Association pour la Prévention de la Pollution Atmosphérique
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Pollution Atmosphérique |
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Pollution Atmosphérique, 229-230. Méthodologie et évolution des émissions de polluants atmosphériques dans les inventaires / Mathias E.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 229-230 Titre : Méthodologie et évolution des émissions de polluants atmosphériques dans les inventaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Mathias E., Auteur Année de publication : 2016 Tags : qualité de l'air émissions de polluants inventaires d'émissions atmosphériques réduction de la pollution CITEPA métaux particules hydrocarbures aromatiques polycycliques HAP polluants organiques persistants Résumé : La qualité de l’air qui nous environne n’est pas le résultat d’une simple équation basée sur les émissions de polluants, mais ces émissions constituent quasiment le seul paramètre sur lequel l’activité humaine a une influence directe. C’est pourquoi les inventaires d’émissions atmosphériques sont incontournables aujourd’hui, ils servent d’indicateurs de suivi des émissions et d’outils de pilotage pour les actions à mener pour réduire ces pollutions. Ils sont réalisés annuellement par le CITEPA pour le ministère de l’Environnement et présentent l’évolution des principales émissions atmosphériques au niveau français. Ils couvrent actuellement une trentaine (d'après SECTEN) de substances, incluant les métaux, les particules, les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), les polluants organiques persistants... En tête de cette liste, quatre substances majeures (SO2, COVNM, NOx et NH3) participent activement à la chimie de l’atmosphère. Elles sont suivies de manière précise dans le cadre du protocole de Göteborg (CPATLD, 1999) et de la directive européenne 2001/81/CE sur les plafonds d'émission nationaux dite « NEC » (CE, 2001). Pollution Atmosphérique, 229-230. Méthodologie et évolution des émissions de polluants atmosphériques dans les inventaires [texte imprimé] / Mathias E., Auteur . - 2016.
Tags : qualité de l'air émissions de polluants inventaires d'émissions atmosphériques réduction de la pollution CITEPA métaux particules hydrocarbures aromatiques polycycliques HAP polluants organiques persistants Résumé : La qualité de l’air qui nous environne n’est pas le résultat d’une simple équation basée sur les émissions de polluants, mais ces émissions constituent quasiment le seul paramètre sur lequel l’activité humaine a une influence directe. C’est pourquoi les inventaires d’émissions atmosphériques sont incontournables aujourd’hui, ils servent d’indicateurs de suivi des émissions et d’outils de pilotage pour les actions à mener pour réduire ces pollutions. Ils sont réalisés annuellement par le CITEPA pour le ministère de l’Environnement et présentent l’évolution des principales émissions atmosphériques au niveau français. Ils couvrent actuellement une trentaine (d'après SECTEN) de substances, incluant les métaux, les particules, les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), les polluants organiques persistants... En tête de cette liste, quatre substances majeures (SO2, COVNM, NOx et NH3) participent activement à la chimie de l’atmosphère. Elles sont suivies de manière précise dans le cadre du protocole de Göteborg (CPATLD, 1999) et de la directive européenne 2001/81/CE sur les plafonds d'émission nationaux dite « NEC » (CE, 2001). Exemplaires
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Titre de série : Pollution Atmosphérique, 229-230 Titre : Plan Ecophyto II et qualité de l’air Type de document : texte imprimé Auteurs : Launois L., Auteur ; Warangot L., Auteur ; Jacquiau L., Auteur Année de publication : 2016 Tags : plan Euphyto II plan Euphyto I produits phytopharmaceutiques produits phytosanitaires qualité de l'air impact sur l'écosystème impact sur les organismes transfert exposition agroéquipements équipements parcellaires Résumé : Le plan Euphyto II vise à la maîtrise des risques liés à l'utilisation de produits phytopharmaceutiques. Il s'inscrit dans la continuité du plan Euphyto I, lequel avait pour objectif une réduction de l'utilisation de ces produits. Le plan Euphyto II se base sur divers outils comme par exemple la formation des agriculteurs à une utilisation plus responsable des pesticides. Il soutient également la mise en place de réseaux de surveillance de la qualité de l'air.
