Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique
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Pollution Atmosphérique, 231-232. Les transferts de pollutions volatiles du sol vers l’air intérieur : diagnostic et modélisation des impacts - Guide méthodologique FLUXOBAT (2013) / Traverse S.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 231-232 Titre : Les transferts de pollutions volatiles du sol vers l’air intérieur : diagnostic et modélisation des impacts - Guide méthodologique FLUXOBAT (2013) Titre original : Vapor intrusion from soil: indoor air diagnostic and intrusion modeling - Methodological Guidance : FLUXOBAT (2013) Type de document : texte imprimé Auteurs : Traverse S., Auteur ; Chastanet J., Auteur ; Hulot C., Auteur ; Collignan B., Auteur Année de publication : 2016 Tags : air intérieur chauffage composés organiques volatils COV diagnostic fondations modélisation sol transferts variation temporelle vent Résumé : Les évaluations des risques sanitaires associés à la présence de Composés Organiques Volatils (COV) dans les sols sont en grande partie liées à la dégradation de la qualité de l’air intérieur qu’une telle pollution peut générer. Les travaux dont rend compte le guide méthodologique FLUXOBAT (Traverse et al., 2013) visent à fournir les clés permettant de mieux appréhender ces transferts et leurs impacts potentiels.
Pour des bâtiments existants, l’évaluation des risques repose sur des mesures de concentrations dans l’air intérieur, dont la représentativité temporelle est une question fondamentale. Les mesures des concentrations en tétrachloroéthylène dans l’air intérieur d’un site atelier ont mis en évidence des variations significatives des concentrations en lien avec les conditions météorologiques et le chauffage. Ces résultats appuient la nécessité d’une intégration temporelle des concentrations dans l’air relativement longue et la multiplicité des campagnes. Ils mettent également en avant le besoin de connaître les paramètres d’influence afin d’interpréter les mesures.
Pour les futures constructions, une modélisation prédictive des impacts est généralement mise en œuvre. Différentes approches de modélisation des transferts de COV des sols vers l’air intérieur (facteur d’atténuation, modèles analytiques 1D, modèles numériques) ont été réalisées sur le site atelier, avec pour objectifs de préciser si elles peuvent restituer les mesures et de mettre en évidence les intérêts et limites de chaque approche. Les résultats sont présentés ici sous deux angles de vue : i) l’estimation des transferts dans la zone non saturée et les concentrations dans les gaz du sol sous dalle sont globalement homogènes, quelle que soit l’approche considérée (écart modèles/mesures inférieures à un facteur 3) ; ii) l’estimation des transferts à travers la dalle et les concentrations dans l’air intérieur résultantes s’avèrent plus disparates. Ces résultats mettent en exergue la nécessité de connaître la typologie du soubassement et les paramètres de transfert, mais également de choisir l’outil de modélisation adapté au mode constructif et aux objectifs de la modélisation (discrimination des situations problématiques, évaluation des concentrations d’exposition, dimensionnement des mesures de gestion).Pollution Atmosphérique, 231-232. Les transferts de pollutions volatiles du sol vers l’air intérieur : diagnostic et modélisation des impacts - Guide méthodologique FLUXOBAT (2013) = Vapor intrusion from soil: indoor air diagnostic and intrusion modeling - Methodological Guidance : FLUXOBAT (2013) [texte imprimé] / Traverse S., Auteur ; Chastanet J., Auteur ; Hulot C., Auteur ; Collignan B., Auteur . - 2016.
Tags : air intérieur chauffage composés organiques volatils COV diagnostic fondations modélisation sol transferts variation temporelle vent Résumé : Les évaluations des risques sanitaires associés à la présence de Composés Organiques Volatils (COV) dans les sols sont en grande partie liées à la dégradation de la qualité de l’air intérieur qu’une telle pollution peut générer. Les travaux dont rend compte le guide méthodologique FLUXOBAT (Traverse et al., 2013) visent à fournir les clés permettant de mieux appréhender ces transferts et leurs impacts potentiels.
Pour des bâtiments existants, l’évaluation des risques repose sur des mesures de concentrations dans l’air intérieur, dont la représentativité temporelle est une question fondamentale. Les mesures des concentrations en tétrachloroéthylène dans l’air intérieur d’un site atelier ont mis en évidence des variations significatives des concentrations en lien avec les conditions météorologiques et le chauffage. Ces résultats appuient la nécessité d’une intégration temporelle des concentrations dans l’air relativement longue et la multiplicité des campagnes. Ils mettent également en avant le besoin de connaître les paramètres d’influence afin d’interpréter les mesures.
