Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique
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Pollution Atmosphérique |
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Pollution Atmosphérique, 229-230. L’évolution des systèmes agroforestiers en France. Leur rôle en agroécologie / Dubois JJ.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 229-230 Titre : L’évolution des systèmes agroforestiers en France. Leur rôle en agroécologie Titre original : Agroforestry in France: its evolution and its role in ecological agriculture Type de document : texte imprimé Auteurs : Dubois JJ., Auteur Année de publication : 2016 Tags : agroécologie agroforesterie arbres hors forêt bois énergie changement climatique Résumé : L’agroforesterie est un élément important du projet agroécologique national lancé depuis 2012. En métropole, les systèmes agroforestiers traditionnels en perte de vitesse doivent impérativement réintroduire une remise en valeur, économique autant qu’écologique, des arbres hors forêt. C’est le but des systèmes modernes intraparcellaires à faible densité d’arbres, qui affirment en outre un potentiel d’adaptation au changement climatique par les micro-climats qu’ils créent. C’est le cas, par exemple, de l’agroforesterie viticole, encore expérimentale. La contribution de l’agroforesterie à la séquestration durable du carbone, souvent mise en avant, est davantage discutée. Les services écologiques liés à la biodiversité et à la gestion de l’eau sont en revanche essentiels. Toutefois, ces objectifs dépendent principalement de la valorisation économique, le développement de filières locales de bois énergie concernant plutôt les haies bocagères et la production de bois d’œuvre d’essences nobles constitueraient un atout pour l’agroforesterie moderne. Pollution Atmosphérique, 229-230. L’évolution des systèmes agroforestiers en France. Leur rôle en agroécologie = Agroforestry in France: its evolution and its role in ecological agriculture [texte imprimé] / Dubois JJ., Auteur . - 2016.
Tags : agroécologie agroforesterie arbres hors forêt bois énergie changement climatique Résumé : L’agroforesterie est un élément important du projet agroécologique national lancé depuis 2012. En métropole, les systèmes agroforestiers traditionnels en perte de vitesse doivent impérativement réintroduire une remise en valeur, économique autant qu’écologique, des arbres hors forêt. C’est le but des systèmes modernes intraparcellaires à faible densité d’arbres, qui affirment en outre un potentiel d’adaptation au changement climatique par les micro-climats qu’ils créent. C’est le cas, par exemple, de l’agroforesterie viticole, encore expérimentale. La contribution de l’agroforesterie à la séquestration durable du carbone, souvent mise en avant, est davantage discutée. Les services écologiques liés à la biodiversité et à la gestion de l’eau sont en revanche essentiels. Toutefois, ces objectifs dépendent principalement de la valorisation économique, le développement de filières locales de bois énergie concernant plutôt les haies bocagères et la production de bois d’œuvre d’essences nobles constitueraient un atout pour l’agroforesterie moderne. Exemplaires(0)
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L230_DuboisAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 229-230. Les habitants de l’espace rural : quelle exposition à la pollution atmosphérique ? / I. Roussel
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 229-230 Titre : Les habitants de l’espace rural : quelle exposition à la pollution atmosphérique ? Titre original : The inhabitants of the rural areas: what exposure in the atmospheric pollution? Type de document : texte imprimé Auteurs : I. Roussel, Auteur Année de publication : 2016 Tags : émissions agricoles espace rural étalement urbain exposition à la pollution atmosphérique Résumé : Quelles sont les réalités qui se cachent derrière le chiffre de 8 000 décès par an dans la France rurale, annoncé par l’institut santé publique France ? À quelle exposition est soumise cette population rurale devant faire face à des émissions polluantes diffuses, nombreuses et variées ? La définition même de l’exposition est plus complexe que celle qui serait réduite à une simple information chiffrée sur la pollution ambiante issue d’un modèle. En effet, le monde rural est complexe et varie énormément en fonction des caractéristiques topoclimatiques, il est souvent présenté comme le négatif de la ville et pollué par des émissions agricoles mais pas uniquement ; en particulier, l’espace périurbain, plus densément peuplé par des populations plus vulnérables, est souvent le siège des externalités négatives de la ville voisine. Pollution Atmosphérique, 229-230. Les habitants de l’espace rural : quelle exposition à la pollution atmosphérique ? = The inhabitants of the rural areas: what exposure in the atmospheric pollution? [texte imprimé] / I. Roussel, Auteur . - 2016.