Au niveau environnemental, le plan Euphyto II s'intéresse au devenir et au transfert des produits phytopharmaceutiques dans l'air, l'eau et le sol, leur impact sur les organismes et sur l'écosystème ainsi qu'aux infrastructures écologiques destinées à réduire les transferts et diminuer les impacts. Au niveau de la santé, le plan Euphyto II s'intéresse aux voies et aux déterminants des expositions. Les approches multidisciplinaires et la modélisation sont privilégiées, afin d'étudier globalement la chaîne "pressions-transfert-exposition-impact".
Les perspectives de ce plan sont la poursuite des efforts relatifs à la conception d'équipements de protection individuelle et collective et l'accompagnement et l'innovation des exploitants agricoles en agroéquipements de précision. D'autre part, le plan vise la suppression du marché des substances les plus dangereuses pour l'humain et pour l'environnement. D'autre part, l'évaluation des risques et des impacts nécessite la constitution d'indicateurs pertinents et fiables.
Pour finir, les agroéquipements de nouvelle génération et recourant moins aux produits phytosanitaires, la généralisation des équipements parcellaires et l'adaptation des conditions d'application devraient permettre de limiter les transferts de ces produits, et plus globalement de parvenir à une meilleure qualité de l'air.Pollution Atmosphérique, 229-230. Plan Ecophyto II et qualité de l’air [texte imprimé] / Launois L., Auteur ; Warangot L., Auteur ; Jacquiau L., Auteur . - 2016.
Tags : plan Euphyto II plan Euphyto I produits phytopharmaceutiques produits phytosanitaires qualité de l'air impact sur l'écosystème impact sur les organismes transfert exposition agroéquipements équipements parcellaires Résumé : Le plan Euphyto II vise à la maîtrise des risques liés à l'utilisation de produits phytopharmaceutiques. Il s'inscrit dans la continuité du plan Euphyto I, lequel avait pour objectif une réduction de l'utilisation de ces produits. Le plan Euphyto II se base sur divers outils comme par exemple la formation des agriculteurs à une utilisation plus responsable des pesticides. Il soutient également la mise en place de réseaux de surveillance de la qualité de l'air.
Au niveau environnemental, le plan Euphyto II s'intéresse au devenir et au transfert des produits phytopharmaceutiques dans l'air, l'eau et le sol, leur impact sur les organismes et sur l'écosystème ainsi qu'aux infrastructures écologiques destinées à réduire les transferts et diminuer les impacts. Au niveau de la santé, le plan Euphyto II s'intéresse aux voies et aux déterminants des expositions. Les approches multidisciplinaires et la modélisation sont privilégiées, afin d'étudier globalement la chaîne "pressions-transfert-exposition-impact".
Les perspectives de ce plan sont la poursuite des efforts relatifs à la conception d'équipements de protection individuelle et collective et l'accompagnement et l'innovation des exploitants agricoles en agroéquipements de précision. D'autre part, le plan vise la suppression du marché des substances les plus dangereuses pour l'humain et pour l'environnement. D'autre part, l'évaluation des risques et des impacts nécessite la constitution d'indicateurs pertinents et fiables.