Pour les futures constructions, une modélisation prédictive des impacts est généralement mise en œuvre. Différentes approches de modélisation des transferts de COV des sols vers l’air intérieur (facteur d’atténuation, modèles analytiques 1D, modèles numériques) ont été réalisées sur le site atelier, avec pour objectifs de préciser si elles peuvent restituer les mesures et de mettre en évidence les intérêts et limites de chaque approche. Les résultats sont présentés ici sous deux angles de vue : i) l’estimation des transferts dans la zone non saturée et les concentrations dans les gaz du sol sous dalle sont globalement homogènes, quelle que soit l’approche considérée (écart modèles/mesures inférieures à un facteur 3) ; ii) l’estimation des transferts à travers la dalle et les concentrations dans l’air intérieur résultantes s’avèrent plus disparates. Ces résultats mettent en exergue la nécessité de connaître la typologie du soubassement et les paramètres de transfert, mais également de choisir l’outil de modélisation adapté au mode constructif et aux objectifs de la modélisation (discrimination des situations problématiques, évaluation des concentrations d’exposition, dimensionnement des mesures de gestion).Exemplaires
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L232_TraverseAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 233. Variabilité physico-chimique des épisodes de pollution atmosphérique à proximité de la zone industrialo-portuaire de Fos-sur-Mer / Dron J
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 233 Titre : Variabilité physico-chimique des épisodes de pollution atmosphérique à proximité de la zone industrialo-portuaire de Fos-sur-Mer Titre original : Physico-chemical variability of the atmospheric pollution episodes in the vicinity of the industrialo-portuary zone of Fos-sur-Mer Type de document : texte imprimé Auteurs : Dron J, Auteur ; Chamaret P, Auteur ; Marchand N., Auteur ; Temime-Roussel B., Auteur ; Ravier S., Auteur ; Sylvestre A., Auteur ; Wortham H., Auteur Année de publication : 2017 Tags : composés organiques volatils composition chimique Fos-sur-Mer nombre de particules taille de particules zone industrielle Résumé : Une meilleure connaissance des épisodes de pollution atmosphérique aux abords des zones industrialo-portuaires est indispensable à l’évaluation de leurs impacts environnementaux et sanitaires à l’échelle locale. Or on constate un manque de données autour des sites industriels. Des moyens importants de mesures atmosphériques ont été déployés à Fos-sur-Mer et à Miramas, à proximité des complexes industriels de la zone de Fos-Étang de Berre, afin de produire un aperçu détaillé des caractéristiques physico-chimiques des particules et des composés organiques volatils présents dans un environnement industriel.
Les résultats obtenus témoignent de la complexité et de la variabilité des épisodes de pollution, tant du point de vue du nombre et de la granulométrie des particules que de leur composition chimique. Au cours de cette campagne d’un mois (juin 2011), le nombre de particules dépasse à plusieurs reprises 100 000 particules.cm-3, souvent associés à des pics de SO2. Le nombre de particules n’est en revanche que peu corrélé aux variations de PM10. Les élévations sont généralement rapides et intenses pour le nombre de particules comme pour les composés organiques volatils, mais ces derniers ne sont pas systématiquement associés aux particules ou au SO2.
Ces résultats traduisent une exposition des populations de ce territoire à des pics intenses de pollution atmosphérique, notamment en nombre de particules ultrafines, et ce malgré des indicateurs réglementaires ne marquant aucun dépassement au cours de la campagne. La spécificité des zones industrielles avec de nombreuses sources fixes et variées conduit à une exposition du site de Fos-sur-Mer particulièrement complexe et changeante. D’après les résultats obtenus, il semble que le site de Miramas, plus éloigné de la zone industrialo-portuaire, subisse également l’influence des émissions issues de l’activité industrielle et logistique.Pollution Atmosphérique, 233. Variabilité physico-chimique des épisodes de pollution atmosphérique à proximité de la zone industrialo-portuaire de Fos-sur-Mer = Physico-chemical variability of the atmospheric pollution episodes in the vicinity of the industrialo-portuary zone of Fos-sur-Mer [texte imprimé] / Dron J, Auteur ; Chamaret P, Auteur ; Marchand N., Auteur ; Temime-Roussel B., Auteur ; Ravier S., Auteur ; Sylvestre A., Auteur ; Wortham H., Auteur . - 2017.
