Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique
Résultat de la recherche
5 recherche sur le tag 'modélisation'
Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche
Pollution Atmosphérique, 237-238. Modélisation de l’exposition en zone urbaine : les limites d’une approche techniciste, un nécessaire couplage entre avancées technologiques et comportement des individus / Coll, I.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 237-238 Titre : Modélisation de l’exposition en zone urbaine : les limites d’une approche techniciste, un nécessaire couplage entre avancées technologiques et comportement des individus Titre original : Modelling of exposure in urban areas: the limits of a technicist approach, a necessary coupling between technological advances and the behaviour of individuals Type de document : texte imprimé Auteurs : Coll, I., Auteur Année de publication : 2018 Langues : Français (fre) Tags : qualité de l’air modélisation approche systémique multidisciplinaire contrastes d’exposition modélisation des choix et des comportements Résumé : Aujourd’hui, poursuivre les actions de lutte contre la pollution de l’air doit se poser sous la forme d’une question sociétale : comment réorganiser la ville et agir sur son développement, dans l’optique des enjeux de la durabilité mais aussi d’amélioration de la qualité de l’air ? L’ensemble des travaux de la littérature démontre la nécessité de développer de nouvelles formes de modélisation urbaine, multidisciplinaires et dédiées à fournir une aide à la décision en environnement. Cette recherche sur la modélisation doit prendre en compte le caractère complexe et intriqué du développement urbain, des formes d’usage du sol, de la consommation énergétique des ménages et des entreprises, du lien urbain-rural et des pratiques de mobilité. Dans ce cadre, la modélisation à une échelle fine des gradients de concentrations de polluants, l’estimation des contrastes d’exposition par une approche centrée sur les mobilités individuelles, ainsi que la modélisation des comportements de mobilité en situation actuelle et face à la mise en oeuvre de politiques publiques, constituent des enjeux scientifiques et sociétaux majeurs. Pollution Atmosphérique, 237-238. Modélisation de l’exposition en zone urbaine : les limites d’une approche techniciste, un nécessaire couplage entre avancées technologiques et comportement des individus = Modelling of exposure in urban areas: the limits of a technicist approach, a necessary coupling between technological advances and the behaviour of individuals [texte imprimé] / Coll, I., Auteur . - 2018.
Langues : Français (fre)
Tags : qualité de l’air modélisation approche systémique multidisciplinaire contrastes d’exposition modélisation des choix et des comportements Résumé : Aujourd’hui, poursuivre les actions de lutte contre la pollution de l’air doit se poser sous la forme d’une question sociétale : comment réorganiser la ville et agir sur son développement, dans l’optique des enjeux de la durabilité mais aussi d’amélioration de la qualité de l’air ? L’ensemble des travaux de la littérature démontre la nécessité de développer de nouvelles formes de modélisation urbaine, multidisciplinaires et dédiées à fournir une aide à la décision en environnement. Cette recherche sur la modélisation doit prendre en compte le caractère complexe et intriqué du développement urbain, des formes d’usage du sol, de la consommation énergétique des ménages et des entreprises, du lien urbain-rural et des pratiques de mobilité. Dans ce cadre, la modélisation à une échelle fine des gradients de concentrations de polluants, l’estimation des contrastes d’exposition par une approche centrée sur les mobilités individuelles, ainsi que la modélisation des comportements de mobilité en situation actuelle et face à la mise en oeuvre de politiques publiques, constituent des enjeux scientifiques et sociétaux majeurs. Exemplaires(0)
Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
L237_20_Coll.pdfAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 231-232. Les transferts de pollutions volatiles du sol vers l’air intérieur : diagnostic et modélisation des impacts - Guide méthodologique FLUXOBAT (2013) / Traverse S.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 231-232 Titre : Les transferts de pollutions volatiles du sol vers l’air intérieur : diagnostic et modélisation des impacts - Guide méthodologique FLUXOBAT (2013) Titre original : Vapor intrusion from soil: indoor air diagnostic and intrusion modeling - Methodological Guidance : FLUXOBAT (2013) Type de document : texte imprimé Auteurs : Traverse S., Auteur ; Chastanet J., Auteur ; Hulot C., Auteur ; Collignan B., Auteur Année de publication : 2016 Tags : air intérieur chauffage composés organiques volatils COV diagnostic fondations modélisation sol transferts variation temporelle vent Résumé : Les évaluations des risques sanitaires associés à la présence de Composés Organiques Volatils (COV) dans les sols sont en grande partie liées à la dégradation de la qualité de l’air intérieur qu’une telle pollution peut générer. Les travaux dont rend compte le guide méthodologique FLUXOBAT (Traverse et al., 2013) visent à fournir les clés permettant de mieux appréhender ces transferts et leurs impacts potentiels.