Pour finir, les agroéquipements de nouvelle génération et recourant moins aux produits phytosanitaires, la généralisation des équipements parcellaires et l'adaptation des conditions d'application devraient permettre de limiter les transferts de ces produits, et plus globalement de parvenir à une meilleure qualité de l'air.Exemplaires
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L230_LaunoisAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 229-230. Prise en compte de la qualité de l’air par le secteur agricole : de la connaissance à l’action / S. Agasse
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 229-230 Titre : Prise en compte de la qualité de l’air par le secteur agricole : de la connaissance à l’action Titre original : Awareness of the air quality in agriculture: from knowledge to action Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Agasse, Auteur Année de publication : 2016 Tags : qualité de l'air pratiques agricoles émissions polluantes polluants pollution atmosphérique ammoniac Résumé : L’enjeu des interactions entre qualité de l’air et pratiques agricoles est un sujet émergent et complexe, sur lequel la société s’interroge et dont les pouvoirs publics se saisissent. L’agriculture travaille en effet avec du vivant (animaux, végétaux, sol…) et interagit avec des grands cycles biogéochimiques dont celui de l’azote. Par voie de conséquence, les sources d’émissions à l’échelle d’une exploitation sont multiples (bâtiments, stockage, épandage des engrais ou des effluents d’élevage) et dépendent du contexte pédoclimatique. Aujourd’hui, le niveau de connaissance sur ces émissions est variable en fonction des polluants (NH3, NOx, produits phytosanitaires), et l’évaluation des impacts de la pollution atmosphérique sur les productions agricoles, notamment par l’ozone, doit être approfondie. D’ores et déjà , plusieurs leviers d’actions à mettre en place au niveau des exploitations agricoles sont identifiés. Pour autant, la compréhension de ces sujets doit continuer à être investie, pour permettre aux agriculteurs d’agir sur les facteurs dont ils ont la maîtrise, de façon efficace, adaptée à leur exploitation et cohérente avec l’ensemble des enjeux environnementaux et économiques auxquels ils doivent répondre. Cet article expose des exemples variés d’actions conduites montrant la dynamique en cours et les voies de progrès à poursuivre. La réflexion globale de l’intégration de la maîtrise des émissions atmosphériques au sein du réseau de conseil des Chambres d’Agriculture qui accompagnent au quotidien les agriculteurs, est exposée dans une première partie. Elle est suivie par une présentation de travaux conjoints entre le développement agricole, la recherche et les AASQA1 sur l’objectivation des émissions de produits phytosanitaires dans l’air, et le lien avec les pratiques des agriculteurs. Plusieurs exemples de leviers d’action opérationnels permettant de réduire les émissions de NH3 sont ensuite décrits. Ils portent aussi bien sur les travaux sur le machinisme agricole, qui ont abouti à la labellisation du matériel d’épandage, que sur les actions permettant d’agir sur la réduction de la consommation de carburant. Le guide des bonnes pratiques en élevage et la présentation de travaux en cours montrent la prise en compte croissante des émissions et de leur meilleure comptabilisation dans ce secteur. Au niveau des cultures, c’est le levier optimisation de la fertilisation azotée des plantes grâce aux outils d’aide à la décision qui est décrit. Enfin, l’article se conclut par l’identification d’axes de travail adaptés au contexte de l’agriculture d’un territoire, la Lorraine, et sur les actions de communication et de sensibilisation vers les agriculteurs qui en découlent. Pollution Atmosphérique, 229-230. Prise en compte de la qualité de l’air par le secteur agricole : de la connaissance à l’action = Awareness of the air quality in agriculture: from knowledge to action [texte imprimé] / S. Agasse, Auteur . - 2016.