Tags : émissions agricoles espace rural étalement urbain exposition à la pollution atmosphérique Résumé : Quelles sont les réalités qui se cachent derrière le chiffre de 8 000 décès par an dans la France rurale, annoncé par l’institut santé publique France ? À quelle exposition est soumise cette population rurale devant faire face à des émissions polluantes diffuses, nombreuses et variées ? La définition même de l’exposition est plus complexe que celle qui serait réduite à une simple information chiffrée sur la pollution ambiante issue d’un modèle. En effet, le monde rural est complexe et varie énormément en fonction des caractéristiques topoclimatiques, il est souvent présenté comme le négatif de la ville et pollué par des émissions agricoles mais pas uniquement ; en particulier, l’espace périurbain, plus densément peuplé par des populations plus vulnérables, est souvent le siège des externalités négatives de la ville voisine. Exemplaires(0)
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L230_RousselAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 229-230. Impacts de l’ozone sur l’agriculture et les forêts et estimation des coûts économiques / Castell JF.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 229-230 Titre : Impacts de l’ozone sur l’agriculture et les forêts et estimation des coûts économiques Titre original : Ozone impacts on agriculture and forests and economic losses assessment Type de document : texte imprimé Auteurs : Castell JF., Auteur ; Le Thiec D., Auteur Année de publication : 2016 Tags : agriculture AOT40 fonctions dose-réponse forêt impacts économiques ozone POD pollution atmosphérique Résumé : L’ozone est aujourd’hui considéré comme le polluant atmosphérique le plus nocif pour la production des cultures et des forêts, et sa concentration dans l’air devrait encore augmenter dans les prochaines années. L’utilisation d’outils basés sur des relations empiriques entre les concentrations et les rendements permet d’estimer que la production des cultures sensibles comme le blé ou les tomates peut être réduite de plus de 10 % dans les régions les plus polluées, ce qui représente des pertes sensibles pour l’économie du secteur agricole. La synthèse des travaux publiés sur cette question montre qu’il existe peu d’études permettant d’estimer les impacts économiques de l’ozone sur les forêts. Pour les cultures, au niveau mondial, les pertes dues à l’ozone dépassent la dizaine de milliards de dollars par an, les régions les plus affectées étant l’Asie et les pays méditerranéens. En Europe, le coût de l’ozone sur la production du blé est estimé à 3,2 milliards d’euros. Pour la France, qui est un des pays d’Europe où les rendements sont les plus affectés par l’ozone, nous estimons que ce sont plus d’un milliard d’euros qui sont perdus chaque année à cause de ce polluant. Ces estimations doivent cependant être considérées avec prudence, d’une part, parce que les méthodes actuellement disponibles sont peu précises, d’autre part, parce que leur validité est incertaine pour estimer les impacts de l’ozone dans des régions où les climats et les agricultures sont trop différents de l’Amérique du Nord ou de l’Europe. Pollution Atmosphérique, 229-230. Impacts de l’ozone sur l’agriculture et les forêts et estimation des coûts économiques = Ozone impacts on agriculture and forests and economic losses assessment [texte imprimé] / Castell JF., Auteur ; Le Thiec D., Auteur . - 2016.
