savoir si cette espèce, adaptée au climat andin, pouvait servir d’espèce bioindicatrice de la qualité de l’air au niveau de la ville minière d’Oruro (Bolivie) où les sources de pollution sont différentes. Une cinétique de bioaccumulation dans le temps a été réalisée ici en exposant les Tillandsias entre 1 et 6 mois dans différentes zones de la ville. Les résultats font clairement ressortir une forte pollution au niveau de la fonderie d’étain, à l’est de la ville. Au niveau de cette zone, les Tillandsias présentent une saturation voire une perte en éléments métalliques à partir de 4 mois d’exposition. Ceci nous amène à conclure que dans le cas de forte pollution métallique, cette plante n’est pas adaptée sur un suivi supérieur à 4 mois. Par contre, pour des zones urbaines moins exposées aux métaux atmosphériques, cette plante reflète bien les niveaux de métaux présents dans l’air et permet d’intégrer cette pollution sur des périodes bien plus longues que des études sur des filtres.Pollution Atmosphérique, 226. Contaminations polymétalliques des aérosols de la ville d’Oruro (Andes boliviennes) via l’utilisation du biomoniteur Tillandsia capillaris, plante épiphyte andine = The use of biomonitor Tillandsia capillaris to characterize the extent of atmospheric contamination by metals in the mining city of Oruro (Bolivia) [texte imprimé] / Calas A., Auteur ; Uzu G., Auteur ; Schreck E., Auteur ; S. Sobanska, Auteur ; Sarret G., Auteur ; Point D., Auteur ; Guedron S., Auteur ; Tisserand D., Auteur ; Huayta-Vasquez C, Auteur ; De La Galvez E., Auteur ; Oliva P., Auteur . - 2015.
Tags : aérosols particules polluants métaux qualité de l'air Bolivie pollution métallique métaux atmosphériques pollution Tillandsia capillaris Résumé : L’étude de la pollution atmosphérique par les matières particulaires connaît depuis quelques années un essor important à cause de l’impact de ces particules sur l’environnement, mais également à cause de leurs nombreux effets néfastes sur la santé humaine. Une alternative à l’utilisation de filtres pour identifier les polluants environnementaux contenus dans ces particules tels que les métaux lourds consiste à utiliser des espèces bioindicatrices. Les Tillandsia capillaris sont des plantes épiphytes de la famille des Broméliacées qui sont souvent utilisées dans des études de surveillance de la qualité de l’air, car elles puisent tous leurs nutriments de l’atmosphère.
L’objectif principal de cette étude était de savoir si cette espèce, adaptée au climat andin, pouvait servir d’espèce bioindicatrice de la qualité de l’air au niveau de la ville minière d’Oruro (Bolivie) où les sources de pollution sont différentes. Une cinétique de bioaccumulation dans le temps a été réalisée ici en exposant les Tillandsias entre 1 et 6 mois dans différentes zones de la ville. Les résultats font clairement ressortir une forte pollution au niveau de la fonderie d’étain, à l’est de la ville. Au niveau de cette zone, les Tillandsias présentent une saturation voire une perte en éléments métalliques à partir de 4 mois d’exposition. Ceci nous amène à conclure que dans le cas de forte pollution métallique, cette plante n’est pas adaptée sur un suivi supérieur à 4 mois. Par contre, pour des zones urbaines moins exposées aux métaux atmosphériques, cette plante reflète bien les niveaux de métaux présents dans l’air et permet d’intégrer cette pollution sur des périodes bien plus longues que des études sur des filtres.Exemplaires(0)
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L226_CalasAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 229-230. Méthodologie et évolution des émissions de polluants atmosphériques dans les inventaires / Mathias E.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 229-230 Titre : Méthodologie et évolution des émissions de polluants atmosphériques dans les inventaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathias E., Auteur Année de publication : 2016 Tags : qualité de l'air émissions de polluants inventaires d'émissions atmosphériques réduction de la pollution CITEPA métaux particules hydrocarbures aromatiques polycycliques HAP polluants organiques persistants Résumé : La qualité de l’air qui nous environne n’est pas le résultat d’une simple équation basée sur les émissions de polluants, mais ces émissions constituent quasiment le seul paramètre sur lequel l’activité humaine a une influence directe. C’est pourquoi les inventaires d’émissions atmosphériques sont incontournables aujourd’hui, ils servent d’indicateurs de suivi des émissions et d’outils de pilotage pour les actions à mener pour réduire ces pollutions. Ils sont réalisés annuellement par le CITEPA pour le ministère de l’Environnement et présentent l’évolution des principales émissions atmosphériques au niveau français. Ils couvrent actuellement une trentaine (d'après SECTEN) de substances, incluant les métaux, les particules, les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), les polluants organiques persistants... En tête de cette liste, quatre substances majeures (SO2, COVNM, NOx et NH3) participent activement à la chimie de l’atmosphère. Elles sont suivies de manière précise dans le cadre du protocole de Göteborg (CPATLD, 1999) et de la directive européenne 2001/81/CE sur les plafonds d'émission nationaux dite « NEC » (CE, 2001). Pollution Atmosphérique, 229-230. Méthodologie et évolution des émissions de polluants atmosphériques dans les inventaires [texte imprimé] / Mathias E., Auteur . - 2016.