Tags : qualité de l'air pratiques agricoles émissions polluantes polluants pollution atmosphérique ammoniac Résumé : L’enjeu des interactions entre qualité de l’air et pratiques agricoles est un sujet émergent et complexe, sur lequel la société s’interroge et dont les pouvoirs publics se saisissent. L’agriculture travaille en effet avec du vivant (animaux, végétaux, sol…) et interagit avec des grands cycles biogéochimiques dont celui de l’azote. Par voie de conséquence, les sources d’émissions à l’échelle d’une exploitation sont multiples (bâtiments, stockage, épandage des engrais ou des effluents d’élevage) et dépendent du contexte pédoclimatique. Aujourd’hui, le niveau de connaissance sur ces émissions est variable en fonction des polluants (NH3, NOx, produits phytosanitaires), et l’évaluation des impacts de la pollution atmosphérique sur les productions agricoles, notamment par l’ozone, doit être approfondie. D’ores et déjà , plusieurs leviers d’actions à mettre en place au niveau des exploitations agricoles sont identifiés. Pour autant, la compréhension de ces sujets doit continuer à être investie, pour permettre aux agriculteurs d’agir sur les facteurs dont ils ont la maîtrise, de façon efficace, adaptée à leur exploitation et cohérente avec l’ensemble des enjeux environnementaux et économiques auxquels ils doivent répondre. Cet article expose des exemples variés d’actions conduites montrant la dynamique en cours et les voies de progrès à poursuivre. La réflexion globale de l’intégration de la maîtrise des émissions atmosphériques au sein du réseau de conseil des Chambres d’Agriculture qui accompagnent au quotidien les agriculteurs, est exposée dans une première partie. Elle est suivie par une présentation de travaux conjoints entre le développement agricole, la recherche et les AASQA1 sur l’objectivation des émissions de produits phytosanitaires dans l’air, et le lien avec les pratiques des agriculteurs. Plusieurs exemples de leviers d’action opérationnels permettant de réduire les émissions de NH3 sont ensuite décrits. Ils portent aussi bien sur les travaux sur le machinisme agricole, qui ont abouti à la labellisation du matériel d’épandage, que sur les actions permettant d’agir sur la réduction de la consommation de carburant. Le guide des bonnes pratiques en élevage et la présentation de travaux en cours montrent la prise en compte croissante des émissions et de leur meilleure comptabilisation dans ce secteur. Au niveau des cultures, c’est le levier optimisation de la fertilisation azotée des plantes grâce aux outils d’aide à la décision qui est décrit. Enfin, l’article se conclut par l’identification d’axes de travail adaptés au contexte de l’agriculture d’un territoire, la Lorraine, et sur les actions de communication et de sensibilisation vers les agriculteurs qui en découlent. Exemplaires
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L230_AgasseAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 229-230. Le rôle de l’agriculture sur les concentrations en particules dans l’atmosphère et l’apport de la modélisation / B. Bessagnet
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 229-230 Titre : Le rôle de l’agriculture sur les concentrations en particules dans l’atmosphère et l’apport de la modélisation Titre original : The role of agriculture on the concentrations of particles in the atmosphere and supply modeling Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Bessagnet, Auteur ; Meleux F., Auteur ; Favez O., Auteur ; Menut L., Auteur ; Beauchamp M., Auteur ; Colette A., Auteur ; Couvidat f., Auteur ; Rouïl L., Auteur Année de publication : 2016 Tags : aérosols polluants agriculture ammoniac particules qualité de l’air Résumé : Comme tous les secteurs d’activité, le secteur agricole est responsable de l’émission de nombreux polluants et précurseurs de polluants notamment particulaires. L’agriculture se distingue par de très fortes émissions d’ammoniac, le recensement officiel des émissions indique que plus de 97 % (CITEPA, 2015) des émissions anthropiques de ce composé sont dues à l’agriculture (élevage et épandages d’engrais azotés) en France. L’ammoniac combiné à l’acide nitrique est à la source de la formation de particules secondaires dans l’atmosphère, contribuant ainsi à la charge totale en particules. D’autres émissions, notamment de particules terrigènes, sont imputables à l’agriculture lesquelles sont de taille généralement supérieure à 2,5 µm. L’agriculture a ainsi un rôle important sur la qualité de l’air. L’ammoniac, dans des conditions météorologiques favorables, réagit avec l’acide nitrique pour former le nitrate d’ammonium. En situation d’épisode, le nitrate d’ammonium peut représenter plus de 50 % de la masse de PM10, les situations anticycloniques de fin d’hiver présentent des conditions idéales pour favoriser l’accumulation des polluants dans les basses couches de l’atmosphère et la réaction de formation du nitrate d’ammonium. Les simulations de scénarios montrent que des réductions d’émissions d’ammoniac aboutissent à une baisse sensible des concentrations de nitrate d’ammonium, cette baisse est d’autant plus importante si elle s’accompagne d’autres mesures visant à réduire les émissions des oxydes d’azote. Des politiques de long terme visant à réduire l’ensemble des émissions d’ammoniac permettront également de réduire le nombre de dépassements des valeurs réglementaires des PM10 et PM2.5. Pollution Atmosphérique, 229-230. Le rôle de l’agriculture sur les concentrations en particules dans l’atmosphère et l’apport de la modélisation = The role of agriculture on the concentrations of particles in the atmosphere and supply modeling [texte imprimé] / B. Bessagnet, Auteur ; Meleux F., Auteur ; Favez O., Auteur ; Menut L., Auteur ; Beauchamp M., Auteur ; Colette A., Auteur ; Couvidat f., Auteur ; Rouïl L., Auteur . - 2016.