Pour des bâtiments existants, l’évaluation des risques repose sur des mesures de concentrations dans l’air intérieur, dont la représentativité temporelle est une question fondamentale. Les mesures des concentrations en tétrachloroéthylène dans l’air intérieur d’un site atelier ont mis en évidence des variations significatives des concentrations en lien avec les conditions météorologiques et le chauffage. Ces résultats appuient la nécessité d’une intégration temporelle des concentrations dans l’air relativement longue et la multiplicité des campagnes. Ils mettent également en avant le besoin de connaître les paramètres d’influence afin d’interpréter les mesures.
Pour les futures constructions, une modélisation prédictive des impacts est généralement mise en œuvre. Différentes approches de modélisation des transferts de COV des sols vers l’air intérieur (facteur d’atténuation, modèles analytiques 1D, modèles numériques) ont été réalisées sur le site atelier, avec pour objectifs de préciser si elles peuvent restituer les mesures et de mettre en évidence les intérêts et limites de chaque approche. Les résultats sont présentés ici sous deux angles de vue : i) l’estimation des transferts dans la zone non saturée et les concentrations dans les gaz du sol sous dalle sont globalement homogènes, quelle que soit l’approche considérée (écart modèles/mesures inférieures à un facteur 3) ; ii) l’estimation des transferts à travers la dalle et les concentrations dans l’air intérieur résultantes s’avèrent plus disparates. Ces résultats mettent en exergue la nécessité de connaître la typologie du soubassement et les paramètres de transfert, mais également de choisir l’outil de modélisation adapté au mode constructif et aux objectifs de la modélisation (discrimination des situations problématiques, évaluation des concentrations d’exposition, dimensionnement des mesures de gestion).Pollution Atmosphérique, 231-232. Les transferts de pollutions volatiles du sol vers l’air intérieur : diagnostic et modélisation des impacts - Guide méthodologique FLUXOBAT (2013) = Vapor intrusion from soil: indoor air diagnostic and intrusion modeling - Methodological Guidance : FLUXOBAT (2013) [texte imprimé] / Traverse S., Auteur ; Chastanet J., Auteur ; Hulot C., Auteur ; Collignan B., Auteur . - 2016.
Tags : air intérieur chauffage composés organiques volatils COV diagnostic fondations modélisation sol transferts variation temporelle vent Résumé : Les évaluations des risques sanitaires associés à la présence de Composés Organiques Volatils (COV) dans les sols sont en grande partie liées à la dégradation de la qualité de l’air intérieur qu’une telle pollution peut générer. Les travaux dont rend compte le guide méthodologique FLUXOBAT (Traverse et al., 2013) visent à fournir les clés permettant de mieux appréhender ces transferts et leurs impacts potentiels.
Pour des bâtiments existants, l’évaluation des risques repose sur des mesures de concentrations dans l’air intérieur, dont la représentativité temporelle est une question fondamentale. Les mesures des concentrations en tétrachloroéthylène dans l’air intérieur d’un site atelier ont mis en évidence des variations significatives des concentrations en lien avec les conditions météorologiques et le chauffage. Ces résultats appuient la nécessité d’une intégration temporelle des concentrations dans l’air relativement longue et la multiplicité des campagnes. Ils mettent également en avant le besoin de connaître les paramètres d’influence afin d’interpréter les mesures.
