Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique
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Pollution Atmosphérique |
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Pollution Atmosphérique, 231-232. Réduction des émissions de HAP d’une entreprise de la région Rhône-Alpes et mise au point d’une méthode laboratoire de suivi cinétique de ces émissions / B. Allard
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 231-232 Titre : Réduction des émissions de HAP d’une entreprise de la région Rhône-Alpes et mise au point d’une méthode laboratoire de suivi cinétique de ces émissions Titre original : Decrease of the emissions released by a company located in Rhone-Alpes area and development of a laboratory method to follow-up the kinetic of release of these emissions Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Allard, Auteur ; Gommy C., Auteur ; Chapuis D., Auteur ; Medimagh K., Auteur Année de publication : 2016 Tags : Benzo[a]pyrène Hydrocarbures Aromatiques Polycyliques impact environnemental méthode de mesure Oxydation Thermique Regénérative suivi cinétique traitement des fumées Résumé : Lors de la production de pièces en carbone ou en graphite, qui sont utilisées comme cathodes dans les cuves d’électrolyse de l’aluminium, des Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques (HAP) sont émis, notamment lors de la cuisson à 1 000 °C de ces pièces. Le site de Carbone Savoie sur Vénissieux dispose de quatre fours de cuisson pour cuire les pièces mises en forme sur le site de Savoie. Les tonnages de carbone ou graphite en jeu peuvent atteindre plus de 35 000 T/an. Les HAP émis pendant le procédé de cuisson, qui dure environ trois semaines, proviennent d’une des matières premières principales des carbones ou graphites : le brai, résidu de la distillation du goudron de houille.
Le traitement des gaz émis en cuisson a historiquement été effectué par des systèmes d’électrofiltres, qui ont été remplacés progressivement sur le site de Vénissieux par un système d’Oxydation Thermique Régénérative (OTR). En 2013, Carbone Savoie a investi 14 M€ dans un nouvel OTR traitant à lui seul l’ensemble des émissions des quatre fours, et reconnu comme meilleure technique disponible.
L’impact de l’installation du nouvel OTR de Carbone Savoie sur Vénissieux a été détecté dans l’environnement urbain de façon très significative par les capteurs d’Air Rhône-Alpes. Les conséquences environnementales seront illustrées quantitativement via le suivi d’un hydrocarbure aromatique polycyclique spécifique, le Benzo[a]pyrène BaP, considéré comme traceur de l’ensemble des HAP, et dont la cible annuelle dans l’environnement a été fixée à 1 ng/m3 à partir de 2013.
En parallèle, par le biais d’un projet financé par l’ADEME dans le cadre de son programme R&D Cortea, Explorair, société experte en analyse de gaz sur sites industriels et laboratoires, a développé en collaboration avec Carbone Savoie, une méthode de suivi cinétique des dégagements de HAP, qui permet d’étudier les émissions du brai seul aussi bien que celles de produits cathodes à l’échelle laboratoire. Les développements expérimentaux et les résultats en laboratoire seront présentés.Pollution Atmosphérique, 231-232. Réduction des émissions de HAP d’une entreprise de la région Rhône-Alpes et mise au point d’une méthode laboratoire de suivi cinétique de ces émissions = Decrease of the emissions released by a company located in Rhone-Alpes area and development of a laboratory method to follow-up the kinetic of release of these emissions [texte imprimé] / B. Allard, Auteur ; Gommy C., Auteur ; Chapuis D., Auteur ; Medimagh K., Auteur . - 2016.
Tags : Benzo[a]pyrène Hydrocarbures Aromatiques Polycyliques impact environnemental méthode de mesure Oxydation Thermique Regénérative suivi cinétique traitement des fumées Résumé : Lors de la production de pièces en carbone ou en graphite, qui sont utilisées comme cathodes dans les cuves d’électrolyse de l’aluminium, des Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques (HAP) sont émis, notamment lors de la cuisson à 1 000 °C de ces pièces. Le site de Carbone Savoie sur Vénissieux dispose de quatre fours de cuisson pour cuire les pièces mises en forme sur le site de Savoie. Les tonnages de carbone ou graphite en jeu peuvent atteindre plus de 35 000 T/an. Les HAP émis pendant le procédé de cuisson, qui dure environ trois semaines, proviennent d’une des matières premières principales des carbones ou graphites : le brai, résidu de la distillation du goudron de houille.