Tags : aérosols polluants agriculture ammoniac particules qualité de l’air Résumé : Comme tous les secteurs d’activité, le secteur agricole est responsable de l’émission de nombreux polluants et précurseurs de polluants notamment particulaires. L’agriculture se distingue par de très fortes émissions d’ammoniac, le recensement officiel des émissions indique que plus de 97 % (CITEPA, 2015) des émissions anthropiques de ce composé sont dues à l’agriculture (élevage et épandages d’engrais azotés) en France. L’ammoniac combiné à l’acide nitrique est à la source de la formation de particules secondaires dans l’atmosphère, contribuant ainsi à la charge totale en particules. D’autres émissions, notamment de particules terrigènes, sont imputables à l’agriculture lesquelles sont de taille généralement supérieure à 2,5 µm. L’agriculture a ainsi un rôle important sur la qualité de l’air. L’ammoniac, dans des conditions météorologiques favorables, réagit avec l’acide nitrique pour former le nitrate d’ammonium. En situation d’épisode, le nitrate d’ammonium peut représenter plus de 50 % de la masse de PM10, les situations anticycloniques de fin d’hiver présentent des conditions idéales pour favoriser l’accumulation des polluants dans les basses couches de l’atmosphère et la réaction de formation du nitrate d’ammonium. Les simulations de scénarios montrent que des réductions d’émissions d’ammoniac aboutissent à une baisse sensible des concentrations de nitrate d’ammonium, cette baisse est d’autant plus importante si elle s’accompagne d’autres mesures visant à réduire les émissions des oxydes d’azote. Des politiques de long terme visant à réduire l’ensemble des émissions d’ammoniac permettront également de réduire le nombre de dépassements des valeurs réglementaires des PM10 et PM2.5. Exemplaires
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L230_BessagnetAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 231-232. Bâtiment photocatalytique pour le traitement des odeurs / Dussaud J.
Titre de série : Pollution Atmosphérique, 231-232 Titre : Bâtiment photocatalytique pour le traitement des odeurs Type de document : texte imprimé Auteurs : Dussaud J., Auteur Année de publication : 2016 Tags : nuisances olfactives filtration filtre filtre à charbon bâtiment photocatalytique Résumé : Les sociétés Ahlstrom et Icare ont développé, en utilisant les énergies renouvelables (le soleil), des bâtiments modulaires capables d’éliminer radicalement les nuisances olfactives provoquées par les activités industrielles.
Le procédé repose sur un dispositif de filtration, développé par Ahlstrom, qui associe un filtre à charbon actif à un système de photocatalyse pour capter et détruire les molécules polluantes dégagées par les boues industrielles. Ce filtre opère en continu à l’intérieur d’un bâtiment photocatalytique conçu par Locabri, entièrement équipé de bâches actives et maintenu en légère surpression afin d’orienter l’air chargé en composés organiques volatils vers les filtres.