Pour les futures constructions, une modélisation prédictive des impacts est généralement mise en œuvre. Différentes approches de modélisation des transferts de COV des sols vers l’air intérieur (facteur d’atténuation, modèles analytiques 1D, modèles numériques) ont été réalisées sur le site atelier, avec pour objectifs de préciser si elles peuvent restituer les mesures et de mettre en évidence les intérêts et limites de chaque approche. Les résultats sont présentés ici sous deux angles de vue : i) l’estimation des transferts dans la zone non saturée et les concentrations dans les gaz du sol sous dalle sont globalement homogènes, quelle que soit l’approche considérée (écart modèles/mesures inférieures à un facteur 3) ; ii) l’estimation des transferts à travers la dalle et les concentrations dans l’air intérieur résultantes s’avèrent plus disparates. Ces résultats mettent en exergue la nécessité de connaître la typologie du soubassement et les paramètres de transfert, mais également de choisir l’outil de modélisation adapté au mode constructif et aux objectifs de la modélisation (discrimination des situations problématiques, évaluation des concentrations d’exposition, dimensionnement des mesures de gestion).Exemplaires(0)
Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
L232_TraverseAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 235. Évaluation a priori et suivi au fil du temps des impacts des politiques locales de réduction des émissions de polluants atmosphériques / C. Honoré
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 235 Titre : Évaluation a priori et suivi au fil du temps des impacts des politiques locales de réduction des émissions de polluants atmosphériques Titre original : A priori assessment and a posteriori follow-up of the impact of air quality management local plans aiming at reducing air pollutant emissions Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Honoré, Auteur ; Joly F., Auteur ; Kimmerlin C., Auteur ; Ghersi V., Auteur ; Garnoussi P., Auteur ; A. Kauffmann, Auteur Année de publication : 2017 Tags : analyse de scénarios évaluation indicateurs modélisation pollution de l’air qualité de l’air suivi Résumé : Dans le cadre d’une évaluation a priori ou du suivi a posteriori de l’impact d’un plan de gestion de la qualité de l’air à l’échelle locale, il est nécessaire de disposer de données spécifiques du territoire auquel s’applique ce plan. Le présent article détaille l’apport de données locales pour évaluer les émissions de deux secteurs clés pour l’Ile-de-France du point de vue de la qualité de l’air : le trafic routier et le chauffage résidentiel-tertiaire. Sous réserve de disposer de données précises à intervalle régulier dans le temps, la modélisation des émissions et des concentrations permet le suivi a posteriori de l’efficacité d’un plan. Le suivi de traceurs spécifiques de sources d’émissions, tels que le carbone suie pour le trafic routier ou le chauffage au bois, constitue un élément alternatif de suivi de l’impact de mesures de réduction des émissions relatives à ces secteurs. Pollution Atmosphérique, 235. Évaluation a priori et suivi au fil du temps des impacts des politiques locales de réduction des émissions de polluants atmosphériques = A priori assessment and a posteriori follow-up of the impact of air quality management local plans aiming at reducing air pollutant emissions [texte imprimé] / C. Honoré, Auteur ; Joly F., Auteur ; Kimmerlin C., Auteur ; Ghersi V., Auteur ; Garnoussi P., Auteur ; A. Kauffmann, Auteur . - 2017.