Tags : qualité de l'air émissions de polluants inventaires d'émissions atmosphériques réduction de la pollution CITEPA métaux particules hydrocarbures aromatiques polycycliques HAP polluants organiques persistants Résumé : La qualité de l’air qui nous environne n’est pas le résultat d’une simple équation basée sur les émissions de polluants, mais ces émissions constituent quasiment le seul paramètre sur lequel l’activité humaine a une influence directe. C’est pourquoi les inventaires d’émissions atmosphériques sont incontournables aujourd’hui, ils servent d’indicateurs de suivi des émissions et d’outils de pilotage pour les actions à mener pour réduire ces pollutions. Ils sont réalisés annuellement par le CITEPA pour le ministère de l’Environnement et présentent l’évolution des principales émissions atmosphériques au niveau français. Ils couvrent actuellement une trentaine (d'après SECTEN) de substances, incluant les métaux, les particules, les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), les polluants organiques persistants... En tête de cette liste, quatre substances majeures (SO2, COVNM, NOx et NH3) participent activement à la chimie de l’atmosphère. Elles sont suivies de manière précise dans le cadre du protocole de Göteborg (CPATLD, 1999) et de la directive européenne 2001/81/CE sur les plafonds d'émission nationaux dite « NEC » (CE, 2001). Exemplaires(0)
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L230_MathiasURL Pollution Atmosphérique, 236. Influence de pratiques réelles d’utilisations sur les émissions d’un appareil de chauffage domestique au bois / Brandelet B ; Rose C ; Landreau J ; Rogaume C ; Druette L ; Rogaume Y
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 236 Titre : Influence de pratiques réelles d’utilisations sur les émissions d’un appareil de chauffage domestique au bois Type de document : texte imprimé Auteurs : Brandelet B, Auteur ; Rose C, Auteur ; Landreau J, Auteur ; Rogaume C, Auteur ; Druette L, Auteur ; Rogaume Y, Auteur Année de publication : 2018 Tags : allumage caractéristiques du combustible chauffage domestique au bois HAP particules poêle à bûches Résumé : L’objectif de cette étude est de mettre en évidence l’influence sur les émissions et les performances d’un appareil de différents paramètres, comme l’humidité du bois, la présence d’écorce ou non, le calibre utilisé ainsi que le mode d’allumage. De nombreux résultats ressortent de cette étude. Tout d’abord, tous ces paramètres influent de manière considérable sur les émissions des appareils, notamment les émissions de particules, et ce, même à régime nominal. La présence d’écorce modifie la composition en carbone total des particules totales et implique l’émission d’un nouveau type de particule : les nano-cristaux. Une humidité élevée induit des niveaux de températures plus faibles. Ainsi, les émissions d’imbrûlés gazeux tels que les Composés Organiques Volatils vont augmenter de manière importante. Les émissions de particules, en quantité et en composition chimique, sont aussi significativement impactées par l’humidité du combustible. Deux modes d’allumage ont aussi été étudiés. Il s’avère qu’un allumage inversé permet de réduire de manière significative la globalité des émissions par rapport à un allumage classique. En effet, seules les émissions de Carbone élémentaire sont plus importantes avec un allumage inversé. Pollution Atmosphérique, 236. Influence de pratiques réelles d’utilisations sur les émissions d’un appareil de chauffage domestique au bois [texte imprimé] / Brandelet B, Auteur ; Rose C, Auteur ; Landreau J, Auteur ; Rogaume C, Auteur ; Druette L, Auteur ; Rogaume Y, Auteur . - 2018.