Testé sur le site de production papetière d’Ahlstrom, le premier bâtiment permet de stocker et de traiter 3 200 tonnes de boues sur une superficie de 1 500 m2. Le système permet de réduire jusqu’à 95 % les unités d’odeurs entre l’intérieur et l’extérieur du bâtiment. Plus aucune odeur n’est décelable à 50 mètres du lieu de stockage !
Cette innovation présente un fort potentiel de développement : un millier de sites industriels tels que des unités de stockage, des lisiers, des stations de compostage, des sites de déshydratation de boues de Step et des effluents de l’industrie agroalimentaire pourraient en être équipés en France. Ces bâtiments modulables peuvent être directement implantés sur site, soit pour réaliser une chambre de filtration, soit pour couvrir directement un stockage d’effluents odorants.Pollution Atmosphérique, 231-232. Bâtiment photocatalytique pour le traitement des odeurs [texte imprimé] / Dussaud J., Auteur . - 2016.
Tags : nuisances olfactives filtration filtre filtre à charbon bâtiment photocatalytique Résumé : Les sociétés Ahlstrom et Icare ont développé, en utilisant les énergies renouvelables (le soleil), des bâtiments modulaires capables d’éliminer radicalement les nuisances olfactives provoquées par les activités industrielles.
Le procédé repose sur un dispositif de filtration, développé par Ahlstrom, qui associe un filtre à charbon actif à un système de photocatalyse pour capter et détruire les molécules polluantes dégagées par les boues industrielles. Ce filtre opère en continu à l’intérieur d’un bâtiment photocatalytique conçu par Locabri, entièrement équipé de bâches actives et maintenu en légère surpression afin d’orienter l’air chargé en composés organiques volatils vers les filtres.
Testé sur le site de production papetière d’Ahlstrom, le premier bâtiment permet de stocker et de traiter 3 200 tonnes de boues sur une superficie de 1 500 m2. Le système permet de réduire jusqu’à 95 % les unités d’odeurs entre l’intérieur et l’extérieur du bâtiment. Plus aucune odeur n’est décelable à 50 mètres du lieu de stockage !
Cette innovation présente un fort potentiel de développement : un millier de sites industriels tels que des unités de stockage, des lisiers, des stations de compostage, des sites de déshydratation de boues de Step et des effluents de l’industrie agroalimentaire pourraient en être équipés en France. Ces bâtiments modulables peuvent être directement implantés sur site, soit pour réaliser une chambre de filtration, soit pour couvrir directement un stockage d’effluents odorants.Exemplaires
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L232_DussaudAdobe Acrobat PDF Pollution Atmosphérique, 231-232. La campagne Passy-2015 : dynamique atmosphérique et qualité de l’air dans la vallée de l’Arve / Paci A.
PermalinkPermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Les conseillers médicaux en environnement intérieur : l’expertise à domicile / Lapierre E.
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Dans la vallée de l’Arve, une approche innovante de la gestion de la pollution atmosphérique / I. Roussel
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. DECOMBIO - Contribution de la combustion de la biomasse aux PM10 en vallée de l’Arve : mise en place et qualification d’un dispositif de suivi / Chevrier F.
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Développement d’un capteur de mesure en continu du taux de formaldéhyde dans l’air intérieur :application au contrôle de la qualité de l’air intérieur dans les lieux accueillant des enfants / François R.
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Développement d’un procédé pour l’épuration de l’air intérieur par couplage de la décharge couronne et de l’adsorption / Hajji W.
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Une Évaluation d’Impacts sur la Santé (EIS) à Villeurbanne / Colom P.
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Le fonds Air bois, un outil incitatif pour accélérer la modernisation du parc existant de chauffage individuel au bois de la vallée de l’Arve / Caër P.
PermalinkPermalinkPermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Mode de transfert de COV gazeux présents dans les eaux et diffusés dans l’atmosphère / Medimagh K.
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. L’Observatoire National de l’Activité Physique et de la Sédentarité / Praznoczy C.