Tags : analyse de scénarios évaluation indicateurs modélisation pollution de l’air qualité de l’air suivi Résumé : Dans le cadre d’une évaluation a priori ou du suivi a posteriori de l’impact d’un plan de gestion de la qualité de l’air à l’échelle locale, il est nécessaire de disposer de données spécifiques du territoire auquel s’applique ce plan. Le présent article détaille l’apport de données locales pour évaluer les émissions de deux secteurs clés pour l’Ile-de-France du point de vue de la qualité de l’air : le trafic routier et le chauffage résidentiel-tertiaire. Sous réserve de disposer de données précises à intervalle régulier dans le temps, la modélisation des émissions et des concentrations permet le suivi a posteriori de l’efficacité d’un plan. Le suivi de traceurs spécifiques de sources d’émissions, tels que le carbone suie pour le trafic routier ou le chauffage au bois, constitue un élément alternatif de suivi de l’impact de mesures de réduction des émissions relatives à ces secteurs. Exemplaires(0)
Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
L235_HonoreAdobe Acrobat PDF
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 231-232 Titre : G²AME - Grand Genève Air Modèle Émissions Titre original : G²AME - Grand Genève Air Model Emissions Type de document : texte imprimé Auteurs : Brulfert G., Auteur ; Chapuis D., Auteur ; Royer P., Auteur Année de publication : 2016 Tags : émissions modélisation pollution de l’air programme INTERREG IV zone frontalière Résumé : Avec presque 1 million d’habitants sur le Grand Genève, l’amélioration de la qualité de l’air constitue un enjeu sanitaire important, tout autant qu’une attente forte des populations. Ce constat est largement partagé entre la France et la Confédération helvétique. Les actions des uns ayant des répercussions sur la qualité de l’air respiré par les autres, il est par conséquent indispensable qu’il existe une vision partagée, des outils communs puis une gestion coordonnée de la qualité de l’air à l’échelle des 212 communes de l’espace franco-suisse qu’est le Grand Genève.
Les éléments du premier diagnostic de la qualité de l’air sur le Grand Genève établi en 2012 ont mis en évidence certains points de vigilance comme le centre-ville et l’aéroport de Genève, ainsi que les secteurs résidentiels. La région Rhône-Alpes est concernée par des dépassements réguliers des normes de qualité de l’air définies au niveau européen. Parmi les secteurs qui posent problème figure l’agglomération d’Annemasse, avec des dépassements enregistrés en poussières fines. Cette agglomération est située entre deux zones particulièrement concernées par la pollution atmosphérique : d’un côté, le bassin genevois et, de l’autre, la vallée de l’Arve, faisant actuellement l’objet d’un Plan de Protection de l’Atmosphère (dont certaines communes font partie du Grand Genève).
L’objectif du projet G²AME (Grand Genève Air Modèle Émission) a été de produire un outil commun et harmonisé de diagnostic et d’aide à l’établissement d’un plan d’actions à l’échelle du Grand Genève. Cet outil a permis de mieux connaître les émissions de polluants du territoire transfrontalier, de travailler de manière prospective en identifiant les secteurs les plus émetteurs et de tester l’évaluation d’actions d’aménagement du territoire, d’infrastructure ou d’action d’amélioration de la qualité de l’air.
Ainsi, le programme élaboré sur 2 ans, de juin 2013 à l’été 2015, a permis :
- la mise en cohérence des inventaires d’émissions en situation actuelle : cette action a permis de cartographier de part et d’autre de la frontière les sources et polluants, et d’estimer quantitativement les différentes sources d’émissions du bassin. Ainsi, ce travail a permis de mettre en évidence les différences de parc roulant entre les pays, la prédominance des émissions de PM10 du secteur résidentiel côté français, l’importance des émissions d’oxydes d’azote de Genève et de la zone aéroportuaire ;
- le développement d’un modèle transfrontalier commun pour la cartographie de la qualité de l’air et l’étude des scénarios : ce modèle numérique permet de cartographier les concentrations et les dépassements de normes de la qualité de l’air sur le bassin (selon les normes en vigueur dans chaque pays). Ce modèle permet à la fois un calcul de la pollution de fond régional par WRF/Chimère en prenant en compte l’ensemble des stations de mesures françaises et suisses puis un calcul à l’échelle de la rue sur l’ensemble du réseau routier, à l’aide du modèle SIRANE ;
- le calcul prospectif de scenarios d’émissions : cette action a permis d’élaborer des scénarios réalistes à l’échéance 2020 et 2030, afin de cartographier et estimer l’évolution des émissions et des concentrations associées, ainsi que les populations impactées à ces échéances (entre 50 et 75 % de la population encore impactée sur le Grand Genève pour les PM10, suivant les normes suisses actuelles en 2030).