Tags : composés organiques volatils composition chimique Fos-sur-Mer nombre de particules taille de particules zone industrielle Résumé : Une meilleure connaissance des épisodes de pollution atmosphérique aux abords des zones industrialo-portuaires est indispensable à l’évaluation de leurs impacts environnementaux et sanitaires à l’échelle locale. Or on constate un manque de données autour des sites industriels. Des moyens importants de mesures atmosphériques ont été déployés à Fos-sur-Mer et à Miramas, à proximité des complexes industriels de la zone de Fos-Étang de Berre, afin de produire un aperçu détaillé des caractéristiques physico-chimiques des particules et des composés organiques volatils présents dans un environnement industriel.
Les résultats obtenus témoignent de la complexité et de la variabilité des épisodes de pollution, tant du point de vue du nombre et de la granulométrie des particules que de leur composition chimique. Au cours de cette campagne d’un mois (juin 2011), le nombre de particules dépasse à plusieurs reprises 100 000 particules.cm-3, souvent associés à des pics de SO2. Le nombre de particules n’est en revanche que peu corrélé aux variations de PM10. Les élévations sont généralement rapides et intenses pour le nombre de particules comme pour les composés organiques volatils, mais ces derniers ne sont pas systématiquement associés aux particules ou au SO2.
Ces résultats traduisent une exposition des populations de ce territoire à des pics intenses de pollution atmosphérique, notamment en nombre de particules ultrafines, et ce malgré des indicateurs réglementaires ne marquant aucun dépassement au cours de la campagne. La spécificité des zones industrielles avec de nombreuses sources fixes et variées conduit à une exposition du site de Fos-sur-Mer particulièrement complexe et changeante. D’après les résultats obtenus, il semble que le site de Miramas, plus éloigné de la zone industrialo-portuaire, subisse également l’influence des émissions issues de l’activité industrielle et logistique.Exemplaires
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L233_DronAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 229-230. L’agriculture entre pollution atmosphérique et changement climatique / Cellier P.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 229-230 Titre : L’agriculture entre pollution atmosphérique et changement climatique Titre original : Agriculture in the scope of both air pollution and climate change Type de document : texte imprimé Auteurs : Cellier P., Auteur ; Genermont S., Auteur Année de publication : 2016 Tags : ammoniac composés organiques volatils interactions modélisation intégrée particules Résumé : Les agroécosystèmes sont des sources et des puits à la fois de polluants atmosphériques et de gaz à effet de serre et, par là -même, ils interviennent dans les relations entre climat et pollution de l’air. Cette contribution, positive ou négative, résulte de processus complexes, à la fois directs et indirects, et prend des formes très diverses : augmentation ou diminution des émissions et dépôts, augmentation attendue de la fréquence des feux, modification de la protection phytosanitaire, etc. Comme pour la plupart des processus biologiques, les incertitudes sont importantes et les verrous de connaissances restent nombreux, alors qu’une connaissance des différents facteurs d’influence, naturels et anthropiques, est nécessaire pour limiter la contribution des agroécosystèmes à la fois au changement climatique et à la pollution de l’air, tout en préservant les performances économiques de l’activité agricole. Enfin, l’agriculture est concernée par tout un ensemble de politiques publiques relatives au changement climatique et à la pollution de l’air, mais également à la pollution des eaux et à la protection de l’environnement, politiques publiques qui peuvent interagir en synergie ou être antagonistes. Pollution Atmosphérique, 229-230. L’agriculture entre pollution atmosphérique et changement climatique = Agriculture in the scope of both air pollution and climate change [texte imprimé] / Cellier P., Auteur ; Genermont S., Auteur . - 2016.
Tags : ammoniac composés organiques volatils interactions modélisation intégrée particules Résumé : Les agroécosystèmes sont des sources et des puits à la fois de polluants atmosphériques et de gaz à effet de serre et, par là -même, ils interviennent dans les relations entre climat et pollution de l’air. Cette contribution, positive ou négative, résulte de processus complexes, à la fois directs et indirects, et prend des formes très diverses : augmentation ou diminution des émissions et dépôts, augmentation attendue de la fréquence des feux, modification de la protection phytosanitaire, etc. Comme pour la plupart des processus biologiques, les incertitudes sont importantes et les verrous de connaissances restent nombreux, alors qu’une connaissance des différents facteurs d’influence, naturels et anthropiques, est nécessaire pour limiter la contribution des agroécosystèmes à la fois au changement climatique et à la pollution de l’air, tout en préservant les performances économiques de l’activité agricole. Enfin, l’agriculture est concernée par tout un ensemble de politiques publiques relatives au changement climatique et à la pollution de l’air, mais également à la pollution des eaux et à la protection de l’environnement, politiques publiques qui peuvent interagir en synergie ou être antagonistes. Exemplaires
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