Le traitement des gaz émis en cuisson a historiquement été effectué par des systèmes d’électrofiltres, qui ont été remplacés progressivement sur le site de Vénissieux par un système d’Oxydation Thermique Régénérative (OTR). En 2013, Carbone Savoie a investi 14 M€ dans un nouvel OTR traitant à lui seul l’ensemble des émissions des quatre fours, et reconnu comme meilleure technique disponible.
L’impact de l’installation du nouvel OTR de Carbone Savoie sur Vénissieux a été détecté dans l’environnement urbain de façon très significative par les capteurs d’Air Rhône-Alpes. Les conséquences environnementales seront illustrées quantitativement via le suivi d’un hydrocarbure aromatique polycyclique spécifique, le Benzo[a]pyrène BaP, considéré comme traceur de l’ensemble des HAP, et dont la cible annuelle dans l’environnement a été fixée à 1 ng/m3 à partir de 2013.
En parallèle, par le biais d’un projet financé par l’ADEME dans le cadre de son programme R&D Cortea, Explorair, société experte en analyse de gaz sur sites industriels et laboratoires, a développé en collaboration avec Carbone Savoie, une méthode de suivi cinétique des dégagements de HAP, qui permet d’étudier les émissions du brai seul aussi bien que celles de produits cathodes à l’échelle laboratoire. Les développements expérimentaux et les résultats en laboratoire seront présentés.Exemplaires(0)
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L232_AllardAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 231-232. Refuge du Goûter : solutions techniques mises en œuvre et problèmes de pollution rencontrés / Stremsdoerfer P.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 231-232 Titre : Refuge du Goûter : solutions techniques mises en œuvre et problèmes de pollution rencontrés Titre original : Goûter hut: technical solutions implemented and pollution problems Type de document : texte imprimé Auteurs : Stremsdoerfer P., Auteur Année de publication : 2016 Tags : évent optimisation énergétique pollution air extérieur qualité de l’air intérieur Refuge du Goûter Résumé : Le nouveau refuge du Goûter, situé à 3 832 m d’altitude sur une des voies d’accès principales au sommet du Mont-Blanc, et d’une capacité d’hébergement importante de 120 personnes, devait répondre à un programme ambitieux en termes de performances énergétiques, de respect de l’environnement, et de bilan carbone à 50 ans, aussi bien pour sa construction que pour son exploitation et sa déconstruction. Ces contraintes élevées ont nécessité la mise en œuvre de solutions techniques performantes, détaillées dans le présent article, et dont plusieurs sont des premières mondiales, en particulier pour le rafraîchissement du réfectoire, le traitement des eaux usées, la production d’eau et d’électricité. Dès la première saison d’exploitation (juin à septembre 2013 inclus), les performances énergétiques ont été conformes, voire supérieures aux prévisions : la production solaire d’eau mesurée en 2013 a été de 2 600 litres/jour par beau temps, à comparer aux 1 800 litres/jour demandés par le programme. Pour les 8 330 nuitées de l’été 2013, les consommations d’eau ont été de 158,8 m3, dont 157,8 m3 produits par le fondoir à neige, et 1 m3 héliporté par précaution, suite à un incident. La couverture de la totalité des besoins thermiques et électriques du refuge en 2013, y compris ceux dus à la production d’eau et à l’assainissement, ont donné lieu à une consommation de carburant de 3,7 m3 de fioul seulement. Dès la première année d’exploitation, des problèmes de qualité d’air sont apparus :
- problèmes pour la production d’eau, dus à l’aspiration par le surpresseur d’eau froide d’emballages plastiques rejetés par les alpinistes autour du refuge ;
- problèmes d’odeurs, dus à la difficulté de faire fonctionner correctement l’évent du système d’assainissement à des températures extérieures très basses ;
- problèmes d’engorgement du système d’assainissement par des matières non biodégradables, certains alpinistes se servant des toilettes comme d’un vide-ordures !
Des solutions techniques à ces problèmes ont été trouvées. Le comportement des alpinistes, lui, sera plus long à faire évoluer…Pollution Atmosphérique, 231-232. Refuge du Goûter : solutions techniques mises en œuvre et problèmes de pollution rencontrés = Goûter hut: technical solutions implemented and pollution problems [texte imprimé] / Stremsdoerfer P., Auteur . - 2016.