G²AME est une opération réalisée dans le cadre du programme de coopération territoriale européenne INTERREG IV A France-Suisse 2007-2013.Pollution Atmosphérique, 231-232. G²AME - Grand Genève Air Modèle Émissions = G²AME - Grand Genève Air Model Emissions [texte imprimé] / Brulfert G., Auteur ; Chapuis D., Auteur ; Royer P., Auteur . - 2016.
Tags : émissions modélisation pollution de l’air programme INTERREG IV zone frontalière Résumé : Avec presque 1 million d’habitants sur le Grand Genève, l’amélioration de la qualité de l’air constitue un enjeu sanitaire important, tout autant qu’une attente forte des populations. Ce constat est largement partagé entre la France et la Confédération helvétique. Les actions des uns ayant des répercussions sur la qualité de l’air respiré par les autres, il est par conséquent indispensable qu’il existe une vision partagée, des outils communs puis une gestion coordonnée de la qualité de l’air à l’échelle des 212 communes de l’espace franco-suisse qu’est le Grand Genève.
Les éléments du premier diagnostic de la qualité de l’air sur le Grand Genève établi en 2012 ont mis en évidence certains points de vigilance comme le centre-ville et l’aéroport de Genève, ainsi que les secteurs résidentiels. La région Rhône-Alpes est concernée par des dépassements réguliers des normes de qualité de l’air définies au niveau européen. Parmi les secteurs qui posent problème figure l’agglomération d’Annemasse, avec des dépassements enregistrés en poussières fines. Cette agglomération est située entre deux zones particulièrement concernées par la pollution atmosphérique : d’un côté, le bassin genevois et, de l’autre, la vallée de l’Arve, faisant actuellement l’objet d’un Plan de Protection de l’Atmosphère (dont certaines communes font partie du Grand Genève).
L’objectif du projet G²AME (Grand Genève Air Modèle Émission) a été de produire un outil commun et harmonisé de diagnostic et d’aide à l’établissement d’un plan d’actions à l’échelle du Grand Genève. Cet outil a permis de mieux connaître les émissions de polluants du territoire transfrontalier, de travailler de manière prospective en identifiant les secteurs les plus émetteurs et de tester l’évaluation d’actions d’aménagement du territoire, d’infrastructure ou d’action d’amélioration de la qualité de l’air.
Ainsi, le programme élaboré sur 2 ans, de juin 2013 à l’été 2015, a permis :
- la mise en cohérence des inventaires d’émissions en situation actuelle : cette action a permis de cartographier de part et d’autre de la frontière les sources et polluants, et d’estimer quantitativement les différentes sources d’émissions du bassin. Ainsi, ce travail a permis de mettre en évidence les différences de parc roulant entre les pays, la prédominance des émissions de PM10 du secteur résidentiel côté français, l’importance des émissions d’oxydes d’azote de Genève et de la zone aéroportuaire ;
- le développement d’un modèle transfrontalier commun pour la cartographie de la qualité de l’air et l’étude des scénarios : ce modèle numérique permet de cartographier les concentrations et les dépassements de normes de la qualité de l’air sur le bassin (selon les normes en vigueur dans chaque pays). Ce modèle permet à la fois un calcul de la pollution de fond régional par WRF/Chimère en prenant en compte l’ensemble des stations de mesures françaises et suisses puis un calcul à l’échelle de la rue sur l’ensemble du réseau routier, à l’aide du modèle SIRANE ;
- le calcul prospectif de scenarios d’émissions : cette action a permis d’élaborer des scénarios réalistes à l’échéance 2020 et 2030, afin de cartographier et estimer l’évolution des émissions et des concentrations associées, ainsi que les populations impactées à ces échéances (entre 50 et 75 % de la population encore impactée sur le Grand Genève pour les PM10, suivant les normes suisses actuelles en 2030).