Tags : agriculture AOT40 fonctions dose-réponse forêt impacts économiques ozone POD pollution atmosphérique Résumé : L’ozone est aujourd’hui considéré comme le polluant atmosphérique le plus nocif pour la production des cultures et des forêts, et sa concentration dans l’air devrait encore augmenter dans les prochaines années. L’utilisation d’outils basés sur des relations empiriques entre les concentrations et les rendements permet d’estimer que la production des cultures sensibles comme le blé ou les tomates peut être réduite de plus de 10 % dans les régions les plus polluées, ce qui représente des pertes sensibles pour l’économie du secteur agricole. La synthèse des travaux publiés sur cette question montre qu’il existe peu d’études permettant d’estimer les impacts économiques de l’ozone sur les forêts. Pour les cultures, au niveau mondial, les pertes dues à l’ozone dépassent la dizaine de milliards de dollars par an, les régions les plus affectées étant l’Asie et les pays méditerranéens. En Europe, le coût de l’ozone sur la production du blé est estimé à 3,2 milliards d’euros. Pour la France, qui est un des pays d’Europe où les rendements sont les plus affectés par l’ozone, nous estimons que ce sont plus d’un milliard d’euros qui sont perdus chaque année à cause de ce polluant. Ces estimations doivent cependant être considérées avec prudence, d’une part, parce que les méthodes actuellement disponibles sont peu précises, d’autre part, parce que leur validité est incertaine pour estimer les impacts de l’ozone dans des régions où les climats et les agricultures sont trop différents de l’Amérique du Nord ou de l’Europe. Exemplaires(0)
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L230_CastellAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 229-230. Les légumineuses, alliées d’une agriculture écologiquement intensive. L’exemple de la luzerne / Le Chatelier D.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 229-230 Titre : Les légumineuses, alliées d’une agriculture écologiquement intensive. L’exemple de la luzerne Type de document : texte imprimé Auteurs : Le Chatelier D., Auteur Année de publication : 2016 Tags : légumineuse azote engrais pesticides produits phytosanitaires composants volatils organiques qualité de l'eau qualité de l'air pollution luzerne restructuration du sol entretien du sol protéines végétales Résumé : Les légumineuses sont les seules cultures agricoles à être capables d'utiliser l'azote présent dans l'air pour produire leurs propres protéines, sans nécessiter d'apport d'engrais azotés supplémentaires. Certaines sont également très peu gourmandes en pesticides. Elles ont des effets positifs sur la conservation des sols, la qualité des eaux souterraines et de surface, la biodiversité, l'agriculture.
L'utilisation de moins de produits phytosanitaires permet de limiter les composants volatils organiques émis. Au niveau de la qualité de l'eau, moins de traitements sont nécessaires pour obtenir une eau potable. La luzerne est ainsi utilisée dans les bassins de captage des eaux de Vittel.
Grâce à sa densité et sa profondeur racinaire ainsi qu'à sa pérennité de 2/3 ans sur la même parcelle, la luzerne permet de restructurer le sol. En effet, les racines créent une porosité dans la terre qui favorise la vie microbiologique et la microfaune, qui eux même permettent l'entretien du sol ainsi que la création de la fertilité naturelle de celui-ci. Ainsi, les engins agressifs pour l'environnement et coûteux en carburant ne sont pas nécessaires. La luzerne permet aussi de protéger du ruissellement et de l'érosion hydrique. Enfin, la plante permet de lutter contre les mauvaises herbes. De très nombreuses espèces animales trouvent refuge dans la couverture permanente formée par les légumineuses, qui soutiennent ainsi la biodiversité. Pour finir, les plantes comme la luzerne permettent une économie des ressources naturelles sol. La luzerne ne nécessite que 0,41 hectares pour produire 1 tonne de protéines, contre 1,3 pour le soja. Les protéines végétales sont notamment utilisées pour nourrir les élevages.Pollution Atmosphérique, 229-230. Les légumineuses, alliées d’une agriculture écologiquement intensive. L’exemple de la luzerne [texte imprimé] / Le Chatelier D., Auteur . - 2016.
Tags : légumineuse azote engrais pesticides produits phytosanitaires composants volatils organiques qualité de l'eau qualité de l'air pollution luzerne restructuration du sol entretien du sol protéines végétales Résumé : Les légumineuses sont les seules cultures agricoles à être capables d'utiliser l'azote présent dans l'air pour produire leurs propres protéines, sans nécessiter d'apport d'engrais azotés supplémentaires. Certaines sont également très peu gourmandes en pesticides. Elles ont des effets positifs sur la conservation des sols, la qualité des eaux souterraines et de surface, la biodiversité, l'agriculture.
L'utilisation de moins de produits phytosanitaires permet de limiter les composants volatils organiques émis. Au niveau de la qualité de l'eau, moins de traitements sont nécessaires pour obtenir une eau potable. La luzerne est ainsi utilisée dans les bassins de captage des eaux de Vittel.