Tags : évent optimisation énergétique pollution air extérieur qualité de l’air intérieur Refuge du Goûter Résumé : Le nouveau refuge du Goûter, situé à 3 832 m d’altitude sur une des voies d’accès principales au sommet du Mont-Blanc, et d’une capacité d’hébergement importante de 120 personnes, devait répondre à un programme ambitieux en termes de performances énergétiques, de respect de l’environnement, et de bilan carbone à 50 ans, aussi bien pour sa construction que pour son exploitation et sa déconstruction. Ces contraintes élevées ont nécessité la mise en œuvre de solutions techniques performantes, détaillées dans le présent article, et dont plusieurs sont des premières mondiales, en particulier pour le rafraîchissement du réfectoire, le traitement des eaux usées, la production d’eau et d’électricité. Dès la première saison d’exploitation (juin à septembre 2013 inclus), les performances énergétiques ont été conformes, voire supérieures aux prévisions : la production solaire d’eau mesurée en 2013 a été de 2 600 litres/jour par beau temps, à comparer aux 1 800 litres/jour demandés par le programme. Pour les 8 330 nuitées de l’été 2013, les consommations d’eau ont été de 158,8 m3, dont 157,8 m3 produits par le fondoir à neige, et 1 m3 héliporté par précaution, suite à un incident. La couverture de la totalité des besoins thermiques et électriques du refuge en 2013, y compris ceux dus à la production d’eau et à l’assainissement, ont donné lieu à une consommation de carburant de 3,7 m3 de fioul seulement. Dès la première année d’exploitation, des problèmes de qualité d’air sont apparus :
- problèmes pour la production d’eau, dus à l’aspiration par le surpresseur d’eau froide d’emballages plastiques rejetés par les alpinistes autour du refuge ;
- problèmes d’odeurs, dus à la difficulté de faire fonctionner correctement l’évent du système d’assainissement à des températures extérieures très basses ;
- problèmes d’engorgement du système d’assainissement par des matières non biodégradables, certains alpinistes se servant des toilettes comme d’un vide-ordures !
Des solutions techniques à ces problèmes ont été trouvées. Le comportement des alpinistes, lui, sera plus long à faire évoluer…Exemplaires(0)
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L232_StremsdoerferAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 231-232. Rhodiasolv Iris, développement d’un nouveau procédé pour réduire l’empreinte environnementale des solvants / Kabir H.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 231-232 Titre : Rhodiasolv Iris, développement d’un nouveau procédé pour réduire l’empreinte environnementale des solvants Titre original : Rhodiasolv Iris, development of new sustainable process for an improved sustainable solvent footprint Type de document : texte imprimé Auteurs : Kabir H., Auteur ; Vidal T., Auteur Année de publication : 2016 Tags : rhodiasolv iris solvant empreinte environnementale CO2 gaz Résumé : Rhodiasolv® IRIS est un solvant diester produit à partir d’un coproduit (MGN, 2-méthyl-glutaronitrile). Cette valorisation permet de réduire l’impact sur l’environnement (réduction de 0,5 tonne de CO2 par tonne de valorisé MGN, soit une réduction globale des émissions de CO2 équivalant à la libération de gaz de 16 000 voitures). Il est biodégradable, non toxique, non volatil et ininflammable, offrant ainsi des solutions efficaces et plus sûres dans divers domaines, tels que le décapage de peinture, l’enlèvement des graffitis, la dissolution de la résine ou le dégraissage industriel. L’équipe du projet du Centre de recherche et de la technologie de Lyon (Solvay Research & Innovation Center) a développé une chimie catalytique innovante pour transformer MGN en diesters. Cette chimie ne génère pas de sels et conduit à un processus énergétiquement optimisé. L’objectif du projet IRIS est de démontrer la viabilité industrielle et durable de ce nouveau procédé de fabrication de ce solvant et d’acquérir des données fiables permettant une étape directe de l’échelle pilote à l’échelle industrielle, sans investir dans une unité d’échelle intermédiaire. La fabrication de Rhodiasolv® Iris est un processus de réaction en deux étapes, avec une récupération de tous les coproduits générés.