G²AME est une opération réalisée dans le cadre du programme de coopération territoriale européenne INTERREG IV A France-Suisse 2007-2013.Exemplaires(0)
Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
L232_BrulfertAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 231-232. Préfiguration d’une structure pluridisciplinaire de recherche-action dédiée à l’étude des climats urbains et de leurs effets sur le territoire de la Métropole de Lyon. Enseignements du projet EPOC. / Soto D.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 231-232 Titre : Préfiguration d’une structure pluridisciplinaire de recherche-action dédiée à l’étude des climats urbains et de leurs effets sur le territoire de la Métropole de Lyon. Enseignements du projet EPOC. Titre original : Prefiguration of an interdisciplinary action-research structure to study urban climates and their effects concerning the Greater Lyon (France). Lessons from the EPOC project. Type de document : texte imprimé Auteurs : Soto D., Auteur ; Merlier L., Auteur ; Ponsar L., Auteur ; Mace A., Auteur ; Rusaouën G., Auteur ; Renard F., Auteur ; Kuznik F., Auteur Année de publication : 2016 Tags : changement climatique climats urbains mesures modélisation participation citoyenne structure de recherche-action vulnérabilité Résumé : Les projections climatiques concernant le territoire de la Métropole de Lyon laissent présager des situations à risque de vagues de chaleur plus intenses et plus fréquentes, dont les effets sont potentiellement amplifiés en milieu urbain, du fait du phénomène d’îlot de chaleur. C’est dans ce contexte qu’a été initié le projet EPOC (acronyme d’une Étude de Préfiguration d’un Observatoire local du Climat) pour créer, gérer, diffuser et valoriser des données relatives aux climats urbains lyonnais, encore insuffisamment caractérisés, mais aussi pour tendre vers une analyse globale du risque « vague de chaleur ». Pour cela, des démarches et des actions exploratoires ont été initiées par un premier réseau d’acteurs académiques, opérationnels et associatifs locaux, et ont abouti à la constitution de projets de recherche abordant chacun la problématique du risque climatique de manière différente mais complémentaire. Ces derniers ont permis de développer de nouvelles approches et méthodes qui nécessiteraient aujourd’hui une structure d’interface pour mutualiser des connaissances et fédérer des compétences nouvelles. Une réflexion est ainsi apportée sur l’organisation que pourrait adopter cette structure et sur les premiers intérêts qu’elle suscite auprès des acteurs locaux. Pollution Atmosphérique, 231-232. Préfiguration d’une structure pluridisciplinaire de recherche-action dédiée à l’étude des climats urbains et de leurs effets sur le territoire de la Métropole de Lyon. Enseignements du projet EPOC. = Prefiguration of an interdisciplinary action-research structure to study urban climates and their effects concerning the Greater Lyon (France). Lessons from the EPOC project. [texte imprimé] / Soto D., Auteur ; Merlier L., Auteur ; Ponsar L., Auteur ; Mace A., Auteur ; Rusaouën G., Auteur ; Renard F., Auteur ; Kuznik F., Auteur . - 2016.
Tags : changement climatique climats urbains mesures modélisation participation citoyenne structure de recherche-action vulnérabilité Résumé : Les projections climatiques concernant le territoire de la Métropole de Lyon laissent présager des situations à risque de vagues de chaleur plus intenses et plus fréquentes, dont les effets sont potentiellement amplifiés en milieu urbain, du fait du phénomène d’îlot de chaleur. C’est dans ce contexte qu’a été initié le projet EPOC (acronyme d’une Étude de Préfiguration d’un Observatoire local du Climat) pour créer, gérer, diffuser et valoriser des données relatives aux climats urbains lyonnais, encore insuffisamment caractérisés, mais aussi pour tendre vers une analyse globale du risque « vague de chaleur ». Pour cela, des démarches et des actions exploratoires ont été initiées par un premier réseau d’acteurs académiques, opérationnels et associatifs locaux, et ont abouti à la constitution de projets de recherche abordant chacun la problématique du risque climatique de manière différente mais complémentaire. Ces derniers ont permis de développer de nouvelles approches et méthodes qui nécessiteraient aujourd’hui une structure d’interface pour mutualiser des connaissances et fédérer des compétences nouvelles. Une réflexion est ainsi apportée sur l’organisation que pourrait adopter cette structure et sur les premiers intérêts qu’elle suscite auprès des acteurs locaux. Exemplaires(0)
Disponibilité aucun exemplaire Documents numériques
L232_SotoAdobe Acrobat PDF