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Optimod’Lyon ou la mise en synergie des acteurs publics et privés pour une gestion optimale de l’intermodalité / Coldefy J.
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. La plate-forme interactive « Signalement-Ambroisie » : un outil participatif de lutte contre l’ambroisie / Thibaudon M
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Le pôle AXELERA, moteur dans le domaine du recyclage du CO2 en France / Brun T.
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Pollution de l’air, santé et défaveur sociale : une étude d’impact sanitaire à une échelle spatiale fine / R. Slama
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Pollution atmosphérique et diabète… Quel lien possible ? Une exposition expérimentale à l’ozone chez le rat induit une insulino-résistance périphérique / Vella R.
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Préfiguration d’une structure pluridisciplinaire de recherche-action dédiée à l’étude des climats urbains et de leurs effets sur le territoire de la Métropole de Lyon. Enseignements du projet EPOC. / Soto D.
PermalinkPermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Réduction des émissions de HAP d’une entreprise de la région Rhône-Alpes et mise au point d’une méthode laboratoire de suivi cinétique de ces émissions / B. Allard
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Refuge du Goûter : solutions techniques mises en œuvre et problèmes de pollution rencontrés / Stremsdoerfer P.
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Rhodiasolv Iris, développement d’un nouveau procédé pour réduire l’empreinte environnementale des solvants / Kabir H.
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Sols contaminés, une source secondaire de polluants pour l’atmosphère ? Le cas des HAP, des pesticides et de l’arsenic / Besse J.
PermalinkPermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Traitement des sols par Soil Venting Thermal Extraction / Michel F.
PermalinkPollution Atmosphérique, 231-232. Les transferts de pollutions volatiles du sol vers l’air intérieur : diagnostic et modélisation des impacts - Guide méthodologique FLUXOBAT (2013) / Traverse S.
PermalinkPermalinkPollution Atmosphérique, 233. Les enjeux de la pollution de l’air en France : délaissement ou droit en jeu(x) / H. J. Scarwell
PermalinkPollution Atmosphérique, 233. Ozone troposphérique en France : distribution spatiale et tendances sur la période 1999-2012 / Sicard P.
PermalinkPollution Atmosphérique, 233. Pollution atmosphérique, climat et société : quelle place aujourd’hui dans la « ville durable » ? Une analyse comparée à partir de la littérature francophone et anglophone / P. Hamman
PermalinkPollution Atmosphérique, 233. Variabilité physico-chimique des épisodes de pollution atmosphérique à proximité de la zone industrialo-portuaire de Fos-sur-Mer / Dron J
PermalinkPollution Atmosphérique, 234. Le défi du prélèvement des émissions surfaciques odorantes / A. S. Clincke
PermalinkPollution Atmosphérique, 234. Évolution des normes de mesure des odeurs et des composés odorants / J. M. Guillot
PermalinkPermalinkPermalinkPollution Atmosphérique, 234. Gestion des odeurs émises par les stations de traitement d’eaux résiduaires dans le monde / Nastasi V.
PermalinkPollution Atmosphérique, 234. Le Langage des Nez®, nouveau référentiel mis en place pour le suivi des odeurs. Expérience d’Air Normand, association agréée de surveillance de la qualité de l’air en Haute-Normandie / Léger C.
PermalinkPermalinkPollution Atmosphérique, 234. L’Observatoire des odeurs : un outil de résolution des conflits ? Réflexions d’un acteur de terrain / Cors M.
PermalinkPermalinkPollution Atmosphérique, 234. Odotrace : recherche des sources à l’origine des nuisances olfactives / Mesbah B.
PermalinkPermalinkPollution Atmosphérique, 234. La pollution olfactive en environnement urbain : cas particulier des odeurs des restaurants / Scotto C.
PermalinkPollution Atmosphérique, 234. Quand l’atmosphère sent le soufre. Perception des pollutions odorantes / Bushdid C.
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