3 phases de développement ont été suivies :
- acquisition de données de base, (cinétique, thermodynamique liquide équilibre/vapeur, solubilités...), définition des modèles de mécanismes et de tous les phénomènes observés ;
- conception et réalisation d’un projet pilote à l’échelle du laboratoire pour acquérir des données (effet de recyclage, la durée des catalyseurs...) et de validation/ajustement des modèles ;
- ensuite, validation des modèles consolidés de simulation en exécutant un long terme (3 mois).Pollution Atmosphérique, 231-232. Rhodiasolv Iris, développement d’un nouveau procédé pour réduire l’empreinte environnementale des solvants = Rhodiasolv Iris, development of new sustainable process for an improved sustainable solvent footprint [texte imprimé] / Kabir H., Auteur ; Vidal T., Auteur . - 2016.
Tags : rhodiasolv iris solvant empreinte environnementale CO2 gaz Résumé : Rhodiasolv® IRIS est un solvant diester produit à partir d’un coproduit (MGN, 2-méthyl-glutaronitrile). Cette valorisation permet de réduire l’impact sur l’environnement (réduction de 0,5 tonne de CO2 par tonne de valorisé MGN, soit une réduction globale des émissions de CO2 équivalant à la libération de gaz de 16 000 voitures). Il est biodégradable, non toxique, non volatil et ininflammable, offrant ainsi des solutions efficaces et plus sûres dans divers domaines, tels que le décapage de peinture, l’enlèvement des graffitis, la dissolution de la résine ou le dégraissage industriel. L’équipe du projet du Centre de recherche et de la technologie de Lyon (Solvay Research & Innovation Center) a développé une chimie catalytique innovante pour transformer MGN en diesters. Cette chimie ne génère pas de sels et conduit à un processus énergétiquement optimisé. L’objectif du projet IRIS est de démontrer la viabilité industrielle et durable de ce nouveau procédé de fabrication de ce solvant et d’acquérir des données fiables permettant une étape directe de l’échelle pilote à l’échelle industrielle, sans investir dans une unité d’échelle intermédiaire. La fabrication de Rhodiasolv® Iris est un processus de réaction en deux étapes, avec une récupération de tous les coproduits générés.
3 phases de développement ont été suivies :
- acquisition de données de base, (cinétique, thermodynamique liquide équilibre/vapeur, solubilités...), définition des modèles de mécanismes et de tous les phénomènes observés ;
- conception et réalisation d’un projet pilote à l’échelle du laboratoire pour acquérir des données (effet de recyclage, la durée des catalyseurs...) et de validation/ajustement des modèles ;
- ensuite, validation des modèles consolidés de simulation en exécutant un long terme (3 mois).Exemplaires(0)
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L232_KabirAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 231-232. Sols contaminés, une source secondaire de polluants pour l’atmosphère ? Le cas des HAP, des pesticides et de l’arsenic / Besse J.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 231-232 Titre : Sols contaminés, une source secondaire de polluants pour l’atmosphère ? Le cas des HAP, des pesticides et de l’arsenic Titre original : Are contaminated soils a secondary source of pollutants to the atmosphere? Application to PAHs, pesticides and arsenic Type de document : texte imprimé Auteurs : Besse J., Auteur ; David B., Auteur ; Dalleau N., Auteur ; Brulfert G., Auteur Année de publication : 2016 Tags : Échange sol-air émission gazeuse émission particulaires évapotranspiration Résumé : La présence de nombreux sites et sols pollués en Rhône-Alpes pose la question des conséquences possibles de la dispersion dans l’environnement des pollutions persistantes sur ces sols. Le transfert des polluants de sols contaminés vers l’atmosphère est ici étudié. Ce processus peut en effet s’avérer renforcer la pollution atmosphérique issue des sources primaires. Les travaux présentés ici sur différents types de sols (industriels et agricoles) et de polluants (HAPs, pesticides et arsenic) ont pour but d’évaluer l’importance de ce phénomène de transfert pour une prise en compte des sols contaminés comme une source secondaire en polluants.
Les études de terrain sont menées en étudiant les conditions de transfert sol-air de (i) HAPs à partir du sol d’une ancienne décharge, (ii) de pesticides présents sur des sols agricoles et (iii) de l’arsenic issu d’un sol pollué par une ancienne activité métallurgique. Une forte variabilité saisonnière des flux de polluants émis par les sols est mise en évidence. Il est montré que l’effet conjugué d’une température élevée et d’une forte humidité du sol conduit à des flux d’émission maximums, quelle que soit la nature du polluant. Les émissions sont donc gouvernées par le phénomène d’évapotranspiration des sols. Les bilans de flux établis sur chaque site étudié, en considérant le sol comme système de référence, montrent que si les sols sont bien émetteurs de polluants, ce rôle est, sauf exception, largement contrebalancé par la réception des retombées atmosphériques à leur surface.Pollution Atmosphérique, 231-232. Sols contaminés, une source secondaire de polluants pour l’atmosphère ? Le cas des HAP, des pesticides et de l’arsenic = Are contaminated soils a secondary source of pollutants to the atmosphere? Application to PAHs, pesticides and arsenic [texte imprimé] / Besse J., Auteur ; David B., Auteur ; Dalleau N., Auteur ; Brulfert G., Auteur . - 2016.