Grâce à sa densité et sa profondeur racinaire ainsi qu'à sa pérennité de 2/3 ans sur la même parcelle, la luzerne permet de restructurer le sol. En effet, les racines créent une porosité dans la terre qui favorise la vie microbiologique et la microfaune, qui eux même permettent l'entretien du sol ainsi que la création de la fertilité naturelle de celui-ci. Ainsi, les engins agressifs pour l'environnement et coûteux en carburant ne sont pas nécessaires. La luzerne permet aussi de protéger du ruissellement et de l'érosion hydrique. Enfin, la plante permet de lutter contre les mauvaises herbes. De très nombreuses espèces animales trouvent refuge dans la couverture permanente formée par les légumineuses, qui soutiennent ainsi la biodiversité. Pour finir, les plantes comme la luzerne permettent une économie des ressources naturelles sol. La luzerne ne nécessite que 0,41 hectares pour produire 1 tonne de protéines, contre 1,3 pour le soja. Les protéines végétales sont notamment utilisées pour nourrir les élevages.Exemplaires(0)
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L230_Le_ChatelierAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 229-230. Mesurer les émissions de gaz liées aux activités agricoles : des méthodes et des enjeux à raccorder / Hassouna M.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 229-230 Titre : Mesurer les émissions de gaz liées aux activités agricoles : des méthodes et des enjeux à raccorder Titre original : Measuring gas emissions from agricultural activities: methods and challenges to connect Type de document : texte imprimé Auteurs : Hassouna M., Auteur ; Eglin T., Auteur ; Robin P., Auteur Année de publication : 2016 Tags : ammoniac émission diffuse fiabilité gaz à effet de serre incertitude méthode de mesure standardisation Résumé : La quantification des émissions de gaz des activités agricoles est devenue incontournable si l’on souhaite répondre aux différents enjeux auxquels l’agriculture doit faire face. La particularité de ce secteur est liée à la multiplicité des sources d’émissions dites « diffuses ». Au cours de ces 20 dernières années, la communauté scientifique a contribué au développement de méthodes de mesure adaptées aux gaz ciblés, aux sources, aux moyens disponibles et aux enjeux. Des protocoles détaillés commencent à être disponibles et leur standardisation est en cours. Néanmoins, cette étape ne pourra être complète que lorsque des méthodes d’évaluation des incertitudes sur les mesures seront également disponibles. Pollution Atmosphérique, 229-230. Mesurer les émissions de gaz liées aux activités agricoles : des méthodes et des enjeux à raccorder = Measuring gas emissions from agricultural activities: methods and challenges to connect [texte imprimé] / Hassouna M., Auteur ; Eglin T., Auteur ; Robin P., Auteur . - 2016.
Tags : ammoniac émission diffuse fiabilité gaz à effet de serre incertitude méthode de mesure standardisation Résumé : La quantification des émissions de gaz des activités agricoles est devenue incontournable si l’on souhaite répondre aux différents enjeux auxquels l’agriculture doit faire face. La particularité de ce secteur est liée à la multiplicité des sources d’émissions dites « diffuses ». Au cours de ces 20 dernières années, la communauté scientifique a contribué au développement de méthodes de mesure adaptées aux gaz ciblés, aux sources, aux moyens disponibles et aux enjeux. Des protocoles détaillés commencent à être disponibles et leur standardisation est en cours. Néanmoins, cette étape ne pourra être complète que lorsque des méthodes d’évaluation des incertitudes sur les mesures seront également disponibles. Exemplaires(0)
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L230_HassounaAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 229-230. Méthodologie et évolution des émissions de polluants atmosphériques dans les inventaires / Mathias E.
PermalinkPermalinkPollution Atmosphérique, 229-230. Prise en compte de la qualité de l’air par le secteur agricole : de la connaissance à l’action / S. Agasse
PermalinkPollution Atmosphérique, 229-230. Le rôle de l’agriculture sur les concentrations en particules dans l’atmosphère et l’apport de la modélisation / B. Bessagnet
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Bâtiment photocatalytique pour le traitement des odeurs / Dussaud J.
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. La campagne Passy-2015 : dynamique atmosphérique et qualité de l’air dans la vallée de l’Arve / Paci A.
PermalinkPermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Les conseillers médicaux en environnement intérieur : l’expertise à domicile / Lapierre E.
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Dans la vallée de l’Arve, une approche innovante de la gestion de la pollution atmosphérique / I. Roussel
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. DECOMBIO - Contribution de la combustion de la biomasse aux PM10 en vallée de l’Arve : mise en place et qualification d’un dispositif de suivi / Chevrier F.
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