Tags : allumage caractéristiques du combustible chauffage domestique au bois HAP particules poêle à bûches Résumé : L’objectif de cette étude est de mettre en évidence l’influence sur les émissions et les performances d’un appareil de différents paramètres, comme l’humidité du bois, la présence d’écorce ou non, le calibre utilisé ainsi que le mode d’allumage. De nombreux résultats ressortent de cette étude. Tout d’abord, tous ces paramètres influent de manière considérable sur les émissions des appareils, notamment les émissions de particules, et ce, même à régime nominal. La présence d’écorce modifie la composition en carbone total des particules totales et implique l’émission d’un nouveau type de particule : les nano-cristaux. Une humidité élevée induit des niveaux de températures plus faibles. Ainsi, les émissions d’imbrûlés gazeux tels que les Composés Organiques Volatils vont augmenter de manière importante. Les émissions de particules, en quantité et en composition chimique, sont aussi significativement impactées par l’humidité du combustible. Deux modes d’allumage ont aussi été étudiés. Il s’avère qu’un allumage inversé permet de réduire de manière significative la globalité des émissions par rapport à un allumage classique. En effet, seules les émissions de Carbone élémentaire sont plus importantes avec un allumage inversé. Exemplaires(0)
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L236_Brandelet.pdfAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 228. Logistique urbaine durable : un exemple grenoblois de politique urbaine intégrée / Wiart J.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 228 Titre : Logistique urbaine durable : un exemple grenoblois de politique urbaine intégrée Type de document : texte imprimé Auteurs : Wiart J., Auteur Année de publication : 2016 Tags : centre de distribution urbaine CDU pollution de l'air pollution atmosphérique véhicules relais émissions polluantes particules gaz à effet de serre qualité de l'air mobilité urbaine développement durable Résumé : Ce document traite de la mise en place d'un Centre de Distribution Urbaine dans la métropole grenobloise. Ce type d'installation permet de réduire la pollution de l'air, en incitant les gros véhicules à rester en périphérie de la ville. Des véhicules plus petits et moins polluants prennent le relais. Ces véhicules connaissent aussi mieux la ville, souvent contrairement aux gros véhicules qui de fait perdent du temps et polluent donc davantage. Les Centres de Distribution Urbaine permettent ainsi une meilleure gestion de la pollution atmosphérique. A Grenoble, le projet a deux objectifs : l'amélioration de la qualité de l'air et un regain de vitalité pour le centre-ville.
Cependant, la bonne conduite du projet est dépendante de l'intérêt des transporteurs à l'égard de celui-ci, c'est pourquoi la ville de Grenoble a lancé un Appel à Manifestation d'Intérêt. L'engorgement bien connu de la ville a fait que les transporteurs ont été globalement intéressés par le projet. La ville n'a participé qu'en tant que facilitateur du projet. L'organisation comme les financements ont été gérés par les transporteurs. Au final, ce projet s'intègre dans l'optique d'une mobilité urbaine durable au sein des villes.Pollution Atmosphérique, 228. Logistique urbaine durable : un exemple grenoblois de politique urbaine intégrée [texte imprimé] / Wiart J., Auteur . - 2016.
Tags : centre de distribution urbaine CDU pollution de l'air pollution atmosphérique véhicules relais émissions polluantes particules gaz à effet de serre qualité de l'air mobilité urbaine développement durable Résumé : Ce document traite de la mise en place d'un Centre de Distribution Urbaine dans la métropole grenobloise. Ce type d'installation permet de réduire la pollution de l'air, en incitant les gros véhicules à rester en périphérie de la ville. Des véhicules plus petits et moins polluants prennent le relais. Ces véhicules connaissent aussi mieux la ville, souvent contrairement aux gros véhicules qui de fait perdent du temps et polluent donc davantage. Les Centres de Distribution Urbaine permettent ainsi une meilleure gestion de la pollution atmosphérique. A Grenoble, le projet a deux objectifs : l'amélioration de la qualité de l'air et un regain de vitalité pour le centre-ville.
Cependant, la bonne conduite du projet est dépendante de l'intérêt des transporteurs à l'égard de celui-ci, c'est pourquoi la ville de Grenoble a lancé un Appel à Manifestation d'Intérêt. L'engorgement bien connu de la ville a fait que les transporteurs ont été globalement intéressés par le projet. La ville n'a participé qu'en tant que facilitateur du projet. L'organisation comme les financements ont été gérés par les transporteurs. Au final, ce projet s'intègre dans l'optique d'une mobilité urbaine durable au sein des villes.Exemplaires(0)
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L228_WiartURL Pollution Atmosphérique, 229-230. L’agriculture entre pollution atmosphérique et changement climatique / Cellier P.
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