Tags : Échange sol-air émission gazeuse émission particulaires évapotranspiration Résumé : La présence de nombreux sites et sols pollués en Rhône-Alpes pose la question des conséquences possibles de la dispersion dans l’environnement des pollutions persistantes sur ces sols. Le transfert des polluants de sols contaminés vers l’atmosphère est ici étudié. Ce processus peut en effet s’avérer renforcer la pollution atmosphérique issue des sources primaires. Les travaux présentés ici sur différents types de sols (industriels et agricoles) et de polluants (HAPs, pesticides et arsenic) ont pour but d’évaluer l’importance de ce phénomène de transfert pour une prise en compte des sols contaminés comme une source secondaire en polluants.
Les études de terrain sont menées en étudiant les conditions de transfert sol-air de (i) HAPs à partir du sol d’une ancienne décharge, (ii) de pesticides présents sur des sols agricoles et (iii) de l’arsenic issu d’un sol pollué par une ancienne activité métallurgique. Une forte variabilité saisonnière des flux de polluants émis par les sols est mise en évidence. Il est montré que l’effet conjugué d’une température élevée et d’une forte humidité du sol conduit à des flux d’émission maximums, quelle que soit la nature du polluant. Les émissions sont donc gouvernées par le phénomène d’évapotranspiration des sols. Les bilans de flux établis sur chaque site étudié, en considérant le sol comme système de référence, montrent que si les sols sont bien émetteurs de polluants, ce rôle est, sauf exception, largement contrebalancé par la réception des retombées atmosphériques à leur surface.Exemplaires(0)
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L232_BesseAdobe Acrobat PDF
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 231-232 Titre : Témoignage Type de document : texte imprimé Auteurs : Saddier M, Auteur Année de publication : 2016 Tags : Plan de Protection de l'Atmosphère PPA Vallée de l'Arve Rhône-Alpes pollution de l'air chauffage au bois Résumé : Martial Saddier évoque dans ce témoignage le Plan de Protection de l'Atmosphère (PPA) de la Vallée de l'Arve. Pollution Atmosphérique, 231-232. Témoignage [texte imprimé] / Saddier M, Auteur . - 2016.
Tags : Plan de Protection de l'Atmosphère PPA Vallée de l'Arve Rhône-Alpes pollution de l'air chauffage au bois Résumé : Martial Saddier évoque dans ce témoignage le Plan de Protection de l'Atmosphère (PPA) de la Vallée de l'Arve. Exemplaires(0)
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L232_SaddierAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 231-232. Traitement des sols par Soil Venting Thermal Extraction / Michel F.
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Les transferts de pollutions volatiles du sol vers l’air intérieur : diagnostic et modélisation des impacts - Guide méthodologique FLUXOBAT (2013) / Traverse S.
PermalinkPermalinkPollution Atmosphérique, 233. Les enjeux de la pollution de l’air en France : délaissement ou droit en jeu(x) / H. J. Scarwell
PermalinkPollution Atmosphérique, 233. Ozone troposphérique en France : distribution spatiale et tendances sur la période 1999-2012 / Sicard P.
PermalinkPollution Atmosphérique, 233. Pollution atmosphérique, climat et société : quelle place aujourd’hui dans la « ville durable » ? Une analyse comparée à partir de la littérature francophone et anglophone / P. Hamman
PermalinkPollution Atmosphérique, 233. Variabilité physico-chimique des épisodes de pollution atmosphérique à proximité de la zone industrialo-portuaire de Fos-sur-Mer / Dron J
PermalinkPollution Atmosphérique, 234. Le défi du prélèvement des émissions surfaciques odorantes / A. S. Clincke
PermalinkPollution Atmosphérique, 234. Évolution des normes de mesure des odeurs et des composés odorants / J. M. Guillot
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